les larmes d'un phénix noir

Chapitre 3: deuxième larme

Harry se réveilla sur le parquet glacé de sa "chambre" son corps meurtris lui rappelait ce qu'il s'était passé le soir même. Il ne savait pas combien de temps Vernon c'était défoulé sur son corps ni combien de temps il était resté la... tout ce qu'il savait se limitait au fait qu'il vivait toujours. Pendant la visite de son oncle la cage d'Hedwidge c'était retrouvée au sol et son amie a plume blanche devait avoit morflé autant que lui. Il la libéra et la fit passer entre les barreaux de sa fenêtre en ne prenant pas attention à ses hululement indigné.

-c'est mieux pour toi ma belle, si je dois mourir ici je ne veux pas que tu en payes les frais... va!

La chouette effrai eut l'air d'hésiter de longues minutes devant la fenêtre de cette chambre, avant de partir sûrement à contre coeur.

Harry laissa perler une larme au coin de ses yeux avant de se détourner et s'asseoir sur son pseudo lit. Le voilà de nouveau seul...

Enfin c'était ce qu'il croyait avant de se relever en étouffant un petit cris de douleur. Quelque chose venait de lui griffer le bas du dos.
Il se retourna vers son lit pour voir une boule noir.
Un chat. Un chat qui, pour l'instant, n'avait pas l'air très content d'avoir servis en tant que fauteuil. Il se calma neanmoin quand le brun approcha sa main vers lui. Harry remarqua quand même une certaine... crainte? Non le matou était tout sauf craintif il semblait évaluer le jeune homme pour voir si celui ci méritait de le carresser.
Finalement il se laissa faire un peu rendu, sous les yeux amusés du brun.

-qu'est ce que tu fais la toi?

Les yeux fendus du chat se reposèrent sur la frêle silhouette de son hôte improvisé. L'animal se contenta seulement de baillé et de reposer sa tête sur le matelas.

Harry pouffa à ce comportement. Il venait de gagner un chat. Comment était-il rentré? Depuis quand était-il la ? Ça lui importait peu un chat était indépendant celui la s'enfuirait directement si Vernon reviendrait.

Le jeune homme se coucha sur le lit entourant le chat de son corps. Il s'endormit profondément après quelques minutes à passer ses doigts dans le pelage soyeux de son nouveau compagnon.

Une main s'arrêta à quelques centimètre du visage du brun. Voldemort le toisait de haut en bas.
Lorsque la bataille finale avait éclaté quelques mois auparavant, il devait avouer qu'il n'avait pas du tout pris la peine d'observer son adversaire. Il n'avait pas remarqué les joues creusés de sa némésis son visage de poupée à la limite de la féminité, ni la taille frêle et minuscule qu'il possédait. Et encore moins la beauté époustouflante de ses magnifiques yeux vert.

Alors voilà à quoi ressemblait vraiment son âme soeur?

Loin d'être déçus il était comblé. Ce garçon était tout simplement sublime. Autant physiquement que mentalement. Il possédait une douceur, une innocence et une gentillesse que lui, le seigneur des ténèbres, ne possédait pas. Sur le moment, il se sentit stupide d'avoir essayé d'attenter à la vie de cet être si... petit.

Sa main continua son chemin jusqu'à la joue de son ancienne némésis, la lui caressant le plus doucement possible. Il ne put empêcher un sourire satisfait s'installer sur son visage lorsque sa moitié se cala un peu plus contre elle pour rechercher son touché.

Oui, Potter lui appartiendrait, corps et âme, il s'en fit la promesse. Même si ça devrait prendre des dizaines d'années. Voldemort savait reconnaître ses erreurs et la, il n'en avait jamais fait d'aussi grande que de s'en prendre à harry Potter, à son âme soeur.

Des pas se dirigeant vers l'endroit où ils étaient l'interpellèrent il se cacha sous le lit près à intervenir si aucune autres solution se présentait.

Une première voix s'éleva.
-il n'a pas mangé depuis 2 jours ma femme lui en a donné lorsque je me trouvais au travail. Il faudra y remédier rapidement peut être un de vos abracadabra ridicules...

L'autre personne qui répondit, Voldemort ne connaissait que trop bien sa voix.

-mon chère Vernon je vous ai demander de me débarrasser de lui le plus vite possible de manière naturel, je ne peux vous aider sur ce coup là, Potter doit mourir d'une mort moldue, et non grâce à l'appui d'un sort.

Le lord noir entendit un bruit ressemblant à un grognement.

-vous semblez oublier que si je tue ce..  monstre, vous ne risquerez rien bien cacher dans votre monde d'anormal!

-j'ai autant voir même plus de choses à perdre que vous si je me fais découvrir, il a déjà fallu que je m'occupe d'une nuisance lors de la guerre. Une misse je-sais-tout pour pouvoir continuer mes activités. Écoutez moi bien Vernon potter doit mourir pour... Le plus grand bien. Tonna cette même voix bien trop connue.

La conversation ce termina sur des insultes envers le jeune brun profondément endormis et des banalités qui importait que peu voldemort.

Néanmoins, avant de partir, le sorcier lança un sort de magie noir à harry clamant au et fort au dénommé Vernon que Potter avait du mal à ce remettre d'avoir tuer un homme. Le plongé dans ses pires cauchemar lui avait alors sembler une excellente idée.

Une fois definitivement partit.
Le lord noir sortit de sa cachette, reprenant forme humaine.

Il s'abaissa à hauteur de son, bientôt,  futur amant et lui susurra délicatement à l'oreille.

-tu n'y es pour rien Harry. Tu étais obligé de me tuer et jamais plus je ne t'en voudrais. Ça fait à peine quelques heures que je t'observe et je peux déjà affirmer haut et fort que plus jamais je ne pourrais te faire le moindre mal.

Une lumière bleu, signalant un contre sort s'échappa de la paume de voldemort alors que sa jeune âme soeur reprenait un air serein dans son sommeil.

Quand il se réveilla il retrouva son chat contre sa poitrine.