Dos Amores Sin Alma T2 [ en réécriture ]

Onze - Uma chance

" Énormément de proie pour une seule prédatrice , mais la proie de tout ces amateurs. "

Reyna Dos Santos.

— J'accepte ton offre. déclarai-je

— Très bon choix, je te recontacterai très vite pour signer les documents.

— Bien.

Après avoir finit, nous quittions l'humble demeure de Rina puis entrons dans la voiture. Le chauffeur démarra, mais se stoppa aussitôt lorsque qu'une voiture arriva.

— Que se passe-t-il ? demandai je

— Attends je vais voir. répondit Samuel en enfilant son masque

— Je viens avec toi.

— Non ce sont les hommes de Rey. dit il en refermant la portière

Au loin, un homme descendis de sa voiture. C'était Amosa. Un lâche comme son chien d'ami à vrai dire, tout deux sont pareils, c'était comme un frère pour moi. Il n'a rien fait pour empêcher Rey de me foutre en prison.

Il échangea quelques mots avec le Scorpion, puis Rina sortit de chez elle et interrompue la conversation. Après les échanges assez tendu, Amosa retourna à sa voiture et partis aussitôt. Rina s'avançait vers la voiture, je baissai donc la vitre.

— C'était les hommes de Rey.

— Oui je sais, je peux te demander un service ?

— Bien évidemment.

— Rafael Del Junco.

— Ne m'en dis pas plus j'ai compris. répondit-elle en tapotant sur la voiture, et disparaissait de mon champ de vision.

— En route. dit le scorpion en montant dans la voiture

|...|

Je pénétrai ma chambre et la refermai avec nonchalamment. Mes petits amours, étaient plongés dans un sommeil profond. J'en profitai pour leur laisser un petit baiser, puis me dirigeai vers la salle de bain.

Je me regardai dans le miroir, je suis littéralement épuisée, épuisée de tout cela, ça en vaut-il la peine toutes ces manigances ? je soufflai un bon coup en enlevant mon haut pour le poser sur le rebord du lavabo.

— ... À quoi penses-tu ?

Je relevai mon regard sur le miroir, Marcos se tenait dans l'encadrement. Je ne l'avais pas entendu rentrer. J'ouvris les vannes d'eau et me rafraîchissais le visage puis me séchai avec une petite serviette.

— À rien. répondis-je finalement

Je le poussai légèrement pour pouvoir passer puis me dirigeai vers mon sac afin de mettre un autre haut.

— Je te sens affectée.

— Tout va bien Marcos.

— Tu penses à abandonner c'est cela ? demande-t-il

— De quoi parles-tu ?

— Ne fais pas l'idiote.

— Je ne pense pas à abandonner, jamais. Je suis juste.. fatiguée rien de plus.

— Reyna commence-t-il en m'attrapant par la main je suis et je serais toujours là pour toi. Quand tu es mal je le suis aussi, dis moi ce que tu as ?