Et si c'était toi.

19.

2 jours après.

Après notre discussion avec Ken de la dernière fois rien n'a vraiment changé. Je ne l'es pas encore revu. J'ai préféré stopper pour le moment j'arrive pas à lui pardonner.
Il m'a appeler des dizaines de fois hier mais il n'a jamais essayé de passer à l'appartement.
Je suis en plein devoir. Quand la porte sonne. C'était un livreur.

Il était brun avec la casquette de l'entreprise où il travaillais.
Je lui ouvre sans vraiment comprendre pourquoi. J'ouvre le colis sans même signé et m'empresse en fermant la porte de découvrir ce que c'est.
A mon plus grand étonnement c'était un sweat avec écrit « feu » en grand. Tous de suite j'ai deviner que ce cadeau venais de Ken.
Un petit sourire ce dessine sur mon visage. Un petit mot l'accompagnais.

          « J'espère que cela te ferras plaisir. »
                                     Ken.

C'est vraiment adorable de sa part. Mais je préfère quand même ne pas le contacter. Mon téléphone ce mets à sonner alors que je repose le colis sur ma table basse. C'est ma grand mère.

- Emma ? Dis elle.
- Oui ? Dis-je intriguée.
- Ton grand père a fait un malaise, nous somme à l'hôpital.
- Quoi ? J'arrive tous de suite.

Apeurée je cours jusqu'à ma voiture et rentre dans celle ci. J'arrive devant l'entrée de l'hôpital et arrive au standard.

- Bonjour. Je cherche Mr Jacques Silva ?
- Il est dans la chambre numéro 346. Dis la réceptionniste.
- Merci beaucoup. Dis-je.

Je part vers cette chambre. Mon grand père était allonger avec ma grand mère à ces côtés.

- Emma ! Dis il d'une faible voix.

Je cours dans ces bras en lui demandant si tous va bien. Il hoche la tête et reprend son journal. J'interroge ma grand mère au sujet de ce malaise. Elle le qualifie juste d'un malaise dût à la fatigue. Je ne réplique pas et m'installe sur le siège à coter du lit.

Quelqu'un frappe à la porte.

C'était Ken, choqué aucune parole ne sort. Ma grand mère me chuchote à l'oreille que c'est elle qui lui a dis de venir ici.
Ken, salue mes grands parents avant de s'avancer vers moi. Il embrasse mon front et ce place aux côtés de mon grand père.

Mon grand père pose son journal et augmente le volume de la petite télé de la chambre c'était le journal télévisé.
Ken me fixais du regard j'en profite pour lui chuchoter un « Qu'est ce que tu fait la ? »

Il me sourit seulement.

- Tu reste la jusqu'a quand papy ? Dis-je.
- Il me garde en observation et me conseil le repos.
- Combien de fois je t'es dit de pas te lever si tôt pour aller au café.

Nous rigolons tous ensemble à cette intervention de ma grand mère.

- Ont va vous laissez. Dis je en regardant Ken.

Ken se lève pour serrer la main de mon grand père et pour saluer ma grand mère. Je les salue de même. Et je part vers la porte, Ken me suis et ferme celle-ci.
Nous étions dans les couloirs mais peut importe je voulais savoir pourquoi il était là.

- T'es grands parents m'aiment vraiment bien ils sont tellement gentils. Dis il.
- Un peu moins quand il serons que tu m'a trompé. Soufflais-je.
- Écoute Emma, m'arrête t'il, je veut que tu arrête avec ça.
- Tu as de la chance que nous sommes dans un hôpital pour pas que je pete un scandale.

On sort de l'hôpital et sans un mots chacun de nous retourne vers sa voiture. Ken ne cherche même pas à m'arrêter j'ai dut l'énerver.

Je m'installe dans ma voiture avant de le regarder partir.

Quand j'arrive devant l'immeuble il m'attendais, adossé sur son capot.

- On part du même endroit et tu arrive 10min après. Souffle t'il.
- Tétait pas obligé de m'attendre. Dis-je.

Je rentre dans l'immeuble et Ken me suis. Devant ma porte d'entrée je rentre les clés dans la serrure mais Ken décide de m'arrêter.

- Ont va continuer à sa longtemps ? Dis il.
- Autant de temps qu'il faudras. Affirmais je.

Ont rentre et Ken reste dans l'entrée. Il joue à quoi là ? Je m'installe comme si de rien n'était dans mon canapé et il ne tarde pas à me rejoindre.
Il s'assoie sans un mots. Je sens sont regard poser sur moi. Mais je ne faiblis pas pour autant.

- Emma.. Dit il.

Je me tourne pour lui faire face et je plonge mon regard dans le sien.

- Oui ?
- Pardonne moi.

Je m'avance vers lui et poser légèrement mes lèvres contre les siennes. Un sourire s'affiche sur son visage. Il me prend dans ces bras avant de me porter jusqu'a ma chambre. Il me chuchote à l'oreille.

- Vous êtes sublime mademoiselle, je vous croquerais bien tous entière.

J'éclate de rire par ce qu'il viens de me dire.
Ken me pose sur le lit et commence à me déshabiller je fait pareil pour lui, il est couper dans son élan par sa sonnerie de portable.
Il décroche sans me quitter du regard.

- Oui ? Dis il.

Après avoir raccrocher cinq minutes après. Ken  ce redresse.

- Je suis désolé, je doit y aller.
- Ça ne va pas ?
- Je peut rien te dire.

Ken remets sont t-shirt et m'embrasse tendrement avant de partir.

________________________________

A vos avis.