Live While We're Young [TOME 2]

Steal my girl.

PDV d'Harry :

J'éteignais le réveil que j'avais mis à sept heures. Je soupirais. Nous devions terminer le tournage de notre nouveau clip Steal my girl. Pas que cela m'embêtait, au contraire, j'aimais beaucoup tourner cette vidéo. 

Faith venait avec moi parce qu'Albane ne pouvait pas la garder. L'institutrice de Faith était absente pour la semaine, apparement malade.

Je sursautais en entendant notre fille entrer dans la chambre en pleurnichant.

Faith : J-J'ai fait un cauchemar.

Moi : Viens te coucher avec moi.

Elle grimpa et se faufila sous la couette avec moi. Albane n'étais plus dans le lit, elle était déjà réveillée et était en train de se préparer. Je passais un bras autour de la petite taille de Faith et essuyais ses joues. Elle se rendormit peu de temps après.

J'embrassais son front.

Moi : Je t'aime ma petite princesse.

J'attrapais mon téléphone sur la table de nuit et la prenais en photo. Je publiais ensuite la photo sur Twitter.

Albane sortit de la salle de bain et s'arrêta quand elle vit Faith dans notre lit.

Albane : Bah voyons!

Elle s'abaissa et me plaqua un rapide baiser sur les lèvres ainsi que sur le front de notre fille.

Albane : Fais attention à elle, appelle moi si il y a un problème.

Moi : Princesse, elle ne risque pas de s'ennuyer. Il a des animaux, des danseuses, Lottie sera là.

Albane : Fais attention à elle quand même.

Moi : Arrête de t'inquiéter, tout se passera bien.

Je l'embrassais de nouveau et lui donnais une tape sur les fesses.

Moi : Aller, va travailler.

Elle soupira et sortit de la chambre. J'attendit quelques minutes que Faith soit replonger dans un sommeil profond pour me lever. Louis m'envoya un message pour me dire que Lottie nous rejoindrait directement aux studios de tournage.

Je ne m'embêtais pas à choisir mes vêtements puisqu'on nous en prêtait là-bas. Je prenais ceux de la veille, un boxer propre et allais à la douche.

Je m'habillais rapidement et allais préparer la tenue de Faith. Je ne pouvais pas prévoir quelque chose de chaud parce qu'elle finirait par se plaindre de la chaleur mais je ne pouvais pas prévoir quelque chose de léger. Puis c'est moins facile pour un père de choisir les vêtements de sa fille qu'une mère. Je sortais un jean noir pour éviter qu'elle ne se tâche, un t-shirt Mickey, un gilet en maille larges mais fines rouge et des converses de la même couleur.

Je m'asseyais à côté d'elle et déposais une pluie de bisous dans son cou pour la réveiller.

Moi : Petit coeur, il est l'heure.

Elle se frotta les yeux et s'assit.