Il était là, devant moi, en train de délasser ma robe avec lenteur et le geste assuré. Il à l'habitude de le faire ça se voit. Je reste immobile les bras le long de mon corps, le regard sur sa main.
- Vois-tu Ambre, j'ai été frustré à plusieurs reprise... commence Louis en faisant tomber ma robe sur mes épaules, il se positionne dans mon dos et m'embrasse le cou. A deux reprises tu m'as échappé. Je ne suis pas un homme très patient, dit-il en faisant cette fois-ci glisser ma robe à mes pieds, me laissant juste en corset devant lui. Il commence à le délasser lui aussi. Le roi n'aime pas qu'on lui dise non et lui résiste. Je te veux et je t'aurais que tu le veuille ou non. Dans quelques instants tu seras à moi et rien qu'à moi. Tu porteras mon enfant.
- Sa majesté aurait il oublié qu'il est marié ?
- Je fais ce dont j'ai envie, je n'ai aucun compte à rendre mon rayon de soleil. Je suis le roi.
- La reine est quelqu'un de bien votre majesté. Je l'apprécie et je ne veux pas lui faire ça. C'est ma seule amie ici.
Louis commence rire, ce n'est pas un vrai rire mais plutôt un rire nerveux. Il m'arrache le corset et le jette du geste brusque plus loin dans la pièce et me retourne d'un coup me forçant à le regarder dans les yeux.
- Que tu es naïve ma petite Ambre, la reine, le femme qui me sert d'épouse, ne vaut pas mieux que les autres femmes. Elle n'est destinée qu'à me donner une descendance, on est marié pour que nos deux pays fassent alliances rien de plus rien de moins. Sais-tu que la reine à engendrée un bâtard noir, il y a moins de trois ans de cela ? c'est une catin comme les autres qui écartent les cuisses autant que moi j'ai de maîtresses.
Je suis choquée part ses dires. Je ne sais pas ce qui me choque le plus la façon dont il parle de lui et la reine ou de la façon à en croire ses dires que toutes les femmes ici sont des catins.
Louis commence à prendre mes seins en bouche tout en les malaxant, il passe ses mains partout sur mon corps, j'essaye de le repousser, je n'ai pas envie de lui à cet instant, il ma trop déçu. Me prendrait-il-moi aussi pour une catin ? Une nouvelle viande fraîche à ce mettre sous la dent.
- Ne me dit pas non Ambre !
- Non, trouvez vous une autre catin, je pense que madame de Montespan doit vous attendre dans sa couche votre majesté. Dis-je dans un murmure vraiment pas assuré.
Louis se redresse lentement, avec le regard noir malgré ses yeux bleus.
- Qu'as-tu dit là ?
- ...
- Ambre, je t'ai posé une question, tu vas y répondre immédiatement.
- J'...j'ai dis non.
- Ca, j'avais bien compris, je veux entendre la suite.
- je ne suis pas une catin votre majesté.
Sa majesté respire bruyamment, et passe sa main sur mon visage, j'ai peur et par reflexe je ferme les yeux.
- Tu as raison de me craindre mon enfant. En aucun cas, je ne te prends pour une catin, mais avec ce que tu viens de me dire, je suis encore plus en colère contre toi que je l'étais au paravent. Je voulais te posséder ce soir, je voulais que cela ce passe bien, tu n'as aucune expérience, mais au vu de ton attitude, je risque d'être un peu plus brute que je ne l'aurais voulu. Je vais juste me masturber dans ta chatte et ne te donnerais aucun plaisir ! allonge-toi sur le lit !
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Madame
FanfictionSynopsis de Madame Henriette est morte depuis un an, le roi Louis XIV, oblige son frère Philippe dit Monsieur à se remarier. La seule condition pour que monsieur accepte est de libérer son amant le chevalier de Lorraine exilé à Rome. Il est soupço...