14.

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Ken Samaras.
Les secours n'ont pas tarder, il était déjà là. Il prirent Emma en charge directement. Sneazzy discutais avec un des médecins. Le médecin nous demande si quelqu'un souhaite accompagner Emma jusqu'à l'hôpital dans l'ambulance.
Je dit oui directement. Emma ne c'était pas réveiller. Apparement c'est normale, je suit toute l'équipe de secouriste jusque dans l'ambulance avant de m'installer à l'intérieur. Je tiens la main d'Emma fermement sans la lâcher des yeux.
L'ambulance arrive vers l'hôpital où va être admise Emma, je décide de m'écarter un peu du corps médical. Quelques temps après un infirmier viens m'annoncer que je peut aller voir Emma dans sa chambre apparement elle est réveillée.
Je m'avance vers sa porte de chambre avant de croiser un visage familier dans les couloirs. Je retrouve le nom très peu de temps après avoir analyser la personne. C'était un des mecs qui m'a poursuivis. Mais, ni Woo, ni Rodolph et pas le vieux à lunette de soleil.
J'entre dans la chambre, Emma était redressée sur sont lit et fixais la fenêtre.
Je m'approche d'elle et dépose un léger bisous sur son front, elle ne bouge pas.

- Tu va mieux ? Dis-je nerveux.

Pas de réponse de sa part, ni un regard. Après un moment Emma décide de répondre.

- J'ai toujours été bien. Jusqu'au moment ou tu m'annonce que tu veut partir.
- Je suis désolé.
- Tu t'es servi de moi pour ton propre besoin personnel.

Je ne répond rien et elle repris.

- Tu savais que j'était fragile.
- Tu n'est pas fragile Emma..
- Tu savais que j'avais besoin d'une présence, et tu était celle qui me fallait.
- Je suis pas un garçons pour toi, je suis pas un mec bien.
- Non tu as raison.

Aller prend sa Ken. Je ne répond rien, elle a tous a fais raison de réagir comme ça. Mais elle ne lache pas l'affaire et reprend.

- Pourquoi tu veut partir dis moi une bonne raison de t'en aller ?
- Je veut pas te faire souffrir.
- Tu le fait déjà inconsciemment. Dis-elle.

Elle a raison.

- Je suis désolé Emma.
- Ne m'approche plus s'il te plaît.
- Arrête ne dit pas ça.

Elle tourne le regard mais je ne part pas pour autant. Blasé, elle décide de s'asseoir dans sont lit. Mais souffle de douleur. Je l'aide mais elle refuse. Je vois c'est os apparaître sur certaine partie de sont corps. Elle capte directement mon regard. Mais n'ajoute rien.

- Tu m'explique ? Emma ? Me dit pas que tous ce que tu mange tu le vomi ? C'est pour sa ton malaise ?
- Non je suis juste fatiguée.
- Emma tu va me dire ce que tu as.

Emma.

Les paroles de Ken devenait de plus en plus cru. Mais je ne dit rien, si je lui dit que mon métier m'oblige à maigrir tous le temps il va s'énerver et sa va empirer. Il ce pose sur la fenêtre et ces mains lui tiennent le visage.

- Je suis juste fatiguée Ken. Mentais-je.

Il ne dit rien et enlève sa casquette. Et ce pose sur le fauteuil à coter de mon lit. Il n'ajoute pas un mots ni un regard et ne tarde pas à s'endormir. L'infirmière le réveille par sont arriver dans la chambre.

- Bonjour Mademoiselle Silva. Me salue t'elle.
- Elle va bientôt sortir ? Dit Ken en la coupant.
- C'est très positif mais ont a vos résultats et vous avez un énorme manque en vitamine.
- Je m'en doutais. Souffle Ken.
- Mais monsieur qui vous êtes ? Vous n'êtes pas patient si ? Alors laissez-moi parler.
- Je suis sont compagnon. S'énerve t'il.

Mais qu'est ce qu'il raconte celui là. Je ne dit rien mais je comprend rien du tous. L'infirmière reconnais Ken quelques secondes après.

- Oh excusez moi monsieur Nekfeu.
- Appelez moi Ken. Dit-il.
- Sinon je suis là moi aussi. Dis-je.
- Je vais vous laissez sortir mais prenez énormément de vitamines mademoiselle.
- J'y veillerais.
- Vous pouvez vous changer et quitter les lieux en signant la décharge à l'accueil. Bonne fin de journée.

Et l'infirmière quitte la chambre. Je ne tarde pas à questionner Ken sur ce qui lui a pris.

- Ont est pas ensemble. Soufflais-je.

Il ne répond rien. Mais fini par dire.

- Je vais te laisser te changer je t'attend dans le couloir.

Il part vers la porte avant que je l'arrête.

- Ken ? Dis-je.
- Quoi ? Lance t'il.

Je me lève vers lui malgré le manque de force mais il décide immédiatement de me porter et de me ramener sur le lit. Il dépose ces lèvres sur les miennes. Cette sensation est si parfaite que j'en abuserais tellement.

- Ont va pas le faire là. Rigole t'il.
- Tu ne me touche plus de toute façon. Rigolais-je.
- Pourtant tu m'a laisser t'embrasser. Sourie t'il.

Et il sort de la chambre.

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Merci encore de suivre la fiction !

Et si c'était toi. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant