Et si c'était toi.

37.

Commissariat - Ajaccio.

J'avais plus le choix je devait affronté la vérité en face comme une sorte de prise d'air ou comme ce prendre une vitre en pleine figure. Sneazzy nous attendait devant la porte de l'horreur si je peut qualifié cet endroit de tel.

Il a le regard fermé, tous comme moi et Ken. Je sait très bien qu'il ce trame encore des choses pas net autour de nous, sa m'agace. J'entre suivis des garçons en première, je prend à peine le temps de repérer les lieux. Je reconnais ses lieux. La porte du bureau du commissaire est entre ouverte, je saisis la poignée de la porte d'entrée sans prendre cette putain de peine de frapper.

Le commissaire ce lève directement quand j'affronte sont regard.

- Qui êtes vous ? Sursaute l'homme.
- C'est ma compagne, annonce Ken.

Je m'attendait pas à une réponse aussi affirmative que celle-ci, même si ce n'est plus le cas je sais pourquoi Ken avait répondu à ma place, pour éviter le questionnement déplacer du commissaire, même si m'a venu n'était pas vraiment justifié.

- Je suis la mère du bébé, soufflais-je.

L'homme se rassois signe qui l'à repris ses esprits. Je prend l'initiative de m'installer de même sur la chaise du milieu, à ma droite il y'a Sneazzy et à ma gauche Ken.

C'est alors que le commissaire reprend les choses.

- Avez vous le téléphone Monsieur Samaras, demande t'il d'un air enjoué. C'est simplement pour regarder le message.

Ken jette un coup d'œil à Mo puis dévie vers moi avant de sortir de sa poche le smartphone.
Le commissaire demande le code de déverrouillage et Ken l'emmène directement dans l'application message, l'homme relis plusieurs fois à voix basse le texto et analyse la vidéo. Cela a durer quasiment une demi-heure, j'était agacée mais surtout stressée du résultat. Si bien sûr, il y'en a.
Le commissaire repose le téléphone sur sont bureau encombrés et ce touche la barbe avant d'entamer une sorte « d'explication ».

Je ne m'empêche pas de regarder les garçons qui sont autant stresser que moi.

- C'est un complot, mâchouille le comico sous l'œil attentif de nous trois, quelqu'un ne vous en veut pas indirectement, mais veut que vous payer pour quelques choses.

C'était trop abstrait pour moi, ce qu'il tentais d'insinuer le plaisait encore moins, mais un détail a refait surface une sorte de flash horrible et incontrôlable.

Flashback.

Je voulait une bonne fois pour toute parler avec mon père, j'avait la fâcheuse manie de vouloir empirer ou faire en sorte que les choses soit éclaircie au contraire de lui. J'entre dans sont appartement vide, ne comprennent pas cette situation mon père apparaît quelques secondes après mon arrivée avec une pile de livre dans les mains.

- Étant donner que ta grand mère est têtu et que cet appartement ne me convient plus, je déménage.

Une voix féminine et aiguë viens le couper.

- Chéri, j'ai mis le chien dans la voiture.

Une jeune femme me fait face, la même femme que la dernière fois lorsque j'avait revu mon père au restaurant. Elle arbore une mine fuyante et me fait seulement signe de la tête, comme si sa présence gênait. J'était pas vraiment d'accord avec le fait que mon père refasse sa vie pour moi il aimait ma mère encore même si elle n'était plus là.

- Je vais vous laisser,bégaye t'elle, chéri je t'attend dans la voiture.

Elle disparait, mon père ne dis rien et pose sont tas de livre, avant de commencer une discussion dans ce bazars humain.