À travers la misère

PARTIE 7

j'ouvre la porte et c'est avec grande surprise que je découvre cette personne devant moi.

Cette personne qui fait en sorte que j'ai la haine.

Elle : Ma fille..

Je fronce les sourcils et reste sans réponse.

Je sens les pas de quelqu'un se rapprocher de la porte, c'était Emre

Emre : C'est qui ?

Moi : ...

Il vient vers moi, je me décale donc et je le regarde rester bouche bée, sa fesait quand même cinq putain d'année qu'on la voyait plus.

Emre : T'es pas morte toi sérieux ?

Elle : E..

Emre : Parle pas s'il te plaît.

Elle : Emre pa..

Emre : Dit pas mon prénom, je veux pas te manquer de respect, t'es ma grande et j'aime pas manquer de respect au plus grand que moi et surtout au femme, j'ai appris ça de ma sœur, ouais de elle *il me pointe du doigt* et tu sais quoi ? C'est comme si ma mère c'était elle et pas toi,depuis gamin c'est elle qui s'occupe de moi et pas toi, mais pourquoi ? pourquoi réponds moi putain ?

Elle : ...

Emre : T'existe plus pour nous.

Arzu : Kim geldi ? ( c'est qui qui est venue ?)

Elle vient aussi vers nous, putain faut vraiment pas que Kaya vient aussi parcequ'il va peter un câble, heureusement que les petits dorment.

Elle ouvre bien la porte qui était juste entre ouverte.

Elle me regarde et regarde Emir, elle fait un petit sourire et la regarde.

Arzu : Bah c'est qui elle ? La voisine ?

Moi : Arzu !

Arzu : Nee ? ( quoi ?) bref désolée d'être si impolie mais on va y'aller dormir donc bonne nuit.

Et elle ferme la porte.

Arzu : Elle est culotté à se pointer ici votre pote.

Je la regarde et soupire on reste quelque secondes devant la porte, et on s'avance vers le petit couloir mais sa toque encore à la porte, Arzu se retourne sur les nerfs pour ouvrire la porte, dés qu'elle l'ouvre elle crie.

Arzu : NEE BEE ? YETER DEFO... ( QUOI PUTAIN ? STOP DÉGA...)

?? : Noluyo burda ? ( Quesqu'il se passe ici ?)

Arzu : Baba ? nerde o kadin ? ( Papa ? Elle est où cette femme ?)

Il rentre et ferme la porte, il fronce légèrement les sourcils et nous regarde de manière incompréhensibles.

Lui : Qui ?

Arzu : Bah tu vois la meuf qui nous a accouché ? Elle.