Amour impossible...ou presque

X :Noël

Le lendemain, tout le monde, éxépté Mrs Weasley, se leva assez tard. Quand Harry sortit de sa chambre, Ginny n'était pas encore levée. Il l'avait laissée dormir, car il ne voulait surtout pas la déranger. Il vit Ron et Hermione descendre les escaliers.
- Mais c'est parfait ça, dit-il. Tu vas pouvoir commencer ton défi maintenant.
Ron soupira. Harry était sûr que son meilleur ami allait râler, car manger la même quantité de nourriture qu'Hermione relevait de l'impossible. Ou presque.

Ils mangèrent, puis Harry monta réveiller Ginny. Elle dormait encore. Dieu qu'elle était belle dans son sommeil. Sa peau, blanche comme neige formait un contraste impressionnant avec ses cheveux de feu. C'est comme si le Paradis e l'Enfer se partageaient ce corps de rêve. L'espace d'un instant, il retomba amoureux. Il se pencha vers elle, pour lui remettre une mèche de ses cheveux. Soudain leur colliers, qu'ils s'étaient offert la veille s'illuminèrent. il y eut une lumière blanche, intense et brève, leurs colliers s'attirèrent. Quand la lumière se fut éteinte, Harry ressentit une présence en lui, rassurante. Ce dut être ce qui réveilla Ginny. Elle tint son collier, se retourna vers  Harry et s'apaisa. Il lui sourit.
- Bonjour Gin'.
- Salut.
- Ça va ?
- C'est toi qui m'a révilliée ?
- Pas exactement. C'est nos colliers. Quand je e suis penché vers toi, les colliers se sont effleures, et ils se sont illuminés. après j'ai ressentit une présence réconfortante, la même que quand je suis avec toi..
- C'est exactement pareil pour moi.

Ginny se leva, ajusta sa chemise de nuit, puis ils descendirent. Ginny mangea en vitesse puis elle remonta. Harry prévint Mrs Weasley qu'ils ne seraient sans doute pas là de la journée. Elle demanda pourquoi, et Harry lui expliqua qu'il voulait lui faire une surprise. Il remonta ers la chambre de Ginny. Il toqua. Il fut repoussé par un : "Attends deux secondes, je finis de m'habiller". À ce moment là, il eut une soudaine envie d'ouvrir la porte mais s'en retint. Dès qu'elle eut finit, elle l'invita à rentrer. Elle pouffa.
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Rien.
- Allez dit, au point où tu en est...
- C'est juste que quand je t'ai invité à rentrer, tu as ouvert la porte tellement vite.
- Ah.
- Je rigole, mais en vrai, si j'ai un problème, je sais que je pourrais compter sur toi.

Ils sortirent ensuite de la chambre, puis ils descendirent dans le salon, là où était la cheminée. Ils utilisèrent donc le réseau, qui les amena au Chaudron Baveur. Ils partirent ensuite vers Gringotts, la banque des sorciers. Là-bas, quand Bogrod le vit, il eut l'air satisfait.
- Mr Potter. Vous venez pour le coffre familial ?
- Euh....non. J'ai un coffre familial ?
- Bien sûr. Il avait dit cela comme si c'était l'évidence même. Tous les sorciers ont un coffre familial. Votre mère et votre père ont demandé l'ouverture d'une chambre d'étude pour vous. Normalement, le coffre familial, en cas de décès des parents doit être accessible dès la mojorité, mais les vôtres ont insisté pour que l'ouverture du coffre soit décalée d'un an en arrière, soit à vos 16 ans.
- Bien. Dans ce cas je reviendrais plus tard pour cette affaire. je suis venu prendre de l'argent dans ma chambre forte. Celle d'étude. J'ai une question. Vous convertissez les Gallions en argent moldu ?
- Bien sûr ! Nous avons un taux de chabge très interessant. Gripsec ! Accompagne Mr Potter et Miss...
- Weasley.
- Dans sa chambre d'étude.
- D'accord.

Une fois sortit de Gringotts, avec les Livres Sterling, Ginny demanda :
- Pourquoi tu as pris de l'argent moldu ?
- À ton avis ?
- On va acheter quoi ?
- Des robes de soirée pour toi.
- Mais ces robes n'ont rien de magique.
- Pas grave, tu es déjà magique. En plus les robes moldues sont plus belles que les robes sorcières. Et puis j'ai pas trop envie de voir tes copains.
- Ah ouais ils sont en vacances eux aussi.

ils se dirigèrent vers les magasins de vêtements, exceptionnellement ouvert en ce jour du 25 décembre. Ils achetèrent des robes de soirée pour Ginny, et des costumes pour Harry. Celui-ci passa à Ginny un peu d'argent pour qu'elle en fasse ce qu'elle voulait. Elle acheta finalement des vêtements normaux à Harry, ce qu'il faisait aussi avec son argent. Quand ils eurent finis leurs achats, Harry et Ginny allèrent déjeuner au Chaudron Baveur. Bien sûr, quand Tom, le serveur sut que le grand Harry Potter étaient dans sa taverne, il le fit passer en priorité, et ne voulut pas le faire payer. Harry dut insister. Il resta là une bonne partie de l'après-midi dans le restaurant, avant de decider de rentrer. Juste avant qu'il ne fut partit, il entendit : "Il m'a donné un pourboire ! Il m'a donné un pourboire !" et les autres applaudir. Il prit la poudre de cheminette et rentra au Terrier. Ils allerent deposer leur paquets dans la chambre de Ginny, puis Harry courut vers la salle de bains en premier, vu qu'il prenait moins de temps que Ginny pour se laver. Quand il revint dans la chambre, Ginny alla s'y enfermer, en prenant une robe avec elle. Harry mit un costume noir, qui suivait avec ses cheveux, et faisait ressortir ses yeux vert émeraude.

Ron passa devant la porte. En voyant Harry, il lui demanda :
- Tu fais quoi là Harry ?
- Ca se voit pas ? Je me prepare pour ce soir, pour le repas de Noël.
- Je vois...Mais tu sera le seul en costume.
- Inverse, tu sera le seul sans costume. Allez, prends celui-là et va te changer.
- Merci mon vieux.
- Il n'y a pas de quoi.

Harry descendit dès qu'il eut finit de se préparer. Mr et Mrs Weasley, Bill et Charlie et Fred et Georges étaient déjà là. Harry fut suivit de peu par Ron. Il ne manquait que Ginny et Hermione pour que l'assemblée soit au complet. Cette dernière descendit quelques minutes plus tard. Elle portait une robe bleue nuit, scintillante. Ron en eut la bouche-bée. Quant à Harry, il se demandait ce que faisait Ginny. Celle-ci était paniquée. Elle voulait mettre sa robe rouge bordeaux, mais elle n'était pas sûre quelle suive avec. Elle agrippa son collier et pensa très fort : "Je sais plus...aide moi..." Harry ressentit comme une secousse au niveau du sien. Il se dit que tout irait bien qu'il ne fallait pas qu'elle ne s'inquiète. Finalement, Ginny mit sa robe et descendit les marches, petit à petit. Harry la vit, et sa mâchoire se décrocha. Ginny fut d'abord gênée, puis elle sourit et se mit à rigoler.
-Mr Potter, pour une fois qui le dit, redescendez sur Terre.
- Je ne peux pas, Miss Weasley, juste en vous regardant, vous m'envoyez au septième ciel.

Cette phrase provoqua l'hilarité générale, même si elle n'était pas à but humoristique. Le rouge bordeaux suivait avec ses cheveux roux, légèrement ondulés. Quand tout le monde se dirigea vers la table, Harry prit une chaise et invita Ginny a s'y asseoir. Il s'assit juste à côté d'elle. Ils mangèrent la traditionnelle dinde de Noël. Vers le milieu du repas, Harry se leva

- Je voudrais porter un toaste. À l'amour, dit-il en regardant Ginny.
- Aux amis, dit Ron.
- Aux blagues, rirent Fred et Georges, à l'unisson.
- Aux meilleurs, lança Hermione
- Pour moi, je porte un toast à Harry, sans lequel je ne serais pas celle que je suis en ce jour. Certains ont beau dire qu'il fait partie de la famille que partiellement, mais pour moi il a une place entière dans cette famille, tout comme celle qu'il occupe dans mon cœur. Pour moi nos âmes sœurs. On s'est offert pratiquement le même cadeau.
- En parlant de cadeau, j'en ai un autre pour toi Ginny.
- Ah oui ?
- Oui. Ouvre-le. Au départ, je voulais te l'offrir pour nos deux mois, mais vu comment on était, je me suis dit : "On peut attendre Noël.". Bref je l'ai gardé, et je te l'offre. C'est un miroir à double sens. Bien que je ressente constamment ta présence maintenant, ce serait impossible pour moi de ne plus avoir à te parler le soir.
- Merci Harry. Je...je ne sais pas quoi dire...
- Alors ne dit rien, répondit Harry en posant un doigt sur ses lèvres. Joyeux Noël Ginny.
- Joyeux Noël Harry.

Harry se leva, et invita Ginny à le suivre dans son mouvement. Là, il la prit par la taille et l'embrassa passionnément devant les applaudissement de tout le monde, et les pleurs de Mrs Weasley. Une branche de gui poussa au dessus d'eux.