les larmes d'un phénix noir

Chapitre 20: piège à oiseau

Caché derrière une porte, Harry observait discrètement Dumbeldore.
Le vieil homme cachait quelque chose, et Harry voulait découvrir quoi.

Il savait que papy Dumby ne lui voulait pas de bien et les regards qu'il lui lançait avant de disparaître on ne sais où confirmait ses pensés.

Quand Dumbeldore venait dans la maison des Black, il disparaissait automatiquement pendant un certain temps avant de réapparaître son sourire hypocrite au visage.
Le brun avait déjà tenté de le suivre, plusieurs fois même. Mais à chaque fois, des éléments perturbateurs surgissaient.

Il y avait par exemple l'intervention de Ron pour allez jouer au quidditch ou celle de Molly qui disait à Harry que le dîné était près. Une fois, Dumbeldore l'avait vu et avait fait demi-tour. Après cette scène,  le vieux faisait beaucoup plus attention à ses arrières.

Le sauveur en avait marre. Combien de fois il voulait dire à Ron d'aller s'enfoncer son balais dans le cul parce-que, non; pour la 200ème fois il ne voulait pas jouer au quidditch. Quand à Molly, la gentille Molly... Après avoir découvert qu'elle avait essayé de le marier avec Ginny derrière son dos, il ne voulait plus avoir à faire avec elle.

Le jeune homme jura lorsque Dumby lui échappa encore une fois, et un jargon peu fleuri s'échappa de sa bouche.
Qu'est ce que Dumbeldore cachait de si important? Si secret?

Bon, il n'était pas stupide au point de ne pas savoir qu'il devait s'agir d'une chose étant capable de le tuer ou de le blesser physiquement ou moralement, à moins que ce soit les deux?

En tout cas, ça devait être par rapport à lui, il en aurait mis sa main à couper.

-Harry? Appela sirius inquiet pour son filleul. Arrête de suivre Dumbeldore.

Le jeune homme regarda son parrain avec étonnement, ça devait faire 1h maintenant, qu'il parlait ensemble à propos de ce que cachait Dumbeldore.  Il lui avait déjà parlé de ça hier et encore avant-hier et peut être aussi le jour avant...
Mais c'était bien la première fois que Sirius lui disait d'abandonner.

-mais pourquoi?

-je ne sais pas ce que complote ce vieux fou Harry. Mais ce que je sais c'est qu'il est rusé, ça me peine de le dire, mais c'est la vérité. Pourquoi ne transplane-t-il pas directement la où il va? Pourquoi disparaître alors que tu es présent? Pour moi c'est un piège. Je te demande d'arrêter de le suivre.

Le brun réfléchit, c'était vrai, pourquoi le grand Albus Dumbeldore était il aussi... exposé alors qu'il était un maître en terme de secret?

-c'est d'accord, je vais arrêter de le suivre, tu as raison, Sirius, comme toujours...

-tu sais, quand tu passes tes journées dans un cadre, tu apprends la patience et la réflexion,  deux choses que les griffondors n'ont pas l'air de connaître!

La remarque fit sourire le brun qui continua à parler avec son parrain.
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Harry ne pouvait s'empêcher de jeter des regards noir à Dumbeldore.

La veille, lorsqu'il était partit manger, il avait vu le vieil homme vider un flacon dans son verre lorsqu'il c'était retourné pour parler avec kingsley qui c'était invité au souper.

Et Dumby aurait réussi son coup si Harry n'avait pas eu un miroir derrière lui pour refléter ses manigances.

Il avait vite pris le verre de Ronald et caché le siens sous la table pour faire croire qu'il buvait son verre.

Et après le soupé, il pu tester le poison en remerciant Rogue pour ses cours de potion qui lui aurait, au final permis de faire quelque chose.

Un filtre d'amour,  avec, sûrement,  une goutte de philtre du mort vivant... de quoi faire de lui un vrai légume.

Fou de rage d'avoir failli avalé la boisson Harry décida d'aller dire deux mots à son ancien directeur. Mais quand enfin il le trouva entrain de fuiner dans un couloir, il ne pu s'empêcher de regarder discrètement.
Ses yeux s' écarquillèrent lorsque un des mur du hall se transforma en porte.

Il décida de retourner dans sa chambre et de retourner plus tard là-bas.

Et c'est ce qu'il fit 3h plus tard, tout les habitants de la maison dormaient à point fermé et Albus devait être partis comme tout les jours.