Aveuglément

Chapitre 8

    Je savais que ça allée être compliqué et j'avoue que je ne savais pas comment m'en sortir indemne. Vous savez quand mère veut quelque chose elle trouve toujours les bon argument et c'est difficile de refuser,  surtout lorsqu'elle est appuyé par quelqu'un.

     Pendant qu'elle fouille dans les rayons je cherche un moyen d'éviter la catastrophe que se rapproche petit à petit qui est de porter une robe. Je me sens très mal à l'aise dans une robe, vous voyez je ne peut pas savoir si elle est trop courte, ou si elle se soulèvent un peu trop haut avec le vent puisque je ne la vois pas. Et puis je l'avoue aussi je ne suis pas la personne la plus féminine sur terre.

« -Axelle, on va au essayage je t'est trouvé de magnifiques tenues, n'est ce pas Ivan ?

-Oui, au top !

-J'ai du mal à vous croire...

-Allée fait pas ta rabats joie et va essayé ! Me dit Ivan.

-Alors tout d'abord tu as une magnifique robe patineuse... Rouge ! S'exclama ma mère

-Rêve, je ne vais pas mettre une robe de couleur sa réunit deux choses que je n'aime pas !

-Bon et bien essaye cette robe noir qui épouse les formes. »

J'entra a contre cœur dans la cabine et je me débâtis avec mes vêtements j'avais dit à ma mère de ne pas rentrer, décisions que je commençais à regretté je ne comprenait pas le sens de la robe. Lorsque j'eu finit j'ouvrir le rideau pour connaître l'avis générale.

« -Ta mère est allé cherché une autre robe et reposer la rouge. Tu ressemble à une saucisse !

-Il y a une fermeture derrière et je n'arrive pas à la fermé tu peut m'aider ?

-Ouais, t'inquiète ! Répond il pendant que je me retourne.

-Oh, merde t'as les mains gelé ! Criais je

-Je sais, mais cris pas comme sa je te rappelle qu'ont est deux ado dans des cabines d'essayage, les gens vont se poser des question !

-Oups... Il fermait juste ma robe ! Criais je à nouveau en rigolant.

-Je vous dérange pas ? Interrogea ma mère. On ne répondit pas.

-Ma chérie elle te vas super bien cette robe !

-Euh, ouais merci Maman mais je me sens pas à l'aise dedans.

-Et bien essayé celle là, elle est aussi noir mais à volant. »

   Chaque fois c'était la même chose robe noir de forme différente mais j'étais pas à l'aise, je pense que c'est aussi parce que je voulais porter quelque chose qui me ressemble et les robes ne font pas partis de ma personnalité, on changea trois fois de magasins Ivan et moi commencions à en avoir mare, alors Ivan prit les devants.

« -Vous savez quoi, cette fois c'est moi qui vais chercher une tenue ! Dit il

-Pas encore une robe je t'en pris !

-Écoute je vais essayer de satisfaire tout le monde ! M'informa t-il en s'éloignant.

-Tu as confiance dans les goûts vestimentaires d'Ivan ? Demanda ma mère.

-Oui, je crois. Tu sais depuis le temps il me connaît par cœur donc je pense qu'il peut trouver quelque chose.

-Tiens le revoilà, Ivan c'est quoi ?

-Une robe ! S'exclama mon ami.

-Non ! Criais je presque.

-Enfaite je pense que ça peut te plaire Axelle, parce que on dirait plus un t-shirt géant ou un parachute à toi de choisir !

-Et il a quoi de spécial ce parachute ? Demandais je

-C'est noir large je pense que c'est agréable et en blanc il y'a a écrit Ramones avec leur sigle.

-Oh... et bah vous savez quoi je vais allée essayé cette robe. »

   Je rentra donc dans une cabine pour la centième fois de la journée. Après avoir mis la robe/ t-shirt/ parachute je dus admettre qu'Ivan avait raison je me sentais vachement à l'aise dedans, elle avait des manches courtes et m'arrivait au dessus du genou, large mais pas trop et si c'est noir je pense que c'est bien. Après c'est mon ressentis je ne sais pas vraiment comment ça rend.

« -Alors ?

-J'admet que ça te vas bien ma chérie.

-Ouais t'est sympa comme sa petite coccinelle !

-Euh, t'est au courant que c'est mignon une coccinelle ?

-Oui, je voulais dire truite mais je voulais pas que ta mère pense que je t'insulte ! »

Ça me fit rire. Ma mère alla à la caisse payer ma robe, et je remercia Ivan d'avoir trouvé ce parachute pour arrêter la torture. On était bien depuis 2 heures au centre commerciale et je commençais à faire une overdose de magasins. En tout cas il m'a prouvé qu'il me connaît bien et qu'il est pas trop à côté de la plaque question vêtements.

   Après ça on rentra chez moi, mon père étais comme à son habitude dans son bureau avec sont précieux ordinateur, ma mère alla préparé à manger et avec Ivan on cour se réfugier dans ma chambre pour être sur de ne pas être les victimes de ma mère encore une fois.