QUICK REVENGE :Terminé

CHAPITRE 26

-         Madame les papiers du véhicule s'il vous plait ? Me demande l'homme en bleu

-         Ca dérangerait si vous oubliez ce que qu'il s'est passé ?

Qui ne tente rien, n'a rien.

-         Vous rigolez j'espère ?

-         J'ai beaucoup d'argent liquide mais faut que je me dépêche vraiment là ?

-         Vos papiers s'il vous plait !

J'ai pas le temps, je ferme ma vitre et rallume le moteur. Je fais vrombir le moteur pour lui faire comprendre de se pousser. Il comprend et s'écarte de quelques pas. Je sais très bien qu'il va prendre ma plaque d'immatriculation. Celle-ci étant immatriculée chez ma grand-mère je ne risque pas de payer.

Je tourne à gauche à la prochaine intersection, je vais prendre l'autoroute sinon je perds. J'arrive sur la voie d'accélération et je ne me fais pas prier, j'enfonce la pédale. L'avantage des courses l'après-midi c'est la circulation, personne n'est sur l'autoroute à part quelques voitures par-ci par-là. Je monte vite les 80KM/H

Personne n'est sur la voie à ma droite j'accélère encore plus. J'atteins rapidement les 130KM/H. Je lance la musique dans la voiture, je dois emprunter la prochaine sortie, je ne réduis pas ma vitesse pour autant car celle-ci donne sur un champ, étant un espace en cas d'arrêt d'urgence.

Je braque mon volant à gauche, ma caisse saute un peu mais j'ai toujours une adhérence au sol correct. Je suis à 90KM/H ; je n'irais pas plus haut étant dans un champ.

De loin je vois l'écran géant de la buvette, je ne suis plus très loin. J'augmente un peu ma vitesse continuant à passer les trous du sol rapidement. La poussière du sol s'élève après mon passage laissant une trainée derrière moi. La récolte du maïs n'a pas encore commencé laissant un couloir d'épis.

Mettez un soleil couchant, avec un ciel bleu. La trainée de poussière associée aux couloirs d'épis ; nous serons dans un bon cliché. Mais ma vie n'en est-elle pas un non plus ?

Les lumières m'arrivent à la vue, j'accélère pour enfin y arriver. Je rentre calmement dans les stands. Je gare ma bagnole et en sors, comme prévue je suis première. 

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-         T'as triché de toute façon

-         Tu n'assumes juste pas que je sois plus forte.

-         Ha oui, tu crois ?

-         Hmmm, bien sur que j'y crois.

Il lâche ma main et essaye de m'attraper à la taille, je pousse ses mains le voyant essayer. Je commence à courir, mes pieds aspirés par le sable ne m'aident pas. Je l'entends derrière moi et j'en rigole à gorge déployée. Le soleil sur la mer rajoute une couleur orangée. Il me dit de m'arrêter, ce que je ne ferais pas. Je cours le long de la mer avec les pieds dans l'eau jusqu'à ce qu'il me rattrape par la taille et me fasse voler. Nos rires se mélangent tellement bien. Quand il me repose, je le pousse en arrière mais il m'embarque au passage.

Nous sommes tout deux couchés au sol regardant le ciel et les nuages bouger. Le bruit des vagues contre le sable est tellement relaxant. Il ne fait plus aussi chaud quand été, on voit doucement l'hiver qui se rapproche.

Mais rien de dure très longtemps, rapidement Cold se relève. Il me lève par l'épaule et nous remarquons rapidement que nous ne sommes pas seuls. Des armes braquées sur nous par dizaine. Je me tourne vers Cold qui se sent aussi mal que moi.    

*****

Holla il est très courts désolée.

XXLN