PARTIE 22

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*Écoutez la musique juste en haut en lisant*

En voyant mes larmes il s'éloigne un peu et les essuient.

Ensar : Neden.. ( Pourquoi..)

Moi : Allahin aşkına sus. ( Pour l'amour de Dieu tais-toi.)

On se regarde de longues secondes, voir des minutes..

Il essuie mes larmes qui ne cesse de coulés.

Et il me prends dans ses bras.

Il me serre fort, fin pas juqu'à m'étouffer mais plutôt pour me montrer qu'il est là.

Mais moi je le veux pas.. je veux pas être proche d'Ensar, je veux pas tomber dans son jeu !

Son jeu.. oui oui son jeu.. ça se trouve Karim se fait juste des scénarios stupide, mais vaut mieux se méfier.

Moi : Birak beni Ensar. ( Laisse-moi Ensar.)

Et je le pousse doucement.

Ensar : ...

Moi : Ensar, moi je suis pas comme les autres filles avec lesquelles tu peux t'amuser et t'en débarrasser quand t'as finis, tamami ? Bunu kafana sok ! ( d'accord ? Rentre le dans ta tête !)

Ensar : Pourquoi tu me dis ça ?

Moi : Parceque..ça fait quelques jours que tu me saoul.

Ensar : Je t'ai fais quoi ?

Mes larmes recommencent à couler, je le pousse en commencent à m'énerver.

Moi : Tu m'as fait quoi ? Tu m'as embrasser sans que je le veuille ! Tu t'amuses à te rapprocher de moi. Tu veux quoi enfaite ?

Ensar : Bakiyorumda.. öpücüğü unutamadın. ( Je vois que t'arrive pas à oublier le baiser.)

Je détourne le regard et fronce les sourcils.

Moi : Saçma saçma konuşma. ( Dit pas n'importe quoi.)

Ensar sourit et se rapproche de moi.

Moi : Yaklaşma. ( Ne te rapproche pas.)

Ensar : Neden ? ( Pourquoi ?)

Moi : Ensar nolur beni rahat birak. ( Ensar s'il te plaît laisse moi tranquille.)

Il m'écoute pas et se colle à moi en me poussant contre le mur,il baisse la tête et me regarde longtemps dans les yeux.

Je ferme directe mes yeux quand je sens son souffle sur mon cou, je les ré-ouvrent quelques secondes après et le regarde sans rien dire, mon cœur bat à la chamade, j'ai envie de le pousser comme toute à l'heure mais j'arrive pas, mon cerveau me dit de le pousser fort, mais mon cœur me dit de le laisser faire.

La raison ou le cœur ?

Son nez frôle le mien, on se regarde encore et encore, je sentais son souffle sur ma peau.. il se rapproche encore un peu plus et colle ses lèvres sur les miennes.

À travers la misèreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant