PDV Elise :
J'étais passer la voir, tous les jours, tous les jours de cette foutue semaine, a chaque fois un médecin venait me dire qu'il n'en savait toujours pas plus.
Pour ceux qui se pose des questions pratiques, non, on ne doit pas faire Des heures sup' pour compenser, il l'avait remplacer.
Ça paraissais si facile, le lendemain de son admission au urgence une autre femme était là, si seulement ça pouvais être comme ça dans la vie.
Pouvoir compenser un manque par autre chose, alors bien sur il y a des possibilités, la drogue, l'alcool ou bien juste tout arrêter.
Mais malheureusement j'étais plus forte que sa, et non je n'essaye pas de m'en convaincre c'était juste la réalité, je plongeait dans tout la tête la première, pourquoi la douleur y changerais quelque chose.J'avais passer mes soirées à lui tenir la main en lui parlant de tous et de rien, jusqu'à ce que les infirmiers me demande de partir.
Je pensais que c'était un mythe qu'avec la douleur notre vie est mis en suspens , sauf que je suis sur pause depuis une semaine.
En rentrant à la maison vendredi soir Dylan était là, il m'ouvrais la porte comme à chaque fois et je m'assis sur le canapé avant de dire :« C'est dure, je vu qu'il voulait dire un truc mais je ne voulais pas qu'il m'interrompe. C'est ma sœur okay ? Oui je sais ce que tu vas faire, tu vas me dire que ça va que tu es là, mais tu comprend pas que, le fait que tu sois là ou non, ça ne va pas l'aider à aller mieux. Pourquoi tous le monde dis je suis là, oui et bien cool pour toi. Mais elle a que 10% de chances de s'en sortir, elle frôle l'impossible. Alors j'essaye, j'essaye d'être forte mais j'y arrive pas. Quand j'étais ado je me demandais ce que je ressentirais quand je devrais braver une vrai épreuve, comme la perte d'un proche, la maladie ou un vrai cœur brisé, j'avais envie de vivre quelque chose, pour pouvoir tester ma force dans ce genre de moment, sauf que je ne voulais pas que ça passe comme ça, parce que à chaque fois dans les pensée j'étais forte, je surmontais tous et... il s'approche de moi, j'y arrive pas, je veux pas décevoir ma moi adolescente. »
« Hé, il était étonnement doux, là toi adolescente elle vie pas ce que tu vie, elle te remerciera, parce que tu ne lui envoie pas du rêve, il me caresse les cheveux délicatement, alors s'il te plaît calme toi, tu n'est pas une héroïne de livre, et j'en suis désolé. Mais le monde dans lequel on vie est un foutoir, alors peut être que demain elle survivra mais peut être pas, peut être que cette nuit une météorite anéantira le monde et tu ne le saurait jamais mais peut être pas, vie comme si c'était la dernière fois, parce que tu ne le saura pas au moment venu. »
Il me souriait, faiblement mais je pouvais voir ces fossettes, je regardais son petit nez retrousser avec fascination, je ne laisserais personne me prendre ma sœur, alors ces putain de dix pour-cent ils peuvent ce les mettre ou je pense parce que ma sœur c'est une battante, bien plus que n'importe qu'elle héroïne dont j'adolisais les vie.
Un jour vers le Mileu de mon collège, j'ai beaucoup changé, en mieux, peut être qu'à ce moment là je commençais à être sur la voie de la confiance en moi, c'était un moment ou je remettais ma vie en questions, ou je me disais que bientôt il faudrait que je prenne des choix, alors un matin d'été j'avais trouvé quelque chose , j'était décidée, j'appellerais mon fils Tobias, à défaut de pouvoir de prénommer Quatre.
Oui, comme dans divergente, pourquoi ?
Parce que il est toute ma vision de la vie, il accepte d'être faible mais, son tatouage en témoigne, il veux être complet, il ne l'est pas mais il essaye, il voudrait être audacieux, aider le monde, l'intelligence suffisante pour comprendre le fonctionnement de ce monde de fou, être sincère et être gentil et respectueux. Et même si parfois il n'y arrive pas il recommence.
Comme les vagues, elle attaque puis repartent comme après une défaite, mais elle reviennes toujours à l'assaut comme s'il n'y avait jamais eu de premières fois et qu'il n'y aurait pas une autre chance. Comme si seuls l'instant comptait.Sauf que malgré tous les efforts que je pouvais faire je ne pouvais rien pour Anaïs, la seule chose que je pouvais faire c'était d'attendre, comme si je n'était rien, comme si dans l'univers je n'était qu'un grain de sable d'une plage de Miami.
Alors oui, de ma place je ne pouvais rien faire de manière littérale mais je devais continuer à vivre, alors je pris le t-shirt de Dylan par le col et l'amena vers moi, il m'arrêta en disant :
« Oh qu'es qui y a ? »
« Rien, j'ai envie de toi. »
J'allais poser les lèvres sur les siennes.
« Attend. »
« Ta geule. » dis -Je calmement.J'enlève son haut et son bas en tirant littéralement dessus.
Dylan ne bougeais pas alors que je posais mes lèvres sur son cou alors que je me mettais à parcourir son torse avec mes doigts et m'arrête en disant :
« Arrête, arrête maintenant ou je n'arriverais pas à me retenir. »
« Ne te retiens pas. »
Je recommençais à parcourir son torse avec mes lèvres.
« Je t'ai demandé d'arrêter, j'en ai envie er toi non plus alors je vais me m'habiller et on va monter ce coucher. D'accord ? »Il avait raison, vous rajouterez dans ma liste de chose à possible pour palier à un manque une nouvelle possibilité, le sexe.
Celle qui me faisait le plus peur, celle dans laquelle j'étais susceptible de sombrer.
« Merci, je suis désolé. »
Il s'approcha de moi colla son front au miens et dit :
« Je te comprends, aller, tu a besoin de dormir. »
Il posa délicatement ces lèvres sur mon front, pris ma main et m'emmena vers la chambre.
Peut être que je meuble ma peur dans des mots, dans des explications, dans des hypothèses qui ne valent pas le coup, parce que au finale malgré toutes mes théories, tout mes calculs, toutes mes espérances, je ne peux rien faire.
Je me répète dans mon cerveau, la phrase je ne peux rien faire, elle tourne en boucle, alors je m'en convint, j'essaye en tous cas.
Peut être que vous avez entendu parler de la théorie du big bang, apparement, d'après des livres, au départ dans l'univers il n'y avait rien, ou du moins des rochers et tous le merdier. Puis il y a eu la terre, alors bien sure pas d'un seul coup, doucement mais c'est arrivé soudainement.Au début il n'y avait rien et puis il y a eu tous.
Pour certaine personne c'est le big bang à l'envers, imaginez, la terre, et puis plus rien, qu'un infinie espace de gaz à côté de mars, c'est ce qui plane sur notre tête à chaque instant. Le big bang a l'envers c'est pas très compliqué.
Au début il y avait tous et ensuite plus rien.
C'est dure, de s'imaginer que en naissant nous avons ce que nos parents nous donnes, une famille riche, ou pauvre. Une grande maison, ou non.
Mais vous ne crée rien, vous avez tous, la base d'un big bang mais on ne réfléchi jamais au fait qu'on peut tous perdre, d'une minute à l'autre. Le final d'un big bang.Je refuse que ma vie repose sur une horloge, sur un compte à rebours.
Tic
Tac
Tic
TacIndéfiniment, jusqu'à ce que tous tombe, que les dernière fils éclatent, jusqu'à ce que nous n'ayons plus la force, plus la force de continuer à entendre ce bruit résonnant dans nos oreilles.
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𝑀𝑎𝑞𝑢𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑠𝑒 ☁︎︎ (𝑇𝐵𝑆, 𝐷𝑦𝑙𝑎𝑛 𝑂'𝐵𝑟𝑖𝑒𝑛 ✌︎︎)
FanfictionLa sœur de Dylan O'Brien est avec Thomas Sangster, la sœur de Thomas est avec Dylan. Comment vous dire que la vie n'est pas de tout repos. Avec les Sangster-O'Brien vous aller vivre une histoire de famille pleine de douceur et de rebondissements. En...