Ils arrivèrent dans une petite salle vide. Les dessins étaient maintenant descendus sur le sol. Ils traversaient la salle pour arriver de l'autre côté où deux nouvelles ouvertures menaient vers les niveaux inférieurs.
- Encore un choix... Comment on est censés savoir..., murmura Camille.
- La vraie question, c'est comment ces gamins ont eu le temps de dessiner autant ? commenta Rebecca. On a passé tant de temps que ça sur la fin du fleuve ?
Ils se trouvaient maintenant vers le milieu de la salle.
- Je crois que ce sont des énigmes à résoudre, observa Charlie. Regardez, les dessins se séparent à nouveau. De ce côté, les silhouettes sautent d'une chute d'eau ; de celui-ci on dirait plutôt qu'elles creusent.
- Je ne sais pas ce que je préfère, dit Rebecca.
Ils étaient arrivés devant les deux ouvertures. De l'une d'elle sortait effectivement un bruit d'eau qui s'écoule.
- Et c'est quoi l'énigme, d'après toi ? demanda Camille.
Charlie réfléchit.
- Je sais pas. Si tu étais un rongeur, j'imagine que tu préférerais creuser.
- Et moi, je suis une plante, intervint Rebecca. L'eau me semble plus indiquée.
- Moi, je préférerais m'envoler..., conclut Charlie.
- Ah non, hors de question de se séparer, protesta son amie. S'il y a un truc que le cinéma d'horreur nous à apprit, c'est que c'est une idée de merde !
Si les trois amis décident de rester au sec, ils prennent l'ouverture de droite. Rendez-vous à la partie 17.
S'ils décident de se mouiller, ils prennent l'ouverture de gauche. Rendez-vous à la partie 18.
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Le chant du colibri
مغامرةCharlie Tiwaia et sa collègue Rebecca sont archéologues au Honduras. Elles vont suivre leur ami Camille alors que celui-ci, ethnologue, croit avoir retrouvé les traces d'un événement historique important dont le souvenir ne persiste aujourd'hui plus...