Rencontre formelle.

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Point de vue de Seth.

Cétait enfin la rentrée et je regrettait déjà les vacances, je sortis de la voiture de ma tante qui me souhaita une bonne journée et regardait limmense batiment qui servait décole une annéé de plus, la derniere heureusement. Je rentrai dans létablissement et alla directement au tableau daffichage , où une centaine déleves y figuraient déjà. Ma petite taille me permettait heureusement de me faufiler entre les petits espaces et je parvins au tableau au bout de cinq minutes defforts. J'y vis toutes les informations dont javais besoin et les pris en photo, puis fit le sens inverse afin de me liberer de la foule. Je pris alors les couloirs et partis dans ma salle de cours, quand jy parvins jy trouvai une autre foule de personnes, cette fois ci elles semblaient entourées quelquun. Ken faisait parti de la foule également lement, il était mon boureau depuis la classe de troisième . Pour linstant il ne sembla pas remarquer ma présence et je pus alors m'installer sans me faire importuner. Une fois assis, je m'intéressai à ce qui se passait à deux bureaux devant moi. Une des filles debout se décala, ce qui me permis de voir l'objet de toute l'attention, le nouveau. Magnifique, j'éprouvais déjà le besoin de le photograpier. Son attention sembla être attirer par le jeune fille derriere lui et il se retourna, me permettant de croiser son regard de brèves secondes. Le professeur entra en salle permettant ainsi tout le monde de prendre sa place et malheureusement à Ken de remarquer que jétais là, il sourit de toutes ses dents, me promettant silencieusement une autre année de calvaires.

La cloche sonna deux heures plus tard, je me dépêchai de ranger mes affaires et sorti entrombe de la classe, mais Kane qui avait prevu mon geste me fis un cloche pied et je me retrouvai au sol.

_ Seth, mon vieil ami, c'est fou comme tu m'as manqué ! sexclama moqueusement Ken. Il me releva par la capuche de mon sweat et me secoua.Tu ne devrais pas rester par terre c'est  plein de microbes.

Les gens autour de moi riaient , d'autres semblaient outrés sans pour autant essayer de m'aider. J'étais seul et faible, comme d'habitude. Je regardai tout ce monde et recroisai le regard du nouveau, ses yeux n'exprimaient aucune émotion à part l'ennui , comme si le spectacle pitoyable que je lui offrait ne suscitait ni pitié ni compassion en lui. Ken me lacha enfin, il continua de parler mais je n'y prétai aucune attention , le regard du nouveau me captivait, car jamais personne ne m'avait paru si dur à déchiffrer. Malheureusement Ken compris que je ne le suivait pas mais regardais l'autre et il se mit en colère :

_ Alors mon pote, il te plait le nouveau ? , il se tourna vers le nouveau en question, hé mon pote tas une touche on dirait.

_ AH . fut tout ce quil dit .

_ Tu vois Seth , t'es pas son genre.

Il repartit dans un autre fou rire, tout en me lançant un regard lubrique. Je vais vous l'expliquer, Ken est gay, ou alors juste attiré par moi mais est si fier pour l'admettre qu'il a transformer son attirance en haine à mon égard, comment je le sais ? Je suis assez doué pour savoir ce que les gens désirent. A de nombreuses reprises je l'ai surpris à me reluquer aux verstiaires avant mon accident, il est si obsédé par moi quil s'arrange pour que personne ne soit attirer par moi et me pourit la vie à longueur de journées. Je ne lui en veut pas au fond c'est juste un goss.

Un nouveau professeur fit son apparition et la classe recouvra un semblant de calme. Aux environs de midi, pendant la pause dejeuner je pus enfin avoir un moment de paix et me glissai dans le local de journalisme, là où personne ne pensait jamais à venir m'embêter car interdit au non membres. Je m'assis sur une vieille pile de cartons et entama le sandwich au thon que j'avais dans mon sac. N'ayant pas d'appetit depuis des jours , je ne me nourissait que lorsque mon corps m'en faisait sentir le besoin ou lorsque je devais tenir mon rôle de gentil neuveu devant Isabella, je me contentai alors de trois bouchées pour la journée. Quand se fut à nouveau l'heure des cours , je retournai à ma classe, et rentrai dans ce qui me semblait etre un mur . Je levai les yeux et croisai à nouveau ce regard dur et sans expressions.

_Tu ne peux pas faire attention, crevette! me dit-il

_Je... Je suis desol...

_Je quoi ? tu vas parler oui !

Je pris peur , ce mec était différent de Ken avec ses tentatives d'intimidation à deux balles , ce types lui était éffrayant et je sentis comme des signaux d'alarmes se diffuser dans mon corps. Le garçon parlait encore, plutot criait encore, mais ma peur était telle que je ne pouvais ni bouger ni entendre ce qu'il me disait, comme paralysé par un puissant étau. Je vis, par delà la brume qui obscurssissait mon regard un autre garçon approcher.

_Niklaus arrête, il est totalement effrayé le pauvre, dit le nouveau venu.

_Et alors ? c'est pas comme si je l'avais aggressé, je lui parlais et il s'est mis à trembler tout seul.

_Tu ne fais rien pour être gentil aussi, toi.

_Devrais-je?

J'entendis l'autre soupirer puis il se tourna vers moi:

_Je suis désolé pour mon cousin, il peut paraitre intimidant mais en verité il est trés gentil, n'est-ce pas Niklaus?

_C'est toi qui le dit Benji.

Je ne pretai plus attention a leurs paroles et profitai qu'ils soient entrain de se chamailler pour m'éclipser rapidement, la peur guidant chacun de mes pas.


Point de vue de Klaus.

_Tu étais obligé de lui faire ton numéro d'alpha ? le pauvre était si éffrayé qu'il empestait.

_Et alors c'était marrant , non?

Cela faisait une dizaine de minutes que Benji me faisait la gueule à cause de l'épisode du couloir quand j'ai deployé mon aura d'alpha sur l'humain pour qu'il soit à ma merci.

_Ecoute Klaus je comprends que l'approche de tes ruts te rendent un peu frustré mais là tu te nourissais volontairement de sa peur.

_Ce pauvre etait une trop grande tentation, je suis le grand méchant loup et quoi de plus attrayant qu'un agneau en dehors du troupeau que represente ce lycée .

_Tu es serieux, tu compte t'en servir pour tes ruts?

_Bien sur que non, tu l'as vu ? je vais le casser si je le prends.

_Et donc?

_Et donc, disons que je vais me delecter de ses petites frayeures...

BLACK VENUMOù les histoires vivent. Découvrez maintenant