Chapitre 10

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     Je m'étais trompée, ce n'était pas une soirée cliché d'ados américain. Je m'amusais bien, je ne parlais pas trop mais j'écoutais tout le monde visiblement on était pas tant que ça on devait être 12, sauf si il y a d'autre personne qui on décidé de faire comme moi et de ne pas parler. Il y avait des personnes d'autre classes que je ne connaissais pas mais visiblement eux me connaissaient comme je suppose 90% du lycée. Louise semblait très heureuse qu'on est pensé à lui organiser une fête, elle n'arrêtait pas de dire merci à tout le monde et surtout à Rubis qui en avait eu l'idée et qui est sa meilleure amie. Astrid était à côté de moi, elle ne me parlais pas mais je la sentais bouger, l'entendait rire tout près de moi et de temps en temps elle me frôlait la main ou le genou à force de faire de grand geste lorsqu'elle parlait. A un moment elle et Rubis discutèrent, je savais qu'elle me mettais dans la conversation puisque Rubis c'était assise par terre devant moi.

« -T'as vus ? Demanda Rubis à Astrid.

-De quoi ?

-Jules, il a emmener Louise dans le bureau de son père pour lui parler. Expliqua Rubis

-Je suis sur qu'il veut sortir avec elle ça se voit depuis le début de l'année ! S'exclame Astrid.

-Oui, ça lui a pris d'un coup je pense qu'il c'est fait enlever par les extra terrestres cette été ! La remarque me fit rire.

-Si tu le dit, en tout cas je pense que Louise veut elle aussi sortir avec lui. Dit Astrid.

-Je ne savais pas qu'ils se plaisaient ! M'exclamais je.

-Oui, ça se voit peu au lycée mais ils se voient beaucoup en dehors et disons qu'il y a des regards qui trompe pas. »

  Une dizaine de minutes plus tard Louise vint nous dirent toute heureuse qu'elle avait parler avec Jules et que oh surprise il voulait sortir avec elle. Cela faisait longtemps que je n'était pas sortis avec quelqu'un, et oui aussi étonnant que cela puisse être j'avais déjà eu une petite amie ça avait durer 8 mois elle était atteinte de mucoviscidose et malheureusement la maladie a gagné j'avais 13 ans, a l'époque ça ma brisé le cœur, je m'en suis remise mais parfois quand j'y pense je trouve ça horrible, pas le faite de mourir mais de se dire que chaque jour des gens meurent et que l'on continue de vivre, comment peut on continuer alors que d'autre ne seront plus jamais la. Astrid me stoppa dans mes pensé.

  « -Ça te dit on sort un peu devant ? J'aimerais prendre l'aire. Demanda t-elle.

-Oui, je te suis. »

Elle me guida dans la maison, je commençais à avoir quelques repère, elle ouvrit la porte et l'aire frais de l'automne nous enveloppa.

« -Tu fume ? Demanda t'elle

-Non. Je fus déçu de penser qu'elle fumait.

-Cool moi non plus.

-Si j'avais dit oui tu aurait dit quoi ?

-Rien, mais j'aurais été déçu...

-Alors heureusement que je ne fume pas.

-Mon père fume ça ne me plait pas, j'ai peur qu'il lui arrive un truc.

-Et ta mère ? Demandais je

-Elle... elle est morte.

-Oh, merde je suis désolé.

-Non, t'inquiète tu ne pouvais pas savoir ! Et puis c'était il y a longtemps, j'avais 7 ans. Ce n'est pas comme si c'était tous récent.

-Oui, je m'en veux quand même en plus je ne peux pas voir ta tête et savoir si tu est blessé ou triste ou autre et je ne sais pas quoi faire...

-Non, tout va bien. Vraiment je ne suis ni triste ni fâché ou blessé actuellement j'ai juste froid. M'expliqua t-elle. »

  J'hésita, je ne savais pas comment elle réagirais et puis je me dit que je n'est qu'une vie et qu'elle est mon amie, je la pris dans mes bras pour la réchauffer.

« -Merci. Murmura t-elle dans mon oreille »

  On resta la un bon moment, je me demandais ce qu'elle pensait. On était blottis l'une contre l'autre car après réflexion moi aussi j'avais froid. Je ne pourrais malheureusement pas vous décrire la scène en disant que les feuille marron des arbres volait partout que la lune était merveilleusement belle et lumineuse ou que ses cheveux étais une peu en mêler sur sa tête puisque je ne vois pas la scène, mais je peux vous dire que ses cheveux sentais la vanille et que la sentir contre moi me donna des papillons dans le ventre et dieu sait si c'est cliché.

« -On rentre avant de geler sur place ? Dit elle

-Oui, puis les autres doivent se demander ce que l'on fait !

-Sûrement. »

  Alors à contre cœur je repartis avec elle dans la maison. Lorsqu'on entra les autres nous dirent qu'ils faisaient un times up, je ne connaissait pas ce jeu on m'expliqua les règles on prend un mot et on doit le faire devinez à son équipe, première manche on peut dire tout les mot qu'on veut deuxième manche un seul mot et troisième manche mime. Dans mon équipe il y avait Astrid vous vous en doutez et Leo on se débrouillait plutôt pas mal jusqu'à ce qu'on arrive au mimes, Léo se demanda comment je pourrait joué.

« -C'est facile, on a qu'a décrire ce que l'on fait ! S'exclama Astrid

-Comment ça ? Dit Louise.

-Par exemple Axelle si je te dit je met ma main de façons à ce qu'elle relit ma bouche et mon oreille et je parle dedans qu'est ce que c'est ?

-Un téléphone ! Répondais je

-Exact ! C'est comme pour les film il suffit de décrire ce que l'on fait. Sans pour autant donnez la réponse et si vous voulez les autres équipe peuvent le faire aussi ! Dit Astrid. »

 

  Certain arrivait mieux que d'autre à d'écrire leur geste, c'était plutôt drôle, je réussis à devinez certaine chose j'étais heureuse qu'Astrid est trouvé un moyen pour que je puissent joué quand même. Pour une fois je ne me sens pas appart. À la fin certain dirent même qu'avec ces règles le jeu était encore plus marrant. Visiblement il avait un peu tous l'humour d'Astrid c'est à dire pas vraiment d'humour juste le rire facile, j'aime c'est mieux que d'entendre tout le monde parler de maladie ou d'handicap et puis ça montre qu'ils sont heureux.

AveuglémentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant