Live While We're Young [TOME 2]

On a quelque chose à vous dire.

PDV d'Albane :

Ils avaient tous sursauter sauf mes complices. Les autres se lévèrent et ...

Et coururent vers nous, sauf que mon frère et moi eûmes l'idée de rentrer dans la cuisine et de fermer la porte derrière nous. Un énorme "BOUM' résonna dans la maison. Le temps qu'ils réagissent, nous étions cachés dans un placard. 

Louis : Bah merde. Ils sont où?

Adrien plaqua sa main sur sa bouche pour empêcher un rire d'en sortir. La voix mélodieuse de ma cousine me réchauffa le coeur.

Eleanor : Nous devrions chercher. Peut-être que nous les trouverons.

Cloé : Tu as raison.

Celle de ma meilleure amie m'avait énormément manqué. Son accent aussi. Je jouais avec les cheveux de mon frère, attendant que le temps passe. Sauf que ce temps fut vite réduit. La porte de notre placard s'ouvra brusquement et on y découvrit Zayn. Un porte qu'il referma. Mais qu'il rouvrit aussitôt, et les autres se tenaient tous devant celle-ci. Adrien fit un signe de la main et moi... moi... je souriais bêtement. Liam tendit une main chaleureuse à mon frère.

Liam : Moi c'est Liam, enchanté.

Tout le reste du groupe ce présenta sauf nos acolytes. Nous sortîmes de notre étroite cachette afin de mieux faire connaissance avec les autres. Enfin pas moi, Adrien puisque moi je les connais déjà. Eleanor s'avança vers mon frère et le serra dans ses bras.

Eleanor : Je suis contente de te rencontrer cousin.

Adrien formula avec ce que je lui ai appris pendant le voyage, une phrase correcte. Pas trop mal, au passage.

Adrien : Moi aussi cousine.

Moi : Excusez le, il ne parle pas beaucoup anglais.

Niall : Nous aurons tout le temps pour lui apprendre.

Eleanor : Lui faites pas peur non-plus. Laissez lui le temps de s'intégrer déjà.

Le Pakistanais s'approcha de mon frère et passa son bras autour de ses épaules.

Zayn : Ne t'inquiètes pas mec, on t'aidera à trouver une copine.

Louis : Une petite anglaise.

Adrien : J'aime les anglaises.

Fou-rire collectif. Je me dirigeais vers nos valises et en saisissais deux.

Moi : Quelqu'un peu m'aider à monter les valises, s'il vous plait.

Harry : Laisse les là, on les montera plus tard.

Je reposais les bagages que j'avais dans les mains, à leur place. Mon téléphone vibra dans ma poche arrière de mon jean. Je le sortis et décrochai.

*CONVERSATION TÉLÉPHONIQUE*

Moi : Allô?

?? : A l'huile.

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Déjà, c'est une personne française.

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Moi : C'est très drôle. Qui êtes-vous?

?? : Tu ne reconnais pas ma voix?