Si je dois faire couler le sang provenant des cieux et bien nous ouvrirons les parapluies, ensemble.
TOME EN RÉÉCRITURE !!!!!!!!!
" Médusa fut l'objet des vœux des milles prétendants, et la cause de leur rivalité jalouse, parmi tous ses attraits, ce qui charmait surtout les regards c'était son regard à elle, un regard qui avait le pouvoir de méduser toute personne qui l'a regardait "
" la vengeance céleste n'oublie jamais personne, elle envoie à tous les coupables, les supplices, les remords les douleurs ou la misère. "
" la vengeance est le plaisir des femmes. "
Ô que la vie est cruelle, bien trop cruelle. J'ai compris que cette vie nous appartenais pas, et que nous la contrôlons pas.
Ô que mes ennemis sont nombreux, beaucoup trop nombreux, ces gens aiment vivre par l'épée alors ils périront par l'épée.
Certains pensaient que j'étais morte, et bien ils ont raison, je suis morte de l'intérieur, je suis morte et ils sont ceux qui m'ont tué.
Jour après jour, je me remémore de cette putain de trahison. Cette haine qui me ronge de l'intérieur, qui me tourmente. Des erreurs, qui me détruit à petit feu. Je me sens impuissante, car il est impossible de changer le passé, impossible de faire marche arrière. Condamné à vivre avec mes regrets.
Mes songes toujours plongés dans les profondeurs de la vengeance, je ne veux qu'une chose faire couler le sang. Le sang de mes ennemis.
Jour après jour, je réfléchis à comment exterminer tout ceux qui m'ont causé du tort. Jour après jour. Et je finirai bien par trouver une solution.
il me reste quarante-huit ans à passer dans ce taudis. Mais bien évidemment que je ne laisserai pas cela passer. Même si je dois en mourir !
— Médusa ! lève toi !
La voix d'Angela, la gardienne, me fit sortir de mes pensées. Je me lève et mis mes mains entre les barreaux.
Ici on m'appelle Médusa, ce sont les Italiennes qui m'ont renommé ainsi, car apparemment, tout comme la Médusa j'ai le pouvoir de pétrifier les gens, quelle ironie.
— Encore une fouille ? demandai-je
— Vous nous y obligez, que veux-tu que je te dise de plus. répondit-elle en me mettant les menottes
— Tu pourrais empêcher cela.
— Ouvre les portes ! cris l'autre gardienne
— Je ne peux pas tout faire ici, tu as de la chance que ce soit moi qui fouille ta cellule à chaque fois, donc ne te plaint pas !
Je sortis de la cellule, et les gardiennes qui se chargeaient de fouiller les cellules entrèrent. Les autres, nous fouillait, positionner contre le mur, y compris moi. Après avoir fini, nous retournons dans nos cellules, Angela m'enlevait les menottes. Voilà mon quotidien, ce que je vis depuis maintenant six ans, six putains d'années dans ce merdier.
— Attends !
— Quoi ?
— Fais en sorte que je croise Nina.
— Pour vous entre-tuer ? c'est hors de question.
— Rectification pour la tuer.
— Non ! pas un mort de plus ici non !
— Je ne demande pas ton putain d'avis, Angéla fais ce que je te dis.
— Écoute , je ne suis pas les autres prisonnières à qui tu donnes des ordres. C'est non un point c'est tout.
Puis elle s'en allait d'un coup de vent. Je m'éloignai des barreaux et me dirigeai vers le lit superposer.
Je trouverai bien un moyen d'abattre cette chienne.
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Dos Amores Sin Alma T2 [ en réécriture ]
AcciónIl y a toujours la même étincelle entre nous.. En réécriture { Toute ressemble quelconque, avec autre, serait seulement une coïncidence. Merci. } Début : 18.07.18 Fin : 17.06.19