Partie 13 ♡︎

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PDV Thomas :

Le lendemain j'avais passé ma journée avec Alice à la maison, on avais regarder Teen Wolf ensemble en mangeant des pop corn dans le lit.
Avant d'aller me couché j'avais regarder un match de foot et nous étions partis dormir vers 23 heure.
Alors que je dormais profondément en rêvant que je marchait dans un couloir sans fin avec des fenêtre qui donnais sur du vide intersidéral je me fis réveiller par un son désagréable.

Le temps que je me relève Alice me regardais le visage pleins de questions, je mis plusieurs secondes avant de me rendre compte que c'était mon téléphone qui sonnait, je le pris en main et je vis la tête de Edonis qui grimaçait en gros plan, j'étais inquiet parce que ce n'était pas son genre de nous appeler à trois heure du matin, a part si, non je ne veux pas y penser.

« Allô ? » dis-je
« Thomas ? Je... il faut que vous veniez à l'hôpital, Anaïs a eu un accident... Non, pas ma sœur tous mais pas ça. Tu peux appeler ta sœur pour lui dire ? »
« Oui bien sure... J'avais répondu machinalement. On arrive, à toute suite... »
Alice me regardais sans comprendre, j'eu de la peine à lui expliquer et elle fondit en larmes, je l'a pris dans mes bras, lui caressa les cheveux et dit :
« Ma belle, reste forte comme tu le fais toujours, elle va bien, je te le promet... »
Es ce que j'essayais de la persuadé ou de me persuader ?
Je n'en sais rien, je pris mon téléphone tapa le numéro de ma sœur et appela, elle mis du temps pour décrocher mais fini par dire :

« Allô Tom ? Y'a quelque chose qui va pas ? » elle avait l'air inquiète.
« Si ça va, enfin non, enfin je sais même pas... »
« Tom, calme toi, raconte moi
ne t'inquiète pas j'ai tout mon temps. » elle avait un voix, cette voix qui m'avais si souvent rassuré, elle avait plus pris la place de grande sœur que de benjamine pour moi.

« Ana est à l'hôpital. Réussi-je a dire difficilement. Il faut qu'on aille la rejoindre, Edonis m'a appelé... »
« On vient dès qu'on est prêt et surtout Tom sois fort, je t'aime. »

Elle avait toujours réussi à cacher tous, souvent elle se mordait là lèvres quand elle se retenais de pleurer, elle ne laissais tous échapper que quand ça n'allais plus du tout souvent s'était la nuit, j'entendais des sanglots jusqu'à ma chambre et je venais me glisser sous ces draps en la prenant dans mes bras.
Je ne lui demandais pas ce qui ce passais, elle n'aime pas en parler avant d'avoir tous déverser, elle avait juste besoin de réconfort, d'une épaule sur la qu'elle pleurer avant de repartir comme si de rien étais.
Le matin quand j'ouvrais les yeux elle était déjà partis, il y avait encore la trace toute fraîche que son corps avait fait sur les draps.
Je descendais les escaliers et je la voyait assise à la table dans la salle à manger, elle rigolais avec Anaïs, comme quoi elle a toujours eu un don pour cacher se qu'elle ressens.
Un don que je m'efforce de travailler mais que je n'arrive pas à avoir.

En arrivant la bas ils y étaient déjà tous, en voyant Elise je courut dans ces bras pour pleurer, elle passais ces mains dans ma nuque en me chuchotant :
« Ça va aller, elle pris ma tête entre ces mains posa son front contre le miens. Tu sais très bien qu'elle n'a pas le droit de nous abandonner, pas maintenant. »

Je me souvins soudainement qu'elle ne nous avais jamais donnée de nouvelle depuis la soirée passée avec Edonis, une boule se forma dans mon estomac à l'idée que ce pauvre bébé puisse avoir quoi que ce sois sur ça santé, ou bien même sur ça vie après l'accident.
« Excuser moi, une infirmière venait de rentre dans la salle d'attente, tous le monde leva la tête pour la regarder. La famille venu pour Anaïs, un homme est déjà là bas, il va partir pour vous laisser tous entrer. »

Je regardais autour de moi avant e demander :

« Vous avez prévenu Louise ? »
« Elle m'a dit qu'elle passerais demain, on ne peux pas être plus que 4 visiteurs. » répondit ma sœur avant de prendre la main de mon meilleur ami et de rentrer dans la salle.

Elle courus vers le lit de notre sœur pris une de ces mains entre les siennes et Anaïs dit avec un faible sourire :
« Salut. »
Ça voit était cassée et très faible, un médecin entra et dit :
« Oh Bonjour, je viens vous faire un contre rendu, alors je ne vais pas vous annoncer de bonnes nouvelles, elle a des cotes fêlée des problèmes respiratoires et son cœur est sur machine, votre amie est un cas rares qui a pus continuer à vivre jusqu'à ce que la machine prend le relais. Au départ la machine ne faisait qu'aider son cœur à battre, mais maintenant c'est l'unique chose qui la maintient en vie, nous cherchons des solutions. »
« Qu'elles sont les chances de survie ? » demanda Alice qui étais venu ce mettre à côté de mes sœurs et qui fixait Anaïs sans relâche.

« Une fois que la machine sera enlevé, pour l'instant zéro, mais même si nous trouvons un moyen elle n'aurait que 10% de chez ces que ça marche. Je vais vous laisser je reviendrais dans quelque heures. »
La vie de ma sœur ne tenait qu'à 10%, ma jumelle, celle qui avait toujours été là pour moi, celle qui était née 10 secondes après moi, reposais sa vie sur une machine.

« Elise, si je ne m'en sort pas, je veux que tu te rappelle de tous nos bons moments, de tous se qui... »

« Ta geule, sa pouvais paraître surprenant mais elle l'avait dit très calmement, comme si c'était un conseil. Je t'aime, ça ne changera jamais, mais tu as tant de chose à vivre, tu es jeune, tu vas bientôt te marier, tu as un petit ami hyper canon. Elle rigolaient ensemble même si je pouvais voir couler des larmes sur leurs joues. Alors je t'interdit de laisser tomber, tu as dix putain de pour-cent de chances alors tu vas les prendre et tu vas revenir dans une semaines au travail, parce que je ne te laisserais pas nous abandonner comme ça. »

Elle se regardais dans les yeux, elle posa délicatement ces lèvres sur son front et je compris qu'elle lui avait tous dis.
Nous passâmes ensuite chacun notre tour à son chevet pour lui dire quelques mots et nous rentrâmes à la maison en sécurité.
Il étais 7h du matin et Alice et moi décidâmes de nous recoucher dans les bras l'un de l'autre.
Ma famille étais une partie de moi, une partie des gens disent les amis avant la famille, se qu'ils ne comprennent pas c'est que il vaut mieux que votre famille deviennent vos amis et inversement.
Je l'ai compris et je l'ai appliquer, alors je ne suis peut être pas l'homme le plus riche du monde ou le plus heureux, mais je le suis à ma façon, et ça ma convient amplement.

𝑀𝑎𝑞𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑠𝑒 ☁︎︎ (𝑇𝐵𝑆, 𝐷𝑦𝑙𝑎𝑛 𝑂'𝐵𝑟𝑖𝑒𝑛 ✌︎︎)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant