PARTIE 14

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Je fronce mes sourcils et pose mes mains sur ses pectoraux pour le pousser encore une fois mais il colle ses lèvres sur les mienne.

Première réaction que j'ai eus c'est de le pousser super fort et de lui en coller une.

Il me regarde et sourit.

Il a vraiment des problèmes psychologiques..

Lui : tu disait ? Je croyais qu'il n'y aurait pas de prochaines fois.

Je reste silencieuse et j'essuie ma bouche, j'avais bien dit qu'il n'y aura pas de prochaine fois, vous vous rappellez la dernière fois que je l'ai gifler ?

Lui : Je suis bien gentil je te touche pas, la prochaine fois que t'ose me gifler craint toi au pire !

Moi : Quesque tu vas faire ? Me tapper peut-être ? Quel bonhomme !

Il passe son pouce sur ma joue et sourit encore une fois.

Lui : Je touche pas les femmes moi, sache, juste que je te ferrais regretter.

Je le pousse pour qu'il soit bien loin de moi et le regarde dans les yeux.

Moi : Sen den korkmuyorum, bir şey de..( J'ai pas peurs de toi, tu veux que je te dise quelq..)

Quelqu'un me coupe la parole, c'était Burak.

Il fronce les sourcils et me regarde, super Azra t'es dans la merde.

Burak : Vous faites quoi ici ?

Lui : Elle me montrait les WC.

Il me regarde pas très convaincue mais ne dit rien, il va sûrement me faire une remarque plus tard..

On se dirige vers le salon et je vous assure que pendant trente minutes j'ai rien fait à part faire le services du thé, je me sens plus que fatigué.

J'allais débarrasser la table mais...

Lui : Son bir cay alabilirmiyim ? ( Je peux avoir un dernier thé ?)

Je hoche la tête et je vais à la cuisine lui remplir du thé, j'espère qu'il va s'étouffer avec.

Je lui ramène et je débarrasse la table pour de bon, je prépare les fruits et les ramène au salon, mon rituel quand y'a des invités : manger, café turc, thé turc, fruit.

Je m'assoie par-terre et je commence à couper quelque fruit, je lève la tête vers mon frère, il était entrain de me regardait d'une façon incompréhensible, il détourne le regard vers son patron, il tourne le regard vers moi une deuxième fois et fronce les sourcils.

Burak : Siz tanışıyormusunuz ? ( Vous vous connaissez ?)

Je tourne directement le regard vers lui, et je reste sans réponse pendant quelque seconde.

Lui : Y..(N..)

Il allait parler mais je lui coupe la parole, si c'est pour mentir sa sert à rien. Le mensonge mène à rien du tout, il t'apporte juste des millier de problèmes.

Moi : Evet. ( Oui.)

Burak : NEE ? ( QUOI ?)

Moi : Je vais t'expliquer..

Burak : ...

Moi : Tu vois je travaille au snack et samedi dimanche et lundi je travaillais pas, du coup j'ai travaillais chez lui *en tournant le regard vers lui* trois jours, mais j'ai arrêté, je continue de travailler au snack.

Il sert son poignet, je sens que quand il va partir, une longue leçon de vie va m'attendre.

Burak : Sen bekle..( attends toi..) d'ici deux mois t'arrête de travailler !

Lui : J'aurais su que c'était ta sœur jamais je l'aurais fais travailler.

Mais ? C'est un hypocrite !

Je le regarde d'un air choqué et je chuchote.

Moi : Geber ! ( Crève !)

22h40

Je débarrasse la table basse je vais faire la vaisselle, je vais vers le salon pour dire à Burak que je vais dormir mais la porte sonne.

Je vais l'ouvrir et je vois Karim, je m'attendais pas du tout !

Karim : Salam Aleykoum çava ?

Moi : Aleykum Selam, oui et toi ?

Karim : hamdoullah, c'était pour te demander de l'a..

Burak : C'est qui ?

Burak s'avance vers la porte suivit de son patron.

Moi : Karim.

Il vient à mes côtés et le tshek, je me retourne pour voir se que fait l'autre, il était entrain d'enfiler c'est chaussures.

Karim : Alors tu vas mieux ? T'es sortit quand de l'hôpital ?

Burak : Ouais tranquille,hier, et toi du coup sa va mieux ?

Karim : Ouais..defois ma respiration bloque, apparemment c'est dû au stresse.

Burak : Stresse de quoi ?

Karim : Des petits problèmes...

Burak : Rentre, quesque tu attends ?

Il me regarde, je hoche la tête et je le laisse entrée.

Burak : Gidiyormusunuz ? ( Vous partez ?) Biraz daha kalsaydiniz..( vous auriez dû rester encore un peu..)

Il lève sa tête pour répondre mais sa tête bloque sur Karim, et lui de même, je fronce les sourcils et les regarde.

Lui : Karim ?

Karim : Ensar..fils de p*te !

J'ai rien vu passer qu'en une seul fraction de seconde Karim saute sur.. Ensar ?

À travers la misèreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant