Chapitre 17

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Quand les quatre survivants ce réveillaient ils étaient était attaché a des chaises. Ils se souvenaient seulement qu'après avoir traversé la salle ils avaient essayé d'ouvrir la porte se qui avait déclenché la sorti d'un gaz et ils s'étaient ensuite endormi. A vue d'œil il n'y avait personne .

Emmanuelle elle était descendu. Elle voyais tout ses collègues attaché et bâillonné, voir certains légèrement blessé mais rien de bien grave.

- Je vous ai manqué demanda-t-elle toute joyeuse en enlevant le bâillon de la bouche de son supérieur .
- Je me demandait si tu allais venir ou préféré nous laissé crever mais il semblerait que tu es belle et bien un coeur je suis plutôt heureux de le savoir. Ou sont les soldats?
- Presque tous mort. Il en reste quatre mais je compte jouer un peu avec je commence a m'ennuyer dans ma chambre. Elle fini de détaché le chef et lui tendit un couteau. Libère les autres. Et surtout qu'on ne me dérange pas et qu'on ne nettoie pas MA salle j'ai de grand projet
- Que veux-tu dire?
- Sois réaliste on va devoir changer de repaire donc concentre toi dans la recherche de quelque chose de discret et avec un sous-sol tu sera gentil. Et en ce qui concerne les cadavres... Tu verras c'est une surprise

Sur ces mots elle laissa le couteau au chef et parti en direction de la salle C123 . Quand elle entra elle ne fut pas surprise de voir que les soldats restant était réveillé. Elle pris une malette dans un placard et la posa sur la table au milieu des quatre survivants puis l'ouvrit. Il y avait dedans un nombre impressionnant d'objets de torture ce qui avait pour effet d'effrayer les quatre hommes

- On a donc gagné pour mourir de façon encore plus cruel demanda l'un d'eux
- De quoi? Demanda Emmanuelle. Tu parle du contenue de cette malette? Non ce n'est pas pour vous trois sa c'est uniquement pour lui dit-elle en pointant du doigts celui quelle avait sauvé d'une flèche. Vous trois je vous réserve autre chose..
- Quoi donc demanda un autre
- Je me sens seule toute seule. Il me faut quelqu'un. Comme un animal de compagnie si vous voyez l'image que j'utilise. Vous avez réussi a sortir de l'autre salle c'est que tout les trois vous êtes digne , plus ou moins, de mon jeux donc un d'entre vous va survivre et devoir resté avec moi les deux autre je leurs promets une mort sans souffrance et je promets de faire un sorte que vous obteniez la médaille d'honneur des soldats. Qu'en pensez-vous c'est plutôt équitable non? La solitude me ronge et sa offre une nouvelle vie a celui que je choisi et une mort honorable au autre

Les trois homme concerner savais très bien que dans tout les cas possible deux d'entre eux mourrai donc ils se contentaient d'accepter.

- Bah voilà qui est bien. Commençons la sélection je veux vos ages et vos noms
- Moi c'est Esteban dit le premier. 35 ans . Il était brun plutôt gringalet avec un début de calvitie. Son regard était froid et méprisant
- Bernard dit le second. 42 ans. Il était petit blond et portait la moustache et son regard implorer la pitié
- Dylan dit alors le dernier. J'ai 25 ans. Il avait les cheveux aussi noir quelle. Et il avait quelque chose de plus dans le regard, quelque chose de presque effrayant pas de la pitié ni de l'espoir.. Comme des ténèbres profond et démoniaque.

Elle planta un couteau dans la main des chaque homme et seul les deux premiers poussèrent un cris de douleur

- Je garde Dylan. J'ai encore beaucoup de temps a vivre et vous comprendrez que vous vous faites trop vieux.  Et vous êtes incapable de souffrir en silence .
- Ton choix et bien trop vite fait contesta Esteban
- Tu veux un arguments de plus?
- Quelle question
- J'aime son regard impitoyable.  Je vais m'amuser a en faire un camarade fidèle

Le regard de l'intéressé était presque aussi terrifiant que celui d'Emmanuelle et elle aimer ça

- Sinon comment voulez-vous mourir vous deux? 
- pique nous dit-ils ensemble
- Très bien

Elle exauça leurs désir avant de ce tourné vers l'homme qui c'était occupé d'elle a l'asile

- Que comptes-tu faire de cet homme demanda Dylan
- Me vengé que crois-tu répondit-elle

......................

Cela faisais déjà une heure et demi que les cris de douleur du torturé résonnait dans tout le bâtiment.  Alors que les autres s'activait a mettre toutes leurs affaires dans des carton pour pouvoir changé de localisation Emmanuelle elle torturé le survivants.  Le patron avait reçu l'autorisation de pouvoir rangé les affaires de cette dernière car seul lui savait comment elle aimé que se soit rangé et qu'il n'y avait pas de temps a perdre. 

- Jenny appela-il tu peu te procuré de l'acide chlorhydrique dans moins de deux heure? 
- Vos désire son des ordres répondit-elle.  C'est pour faire disparaitre nos trace je présume
- Oui
- Dans une heure c'est ici dit-elle avant de s'éloigner
- Merci

....................................

Tout... Emmanuelle avait utilisé tout le matériel contenus dans sa malette.  Sa victime n'était presque plus consciente et le spectacle de tant de sang lui plaisait énormément.

- Il est enfin temps pour ton âme d'aller brûlé en enfer mon Lapin fini pars dire Emmanuelle.  Ma dissection ta plus?  Étais-tu au courant qu'on pouvait retiré toute la peau d'un être humain sans le tuer si on éviter de touché les veine principal?  Maintenant tu sais.  Elle était heureuse cela s'entendait dans sa voix.  Rien que l'aire doit de faire horriblement souffrir,  et dommage pour toi j'aurais bien mis du sel sur ta chaire cela t'aurais laissé une sensation des plus horribles
- Tu... Tu es un monstre... Tu avais bien ta place dans cet asiles psychiatriques et je ne regrette en rien mes actes dit le mourrant
- Tant pis pour toi...

Emmanuelle ce leva en enfonça une des nombreuse dague qui lui appartenait et la planta dans le crâne de l'homme << Une enflure de moins sur cette terre >> pensait-elle . Elle était recouverte de sang et ce tourna vers Dylan.

- Toi a partir de demain je t'entraîne . Elle avait pris des menottes sur un des cadavres et les lui mis avant de le libère de la chaise.  Ne fait rien d'idiot déjà tu risquerait de m'énerver et tu as êtes témoin de ce qui arrive au gens qui m'énerve et qu'en plus si tu es trop turbulent mon chef qui,  je sais ne t'apprécie déjà pas,  risque de vouloir te tuer.  Le regard de Dylan n'avait pas changer et faisait toujours frémir mais Emmanuelle elle était très contente du morceau qu'elle avait déniché
- Je doit te voir comme ma supérieur maintenant?  Demanda-t-il
- En autre.  Suis moi

Ils allèrent tout deux dans la première salle et Emmanuelle ce mis a coupé la tête de chaque mort. 

- Pourquoi fais-tu ça demanda Dylan
- Pour montré a vos camarade ce qui ce produit quand on essaye de faire du mal a ma " famille " et mes amis.  Je compte bien mettre toute ces tête sur une pique pour ensuite les mettre en ville une surprise pour mon chef .  Quand au deux autre j'écrirais sûrement un truc vite fait bien fait pour tenir ma promesse...

Rouge sang  [ Terminé ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant