𝑀𝑎𝑞𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑠𝑒 ☁︎︎ (𝑇𝐵𝑆, 𝐷𝑦𝑙𝑎𝑛 𝑂'𝐵𝑟𝑖𝑒𝑛 ✌︎︎)

Partie 9 ♡︎

PDV Alice :

Ça faisait du bien de tous ce retrouver ici, de rire ensemble.
On avait finalement commander Des pizza qu'on avaient mangé sur le canapé.
J'étais sur mes genou de mon amoureux quand Louise pris la parole :
« J'aimerais vous avouez quelque chose. Tous le monde avais arrêter de parler, même Dylan avais arrêté de se battre avec Thomas pour choisir le meilleur équipe de basket. J'aimerais juste m'assurer que vous n'aller pas vous moquer de moi. Elle parlais d'un air sombre comme si quelque chose d'horrible venait de ce passer tous le monde hocha la tête timidement. Moi et Bobby c'est fini... »
Elle avait parlé doucement, Élise avait accouru à côté d'elle pour la prendre dans ces bras.

« Je sais que ça faisait pas très longtemps mais je tenait à lui, mais bon faut le dire on a couché ensemble mais c'est pas l'importance, j'ai découvert qu'il sortait avec une autre fille que moi un soir quand je suis venu le voir par surprise au bar. »

Elle ne pleurais pas mais elle paraissais attristé, je sais que Anaïs voulais voir ça soeur épanouie avec un homme alors elle pris la parole :
« Tu sais je suis sure que l'autre étais une pouffiase, tu mérite mieux qu'un vulgaire barman. »

« Mais il étais pas mal quand même. » dis mon frère.
« Putain Dyl, ta geule. rétorqua ça petite amie en lui tapant légèrement l'épaule, tu sais Loulou c'est pas grave il sais pas ce qu'il perd. »

Elle sourit avant de dire :
« Bon, sinon, ça va Vous deux. »
Elle nous avait regarder, moi et Thomas, alors je dis en rigolant.

« Des fois il est un peu chiant. »
« Hé ! » dis le concerné en fronçant les sourcils.
« Mais sinon ça va. » dis-je en ébouriffant les cheveux de mon Tommy, qui rigolais à pleins poumons.

Tous le monde souriait, ça me rendais heureuse de voir que je pouvais rendre heureuse des gens en étant juste moi.
Une personne une fois a dit, c'est fou comme on peut changer la vie de quelqu'un rien qu'en existant, si mon beau blond savais que cette phrase me définissais tellement, il ne serait pas en train de me dévisager.

« Ça va ? » demanda celui ci.
Je sortis de la sorte de transe et répondit :
« Oui, je réfléchissait. » je posa mes lèvres sur les siennes, avant que Anais ce lève suivit d'Edonis pour dire :

« Bon c'est pas tout mais on travail demain, alors on va devoir y aller. »
Je m'étais lever en attrapant la main de Thomas pour l'aider à en faire de même avant qu'il ne dise :
« Nous aussi on va y aller, Louise tu rentre comment ? »
Anaïs se chargea de ramener ma sœur chez elle après avoir dit au revoir à tous le monde.
Dylan et Elise nous accompagnèrent jusqu'à le porte, mon frère tenais les hanches de sa petite amie quand il nous fis un signe de la main avant de fermer la porte.
Thomas me tenais la main et dans l'autre il tenais les clefs qu'il faisait tourner sur son doigt.

« Mademoiselle. » dit il en m'invitant à rentrer dans la voiture après avoir ouvert ma portière.

Je fis mine de lever la traîne de ma robe et fis un petite mouvement de la main comme le font les princesse pour ordonner à leurs serviteurs de fermer la porte. Il s'exécuta ce qui me fis bien rire et il entra quelque minute plus tard, il mis le contact et fis marche arrière, on pouvais voir les hôtes de la maison a travers la fenêtre, il s'embrassais fougueusement alors que mon frère venait de la plaquer sur le mur, je détourna les yeux avant d'en voir trop, pour les reporter sur l'homme à côté de moi.
Il avait fait de même et je compris qu'il avait évité la même scène que moi, il partis dans un fou rire, son rire était tellement le reflet de ça personnalité, doux et sucré.

Le voyage qui n'était pas très long toucha à sa fin quand je vis la porte du garage ce fermer, on était dans le noir complet jusqu'à ce que Thomas allume la lumière et je sortis en douceur avant d'entrer dans la maison.

Elle étais plutôt grande, pas autant que celle de mon frère mais elle aurait suffi à une famille de 5.

Il pris mon manteau le mis sur un cintre et me pris par la main, je commença à l'embrasser, d'abord doucement puis de plus en plus fougueusement. Il me plaqua contre un mur, je passais inlassablement ma main dans ces cheveux, je pouvais sentir tous son corps contre le mien, je m'accrocha à son cou, passa mes jambes autour de sa taille.
Il entrepris de me porter jusqu'a la chambre, arriver la bas il ferma la porte avec son pied et me fis tomber sur le lit, dans la hâte il essaya d'enlever mon t-shirt, qui resta coincé au niveau de ma tête ce qui me fis rire.
« Attend, je vais le faire moi même. »dis-je en m'exécutant facilement.
Il commençait à parcourir mon coup avec ces lèvres pendant que je m'attaquais à déboutonner sa chemise...

                        ******

En ouvrant les yeux la lumière commença à m'agresser les yeux.
En me retournant je me rendis compte que je ne portais pas de vêtement, je souriait en me rappellent la soirée d'hier et tourna la tête vers Thomas, il dormais encore, je pris une de ces mèches entre mes doigts et commença à jouer avec.
« Salut, il avait parler avec une voix enrouée du matin ce qui me fis rire. Bien dormis ? »
« Oui, merveilleusement bien... » dis-je avec un regard plein de sous entendu.
Je regarda le blond allongé à côté de moi en souriant bêtement, il se releva pour m'embrasser doucement et je me leva pour essayer de trouver des vêtements à me mettre pour petit-déjeuner.
Il souriait seul dans son coin en me voyant sortit du lit complètement dénudée, je lui lança son caleçon à la tête, me baissa pour prendre des sous vêtement et partis dans la salle de bain.

En revenant je vis qu'il n'avais pas bougé, il avait même garder se sourire espiègle qui cette fois Si devais sûrement être dû au faite que je ne portais que des sous vêtement.
Je rigolais en choisissant ma tenue du jour. Je pris un t-shirt marin et un jeans simple.
J'enfile tous ça avant de m'approcher du lit pour tirer la couette qui recouvrait Tommy, il fis une grimace avant de sortir du lit avec un grognement.

Je fila directement en bas pour me préparer des toast de Nutella, quand l'autre descendis il ressemblais à un déchet, il avait les yeux entre ouvert, les cheveux en bataille et la tête complètement dépiter. Je rigola de plus belle à la vu de sa tête du matin et lui prépara un bol de céréales que je lui apporta dans le canapé.
Il paraissait plus réveiller une fois qu'il eu manger et m'ouvris la porte pour m'amener au studio en moto.
En m'accrochant à lui pour ne pas tomber je me rendis compte de la chance que j'avais de partager mes jours avec lui.