14/06/2018
14:10••Élise••
Nous entrons dans une salle super mignonne, avec tout le nécessaire pour faire des massages. Deux tables de massage se présentent devant nous. On se déshabille et s'installe sur chacune une des tables. Les masseuses commencent à nous masser. Durant ces moments entre filles, c'est souvent un moment d'échange d'infos croustillantes sur la vie de l'une et de l'autre. C'est notre cas.
Élise : Bon ma petite Cléa. Je vais pas te laisser tranquille avec lui, mais avec Benjamin, ça se passe comment? J'ai l'impression de louper des étapes. Un jour tu me dis qu'il est mignon, le lendemain vous êtes attaché en train de pousser des cris suspects en l'air, et le surlendemain il te fais un bisou sur le front...
Cléa : Oui alors pour le "attachés", à ce que je sache c'est toi qui a choisi ton partenaire, je ne crois pas avoir eu le choix, même si j'avoue que ce n'était pas déplaisant. Ensuite le bisou sur le front, je n'ai moi même pas compris, mon cerveau m'a dit non...
Élise : Ah ouais d'accord, monsieur prend des initiatives donc... C'est mignoooon !
Cléa : Ouais ouais si tu veux. Assez parlé de moi... On parle beaucoup trop de moi en ce moment ! Donc, et toi avec Paul? Vous êtes bien proches aussi, je me trompe?
Élise : Non tu ne te trompes pas, mais nous sommes proches par dépit, à ce que je sache on est tous les deux à l'écart avec vous deux les amoureux là...
Cléa : Mens a qui tu veux, mais pas à moi ! Je te connais bien, il te plait. Par dépit ou non.
Élise : Oui c'est vrai.
Cléa : Cherche pas chérie, j'ai toujours raison !
Élise : Il y a une chose que je me demande aujourd'hui, c'est pourquoi ils sont aussi généreux... Ils nous paient en spa, et ils vont faire du shopping pour nous... C'est chelou moi j'dis...
Cléa : Écoute, on va pas s'en plaindre ! Pis je crois qu'ils peuvent se le permettre hein, avec leur bête de salaire !
Élise : Tu dis ça, mais on en parle du notre? Je suis sûre qu'on gagne plus que Benjamin, peut être pas que Paul, mais Benjamin oui...
On continue à discuter de tout et de rien jusqu'à la fin des deux heures payées par les garçons. Nous sortons de l'institut. Les garçons sont devant, les bras chargés de sacs. Ils sont sérieux? Mais naaaan...
••Cléa••
Benjamin et Paul ont les bras chargés de sacs. On les rejoint.
Benjamin : On a fait des petites folies les filles !
Cléa : Petites...?
Benjamin : Ouais grandes... Mais bon avec l'argent qu'on gagne on peut se le permettre !
Cléa : Je suis sûre que je gagne plus que toi, je peux aussi me le permettre !
Benjamin : Oui, mais pas de discussion ! Jamais contentes ces gonzesses !
Je lui tape le bras. Il fait semblant d'avoir mal.
Me journée s'achève dans la joie et la bonne humeur. Nous avons découvert tout ce que les garçons nous on acheté, c'est des fous...
••Benjamin••
Les filles ont l'air contentes de leurs cadeaux, c'est cool. J'ai l'habitude d'être timide, mais avec Paul et les filles je me sent tellement bien qu'il n'y a plus aucune trace de timidité en moi. J'ai l'impression que Cléa y est pour quelque chose. Cette fille me rend fou. Elle est belle, intelligente, gentille... Il n'y a même pas assez d'adjectifs pour la décrire, elle est juste merveilleuse. J'ai l'impression qu'elle n'est pas insensible à moi, mais je veux aller doucement. Je ne veux pas brûler des étapes. Et puis je ne la connais que depuis peu.
Nous sommes tous rentrés à l'hôtel après avoir mangé dans un restaurant, que j'ai bien sûr aussi payé. J'ai envie d'envoyer un message à Cléa pour qu'on aille se poser dehors. Mais j'ai peur une fois de plus de brûler des étapes. Je ne me reconnais pas quand je suis avec elle. Dieu seul sait ce que je peux faire pour une fille...
✉️Benjamin : Salut fillette. Une petite sortie dehors, juste se poser, ça te dis? 😋
La réponse ne se fait pas attendre. Je me suis moi même surpris avec ce surnom, je suis sur qu'il va la faire râler, et c'est ce que je recherche, elle est drôle quand elle râle. Même si elle sait très bien le faire sans moi.
✉️Cléa : Yep ! Devant ta chambre dans 5 minutes !
Je suis aussi heureux qu'un gosse à Noël. Elle me rend fou. Je suis fou.
••Cléa••
Il viens bien de me demander de sortir? Je vérifie sur mon portable. Ah oui. Mais j'ai rien à me mettre moi ! Pas grave, je met un jogging moche et un débardeur, avec une veste de jogging. Un ensemble du PSG. Je suis pas sûre qu'il aime. Mais c'est pas grave, il va râler, comme il a, je suppose voulu faire avec son surnom débile.
Je suis devant sa chambre 5 minutes après, comme prévu. Il avait l'air de m'attendre de pied ferme.
Cléa : Je te manque tant que ça?
Benjamin : Si tu savais... Clin d'œil.
On descend en bas, et on se pose sur un banc dans le jardin derrière l'hôtel, jardin privé bien sûr.
Cléa : T'as voulu me faire chier avec ton surnom à la con tout à l'heure?
Benjamin : Oui, mais t'as pas réagi c'est pas drôle. Enfin je vois que t'as essayé de faire la même avec ton survet du PSG laaa...
Cléa : Bien vu Sherlock !
On continue à parler pendant plus d'1 heure. J'apprécie vraiment sa compagnie, il est super sympa. J'ai l'impression que je lui plait autant qu'il me plait, mais ni lui ni moi ne sommes motivés à passer à l'étape supérieure.
••Benjamin••
Cléa s'est endormie sur moi. Elle s'était allongé pour observer les étoiles, après m'avoir confié qu'elle adore le faire. Mais très vite, elle s'est endormie. Je la prend en mode princesse et la porte jusqu'à ma chambre. J'ai pas vraiment eu envie de la monter un étage plus haut. Elle pèse son poids quand même !
Je m'endors dans ses bras. Je crois que je vais passer une très bonne nuit.
J'espère ne pas le regretter.
••
•AYOOOO LES AMIIIIIS !!
(Trop de motivation oupsi 🙊)Nouveau chapitre, avec un petit rapprochement tout mini 🙄 Vous en pensez quoi?
Je ne suis pas sûre qu'il y ait un chapitre demain, j'en profite ce soir pour en poster 1. Et si il y en a un, ben c'est un petit cadeau 🎁 !
À la prochaine !
Zo'
❤️
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Cuisto's // Pavard
FanficDébut de la coupe du monde. Benjamin Pavard, le nouveau de l'équipe, découvre ses coéquipiers, le staff, et surtout elle. Elle c'est la cuisinière, celle qui est chargée de les chouchouter grâce à ses plats, meilleurs les uns que les autres. Ni elle...