Dos Amores Sin Alma T2 [ en réécriture ]

Dez - Le pardon

" Je laisserai mes ennemis faire couler mon sang pour que le tien ne coule pas, je laisserai couler mes larmes pour que les tiennes ne coulent pas. "

Reyna D. Santos

— Il va me le payer je le jure. criai je

Hors de mois j'étais, s'il pense avoir gagné il se trompe, je ne lâcherai rien et je pense qu'il ne le sait pas encore. Je me suis jurer de gagner cette guerre.

— Comment a t-il pu nous retrouver ? demande Marcos

— Cela n'a pas d'importance car-

— Bien sur que si ! coupai-je Samuel cela veut dire qu'il y a une faille dans notre sécurité. De plus mes enfants auraient pu y passer, et ça je ne laisserai pas couler, il veut du sang ? il y en aura mais dix fois plus.

— À quoi penses-tu ? demande Samuel

— Faut qu'on retourne à New York.

— Quoi ? mais t'es complètement taré ! s'exclame Alexander on est recherché ma douce. On remet un seul pied la-bas, et ces putain de gringo nous flinguerons.

— Je suis partant. ajoute Marcos

— Mais toi tu dis amen à tout. sur enrichit Alexander

— J'adore seulement le risque beau goss.

— Faut à tout prix attirer Rafael ici ! dis-je

— Et comment ? demande-t-ils

— Il veut absolument ma peau, je trouve le moyen de le contacter, petit rendez-vous et c'est bouclé.

— Et s'il prévient Rey ? ou bien les fédéraux ?

— Il ne dira rien. Je le connais parfaitement.

— C'est une bonne idée, mais faut être prudent. intervient Samuel

— Occupe toi de ça alors. répondis-je

— Oui oui mais en attendant la mafia italienne veut faire avec toi, plus précisément Rina Dolce.

— Non ! cria Arthuro en entrant dans la salle

— Pardon ? dis-je surpris

— C'est hors de question qu'on fasse affaire avec cette femme.

— Qui est-ce « On » au juste ? à ce que je sache tu n'est pas impliqué.

— C'est non point barre ! répète t-il puis s'en va

— Décidément ton père devient de plus en plus fou, organise moi une réunion avec elle plus tard, on doit d'abord résoudre ce problème.

— Elle n'attendra pas si longtemps.

— C'est le dernier de mes soucis.

Nous étions dans l'un des grands appartements du Scorpion. Je me dirigeai vers la chambre des enfants, qui étaient en train de jouer et m'asseyais près d'eux.

— Maman on a eu très peur tout à l'heure. dit Rayssa

— Moi j'ai bien aimé les bruits. ajoute Rayann

Sa réponse me laissa perplexe, il était tout comme son vieux père

— Oui y'a eu un gros bruits en plus. ajoute à son tour Raiany