À travers la misère

PARTIE 11

Moi : Je suis personne pour..

Lui : Pourquoi tu ment ? Dis-lui !

Je fronce les sourcils et le regarde, il me fait un clein d'œil mais je compte pas rentrer dans son jeu, donc je préfère rien dire.

Lui : C'est ma fiancée.

Elle la regardait deux minutes,sans expression sur le visage, elle baisse les yeux, elle allait s'en aller mais je l'ai retenue par le bras.

Moi : C'est pas vrait..

Elle : Lâche-moi !

Moi : Regarde j'ai pas de ba..

Elle : PUTAIN LÂCHE-MOI !

Je lâche son bras et je la laisse partir, si elle veut pas m'écouter je peux pas forcer, elle claque la porte, je me retourne vers lui et fronce les sourcils.

Moi : Pourquoi vous avez  mentit ?

Lui : C'est pas ton dos ça.

Il allait se retourner mais je le retient par son poignet, il baisse sa tête vers son poignet entouré de ma main pendant que je le regardais sérieusement dans les yeux.

Moi : À ce que je sache sa me concerne.

Il rigole et me regarde.

Lui : T'es qui pour que je me justifie ?

Moi : Je suis qui ? Mais laissez moi rire s'il vous plaît *je lâche son bras brusquement* vous êtes peut-être mon supérieur mais vous avez pas le droit de m'inventez une vie !

Lui : Je te paie non ? Je fais de toi se que je veux.

Moi : Je gagne de l'argent parceque je fais le ménage, à se que je sache je ne gagne pas un plus pour que vous vous amusiez à faire de moi se que vous voulez.

Lui : Donc si je te donne plus tu vas faire tous se que je veux ?

Je tourne la tête de droite à gauche.

Lui : Parle pas pour rien alors.

Mais quesqu'il me saoul..je crois je vais démissionner juste à cause de sa salle gueule.

Je lâche un petit rire nerveux et le regarde.

Moi : Je voudrais bien vous obéir..mais à partir de maintenant vous n'êtes plus mon supérieur,je démissionne.

Certe j'ai pas réfléchi en disant ces mots, mais y'a le snack..de plus je pense que d'ici un moi Burak reprendra le travail; dire que mon père travail.
Il gaspille que pour lui-même.

Lui : Déjà ? On allait bien s'amuser pourtant..

Je le regarde droit dans les yeux, mais il est vraiment sérieux ?

Lui : Enplus je suis en vacance pour deux mois..vraiment c'est dommage.

Je me suis pas retenue une seul seconde de plus et je les giflés bien fort, il a froncé les sourcils, de ses yeux sa se voyait qu'il voulait me tuer.