𝑀𝑎𝑞𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑠𝑒 ☁︎︎ (𝑇𝐵𝑆, 𝐷𝑦𝑙𝑎𝑛 𝑂'𝐵𝑟𝑖𝑒𝑛 ✌︎︎)

Partie 14 ♡︎

PDV Louise :

Quand Elise m'avait appelé pour me dire que sa sœur était à l'hôpital j'était en soirée avec Ricky et je dus sortir pour prendre l'appel, elle paraissais terrifié mais j'était a une heure de la maison et je ne pouvais pas faire le déplacement, en plus nous ne pouvions pas rentrer à plus de quatre et je ne voyais pas prendre la place de son frère, sa meilleure amie ou sa sœur.
Alors j'ai dit que je passerais le lendemain, choix que je regretta aussitôt car je me rendis compte que j'étais plus attaché à eux que je ne le pensais, certaine fois je me sens exclue dans notre groupe.
Souvent ils essayent de m'inclure mais je n'arrive pas à me mettre dans leurs discutions.
Alors quand j'ai rencontré Ricky je me suis dit que peut être je pourrait essayer de m'inclure en même temps que lui, j'avais envie de tous les invité à la maison pour un petit dîner ensemble, sauf qu'après ce qui étais arrivé à Anaïs sa devenait impossible.
Alors après être rentré je partis dormir, enfin plutôt rester allonger en réfléchissant à tous et rien.
Je ne sais pas si sa faisait deux minutes ou trois heure après mais mon téléphone bipa d'un message d'Elise:

Elle est en chambre 231 elle a des cotes fêlée mais son cœur a été touché, le médecin a dit plusieurs chose mais elle ne dis plus qu'avec la machine, à vrai dire je sais pas comment c'est possible mais s'ils trouvent une solution elle n'a que dix pour-cents de chance de ne pas y passer. J'espère au moins que tu vas bien on se voit demain.🙂

Je savais que ce petit smiley voulais dire :  « Je veux juste faire comme si je vais bien, mais je vais très mal. »
La famille Sangster avait toujours été extrêmement soudée, ma famille et moi étions proche mais jamais autant qu'eux trois.
Vu que je n'arrivais pas à dormir je regarda l'heure et vu qu'il était huit heure.
Je descendis petit déjeuner et m'habilla avec un t-shirt noire puma et un pantalon en jeans bleu foncé.

Je pris le bus pour aller rejoindre Anaïs, j'avais une boule au fond de mon ventre depuis le message de mon amie, pour ne pas dire une boule de feu en effervescence, plus on s'arrêtait au arrêt plus je me demandais ce que je pourrais dire à une jeune fille qui étais entre la vie et la mort.
En arrivant je descendis du car et il repartit directement, en entrant je pu sentir l'odeur caractéristique des hôpitaux une odeur de propre et de lotion stérile, une odeur qui me donnais la nausée tant elle rappelais des mauvais souvenirs.

En entrant dans ça chambre je pus voir Dylan à ça place des années auparavant, je dus me forcer à avancer jusqu'a elle et me lança un faible :
« Salut... »
« Hello...  j'avais chuchoter tellement bas que je me demande si elle l'avais même entendu, mais elle me fis un petit sourire reconnaissant que je me força à lui rendre. Je suis désolé si je suis dans cet état mais ça me rappelle Des événement tristes.., »

« Explique moi. » dit elle simplement.
Ordinairement je déteste que les gens s'apitoie sur mon sort mais là les mots sortirent simplement de la bouche sans contrôle :
« On étais aller faire du ski tous les trois. Alice, Dylan et moi... Dyl étais devant et à un moment il nous demanda si nous voulions faire une piste qui paraissait parfaite, elle n'était même pas en hors piste, la neige avait l'air fraîche et que peu de monde y étais passé, je compris plus tard pourquoi. Je fis une pause pour regarder autour de moi. Dyl voulais faire le Malin et il partie seul devant, mais Alice qui étais bien meilleure que lui le rattrapa et le dépassa, je n'eu pas de peine à en faire de même, sauf que arriver au bout on remarqua qu'il était bloquée vers la moitié, on lui criait que tous allais bien alors il se mis à descendre sauf que, je sentais des larmes monter, non, il est en vie, il faut que j'arrête. Il tomba, tous s'était passer trop vite, Alice criait son nom et moi j'appelais les parents, ils ne tardèrent pas à arriver et entre temps j'avais appeler les secours qui étaient venu en hélicoptère, Alice et papa était monter avec eux et nous nous étions redescendu à ski jusqu'au chalet pour attendre des nouvelles d'eux. Elle me regardais dans les yeux. Il était dans le coma et il l'est rester pendant un mois, on savais pas, on savais rien, on pouvais pas, alors on a juste dû attendre, ca à été une torture. J'entendais ma sœur pleurer tous les soirs, mais moi j'y arrivait pas. Alors j'attendais sans réussir à dormir. »

« Je suis vraiment désolé. » dit Anaïs, j'arrivais pas à savoir si c'était vrai ou si elle voulais juste me faire plaisir mais ça m'était égal en réalité.
« Alors, je sais qu'on est pas extrêmement proche, beaucoup de gens disent on se rend compte de la valeur des gens une fois les avoir perdu, sauf que je refuse. Je refuse de me mettre en tête que je n'aurait jamais la chance de pouvoir te connaître mieux que ce que je ne fais déjà. J'aimerais que dès que tu sort de ce, je regarda à nouveau autour de moi, de cet enfer je veux qu'on se rapproche, je vais faire des efforts avec tous le monde, parce que je ne veux pas vous perdre, oh non, je commence à parler de mes sentiment, bon, je tiens bien plus à vous que j'aimerais me l'avouer. »
Elle rigola faiblement et je l'a pris dans mes bras pour lui chuchoter :
« Elise a besoin de toi, vraiment. »

En me décrochant d'elle je pus voir ces yeux scintiller.
En sortant de sa chambre j'avais une certitude, celle qu'elle se bâterais jusqu'à la fin, peut être pas pour moi, mais pour sa famille et Edonis.
Elle méritais tout le bonheur du monde, et même si je ne voulais pas me l'avouer j'avais vraiment envie de faire partie intégrante de son bonheur.

Je lui avait fait une promesse et même si par malheur elle ne survivrais pas à cette épreuves je ne la briserais pas.