Live While We're Young [TOME 2]

Cloé : 18th birthday.

PDV d'Albane :

Je calais ma tête dans son cou et nous nous endormîmes.

 La maison de Louanor était presque terminée, les concerts en France ont été géniaux tout comme les projets, et j'en passe ! Je n'ai jamais vu les garçons aussi émus.

J'ai reçu les résultats de mes examens et je les ai réussi ! J'ai eu tout juste la moyenne !

Il y a quelques semaines Harry et moi nous sommes disputés assez violemment, et... nous ne sommes actuellement plus ensemble. Il a été furieux quand il a vu les messages que m'envoyait Jules. Jusque là, il pensait que tout avait cessé, mais malheureusement non.

*Flash Back*

Je sortais de la salle de bain après avoir pris ma douche quand je vis Harry sur mon téléphone. Il se tourna brusquement vers moi, la mâchoire contractée. La veine dans son cou ressortait. Il me le jeta presque au visage.

Harry :  Tu vas me le cacher encore longtemps ?!

Je ne savais pas quoi dire, je ne lui avais rien dis pour ne pas qu'il aille commettre un meurtre. Rappelez vous de sa réaction quand il a appris que Paul avait essayé de m'embrasser.

Il avança rapidement vers moi et me prit par les épaules.

Harry : Réponds moi ! Tu comptais me le cacher encore longtemps ?

Je tournais la tête, évitant son regard.

Moi : Harry...

Harry : Ça fait combien de temps ?!

Moi : Il n'a jamais arrêté.

Harry : Putain mais pourquoi tu ne me l'as pas dit ? Tu ne me fais pas confiance, c'est ça ?

Ouch ! Ça fait mal ça !

Harry : Tu me déçois.

Moi : Haz', s'il te plaît ?

Harry : Non, il n'y a plus de Haz' ni de bébé. Plus rien. C'est fini.

C'est une blague ?

Ma bouche s'ouvrit et mes yeux se remplirent d'eau. Il déposa un dernier et bref baiser sur mes lèvres et partit en claquant la porte. Je tombais à genoux, ma tête cachée dans mes mains. J'attrapais mon téléphone et  appelais Jules, ou le salaud qui a ruiné mon couple.

Moi : T'ES CONTENT ? TU AS RUINE MON COUPLE !

Jules : J'en suis très fier, je vais pouvoir te reprendre.

Moi : VA EN ENFER !

Il ricana et je lui raccrochais au nez. Je lançais mon téléphone contre le mur en hurlant.

Moi : PUTAIN !

Je fondais en larmes et me laissais glissais contre le mur.