PARTIE 17

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Burak : Çaremiz yok Azra..(On a pas le choix Azra..)

Je le questionne du regard un peu perdue.

Burak : On risque de se faire virée !

QUOI ? TOUT MAIS PAS ÇA !

Moi : Tu te moque de moi ? Ben sabah akşam çalışıyorum haberin yokmu ? ( Je travaille matin soir t'es pas au courant ? ) Depuis janvier j'ai payé tout les loyer, j'en ai pas rater un !

Burak : Borçlarımız.. ( Nos dettes..)

Je commence à avoir les larmes aux yeux, franchement j'en ai marre.

Ils nous ont peut-être abandonné mais on ressent toujours leurs présences à cause de leurs putain de problèmes, on est obligé de les subir.

Moi : C'est leurs dettes, pas les miens.

Burak : Mais à cause de « leurs dettes » comme tu le dit, on va se faire virer Azra ! Lü..(S'i..)

Je le laisse pas finir et je cours vers ma chambre.

Je fais peut-être la forte mais moi aussi j'ai un cœur, j'arrive plus à supporter.

Esra : Abla.. ( grande sœur) tu pleures ?

Je tourne ma tête j'essuie mes larmes et je la regarde pour faire un faut sourire.

Moi : Yok, niye ağlıyım ki ? ( Non, pourquoi je pleurerais ?)

Esra : ...

Moi : C'est moi qui t'ai réveillé ?

Elle hoche la tête.

Je vais la voir et je lui caresse les cheuveux.

Moi : Hadi yat ! ( Aller dors !)

Je lui fais un bisous et je sors de la chambre, je vais à la salle de bain et je me rince le visage.

Pile au moment où je sors de la salle de bain je tombe sur Ensar qui voulait surment y entrer.

Ensar : Sen ağlıyormusun ? ( Tu pleure?)

En vérité se genre de question quand tu pleures ou que tu veux pleurer, sa t'insiste juste à le faire.

Moi : ...

Ensar : Ağlama..(Pleure pas..)

E N S A R

Moi : C'est pas en pleurant que tous tes problèmes vont se régler, tu le sais ?

Elle se retourne surment pour partir mais je la retiens par le poignet, je m'avance vers elle et la coince entre le mur et moi.

Azra : Bırak beni ! ( Laisse moi !)

J'essuie ses larmes et la regarde sans rien dire.

Moi : Bak Azra ben senin kötülüğünü istemiyorum,Burak çalışamaz biliyorsun ! ( Azra je veux pas ton mal, Burak ne peut pas travailler tu le sais !)

À travers la misèreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant