Et si c'était toi.

35.

Emma.

Cela fait deux jours que mon enfant a disparu et personne se bouge pour le retrouver. Le commissaire m'a bien expliquer que sa seras long et intense en émotion. Les garçons voulaient rester et avaient annuler tous leurs rendez-vous sur la capitale ou concert. Je n'adressait la parole à personne me sentant entièrement coupable de sa. Ma grand mère passe le plus clair de sont temps à coller des affiches de mon nourrisson en ville. Mais rien n'y fait. L'enquête risque d'être longue mais il est hors de question que je reste planter là à attendre, la vie de mon fils est en danger.

Ken était partit au commissariat pour tenter d'avoir de nouvelles informations, voyant sont téléphone poser sur la table basse du salon, pris d'un élan de curiosité je le saisis. Mais je suis vite arrêter par la voix de Deen qui arrive à ce moment là.

Je repose immédiatement le cellulaire et fait comme si de rien n'était. Évidemment, il ne voit que du feu. Deen avait essayer de contacter un détective privée pour traquer la ville, il usais des contacts phocéens de sont père. Je ne pouvait que valider.

- Le détective privée aurais peut-être une piste mais il me faut le téléphone de Ken, tu sais où il est ? Me demande t'il.
- Tiens il est sur la table basse. Dis-je faisant mine de rien.
- Oh cool, bon il m'à demandé de le rejoindre dans un café. J'y vais. Toi va te reposer. Dit il en embrassant mon front avant de partir vers la porte d'entrée.
- Ont va essayer.

Quand Deen fut partie, je m'empresse d'essayer de trouver l'ordinateur de Ken mais il est introuvable. Aucune trace de sont PC dans cette villa. Fatiguée de tout ça, je décide de me pose sur le canapé, un repos qui se transforme en sieste de deux heures.

Deen Burbigo.

Alors que j'avance dans les rues bondées corse, je rejoins le détective dans un café branché sur l'esplanade qui donnait direct vu prenante sur le littoral. L'homme était vêtu d'un costume et de lunettes de soleil. Je m'approche de lui.

- Monsieur Burbigo, ravi de vous rencontrer. Dit l'homme.
- Moi de même Monsieur Santiago, mais appeler moi Deen.
- D'accord, avez vous le téléphone de votre amis comme je vous l'avez demander ?
- Oui le voici.

Je tend le téléphone portable de Ken à l'homme. J'avait une fâcheuse habitude d'avoir des intuitions sordides mais qui était vrai. Le message que Ken avait reçus la dernière fois m'a mis la puce à l'oreille. J'aimerais que le détective trouve d'où provient ce message et qu'ont recherche activement l'auteur, si sa ce trouve c'est cette personne même qui à kidnappé Eden.
Le détective lis doucement le message, lorsque il a finis, il me regarde.

- Cette personne en veut clairement à votre amis, mais je ne peut rien n'exploiter de plus, car comme il est écrit dans le sms cela provient d'une carte pré payer. Mais, je peut appeler les opérateurs parisiens ou corse en demandant si quelqu'un a récemment acheter une carte pré-payer.
- Ont était encore à Paris quand la personne nous as envoyer le message, pourquoi voulez vous aussi les opérateurs corse ?
- Laissez moi faire, tenez le téléphone de votre amis. J'ai pris le soin de prendre une photo, je vous tiens au courant de l'avancer de l'affaire.
- Faites vite, la vie d'un bébé est en jeux. Dis je sèchement.
- Au revoir. Dit l'homme en me serrant la main.

L'homme quitte le café et disparaît aussitôt. Je décide d'appeler Emma pour la prévenir de mon entretien avec l'homme. Mais cette dernière n'est pas au courante du message qu'avait reçus auparavant Ken.
Je préfère donc attendre d'être en face d'elle pour lui dire.

Ken Samaras.

Je suis au volant de ma voiture accompagné de Sneazzy. Voyant que l'avancer de l'enquête n'avançait pas un brin, nous avons pris la décision d'aller au commissariat. J'arrive en trombe devant les locaux et part d'un pas décider en direction du bureau du commissaire.
J'entre dans sont bureau sans frapper, j'ai les nerfs. Sneazzy me suit.

- Monsieur Samaras vous n'avez pas en rentrez comme ça !

Je ne l'écoute pas et l'agrippe par son col.

- Ecoutez moi bien, vous allez vous bougez le cul a retrouvé mon fils, car votre blabla y'en as marre je suis pas venu seul si vous voyez ce que je veut dire.

L'homme repris sa respiration.

- Vous voulez être mis en examen pour outrage à agent ? Non ? Alors lâchez moi.
- Pas tant que t'auras bouger ton cul de poulet et que t'auras retrouvé mon fils. M'énervais-je.
- J'ai dut nouveau mais lâcher moi.

Je le relâche avant d'aller m'asseoir face à sont bureau, sans le lâchez du regard. L'homme est en sueur pas top pour un flic. Sneazzy me regarde noir, oui j'aurais pas dut faire ça, mais la disparition de mon gamin me faisait perdre mon sang froid.

- Votre fils est vivant.
- Comment ça ? Dis je.
- Ont as reçus une vidéo d'un téléphone portable non localisable sûrement venant d'une carte pré payer, cette vidéo montrait votre fils entrain de dormir.
- Je veut la voir ! M'énervais je.

Mon fils était en vie, mais j'avait qu'une envie c'est d'enterrer vivant c'eux qui me l'ont pris. Le commissaire nous montre la vidéo, dans la quelle Eden est dans sont cosis endormis. Cela ne fait que raviver la colère en moi.

Mais je prend compte que c'est peut être la personne qui m'à envoyé un message quand j'était a Paris, cette personne qui a tout balancé par apport à Emma.

- J'ai reçus un message la dernière fois quand j'était a Paris. C'était une « fan » ou je ne sait quoi qui me menaçais, c'est elle aussi qui a fait parvenir des informations sur ma vie privée. Le message venait d'une carte pré-payé comme indiquer dans la vidéo.
- Avez vous votre téléphone sur vous ?
- Non je l'es laisser à la villa, mais je peut retourner le chercher.
- Allez-y.

Je quitte le bureau suivis de Sneazzy.

- Mo' reste ici, j'en est pour quelques minutes seulement, essaye d'en savoir plus sur cette vidéo j'en suis sûr que cet incapable en sait plus qu'il ne l'affirme, j'y vais.
- Fait attention mec, et t'inquiète je m'occupe de l'autre frangipane là.

•••

Ça faisait longtemps que j'avait pas publié et je m'en excuse !