PDV de Jules :
Je me réjouissais déjà.
J'attendais patiemment que le 4x4 d'Albane se gare devant l'immeuble de son bureau. Je patientais collé contre le mur.
Le Range Rover noir se gara et la fille que j'attendais en descendit. Je me mordais la lèvre en la voyant. Son jean moulant et son chandail émeraude la mettaient parfaitement en valeur. Ses cheveux châtains dégringolaient dans son dos.
Elle regarda de droite à gauche avant de traverser.
PDV d'Albane :
J'allais pousser la porte de l'immeuble quand une présence se fit sentir derrière moi. Je me retournais mais ne voyant personne. Je soupirais et entrais. Je grimpais vivement les marches et pénétrais dans le hall.
Heather : Bonjour Mademoiselle Swan, votre thé est prêt sur votre bureau comme d'habitude.
Moi : Merci Heather.
Je lui gratifiais un rapide sourire et lâchais mon sac au pied de mon siège une fois dans mon bureau. Une tasse de thé bouillant m'attendait. Comme tous les jours. Je m'installais et allumais mon ordi.
Heather toqua et passa sa tête dans l'entre-baîllement.
Heather : Un jeune homme souhaite vous voir, je le laisse entrer ?
Je fronçais les sourcils.
Moi : Oui.
Heather : D'accord. S'il se passe quelque chose de mal, n'hésitez pas à m'appeler et je préviendrai Monsieur Foster.
J'hochais la tête et me levais pour accueillir la personne. Jules arriva dans mon bureau avec un immense sourire. Je fermais la porte derrière lui, par chance, je ne pouvais pas la verrouiller.
Moi : Qu'est-ce que tu veux ?
Il ricana.
Jules : Je viens te chercher.
Ce fut à mon tour de rire. Il m'attrapa par les épaules et me plaqua contre le mur. Il me bloqua les poignets, comme la fois où je suis sortie du café. Quand Cloé a appelé Paul pour qu'il vienne m'aider, peu de temps après notre retour de Londres. Il y a de cela il y a plus d'un an.
Je serrais les dents.
Moi : Lâche l'affaire Jules, ça ne sert à rien.
Jules : Non, ne crois pas que je vais abandonner si facilement ma jolie.
Je tentais de le repousser mais en vain, sa force battait la mienne. Il maintint mes deux dans une des siennes au dessus de ma tête et passa sa main libre son mon pull.
Moi : Va t-en !
Il resserra son emprise et joua avec la bretelle de mon soutient-gorge. Il enfoui sa tête dans mon cou et y déposa une pluie de baisers (répugnants). Il rémonta jusqu'à ma mâchoire. Il déboutonna le bouton de mon jean.