Synopsis de Madame
Henriette est morte depuis un an, le roi Louis XIV, oblige son frère Philippe dit Monsieur à se remarier. La seule condition pour que monsieur accepte est de libérer son amant le chevalier de Lorraine exilé à Rome. Il est soupço...
Oh non mon dieu, mais qu'est ce que je vous ai fais pour mériter ça ?! Mais diable comment a-t-il pu me retrouver aussi vite ? Me dis-je intérieurement. Je reste paralysée par la peur. Que va-t-il arrivé à Antoine si jamais on nous découvre ensemble tous les deux ? Comment diable à t-il pu savoir que Antoine et moi étions ensemble ? Je n'ai jamais parlé de lui à personnes à Versailles enfin peut-être ma reine mais elle ne dirait rien elle. Les coups à la porte de la grange sont de plus en plus violents, ils vont enfoncer la porte si on ne trouve pas vite faite une échappatoire. On se rhabille aussi vite que l'on peut, Antoine me pousse à terre et me dit de me taire, il me recouvre entièrement de foin pour me dissimuler dessous.
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- Panique pas, garde ton calme, je me charge d'eux Ambre.
- Monsieur Meriot à trois j'enfonce la porte, un ...
- J'arrive ! dit Antoine. En regardant tout autour si tout était normal excepter qu'une femme soin sous le foin et qu'elle est envie d'éternuer.
Il descend à grande enjambé et ouvre la porte tout en faisant la personne qui dormait et ouvre la porte.
- C'est quoi tous se raffut ? demande Antoine en jouant bien la comédie.
La personne devant lui, le pousse et rentre.
- Monsieur Meriot, je suis Monsieur Marchal, maître d'arme de la garde royal de Sa Majesté. Dit- il en avançant dans la grange en examinant tout autour. On n'a eu connaissance que la duchesse d'Orléans Madame Layère Ambre Louise se trouverait ici parmi vous.
- Quel est le rapport avec moi monsieur ? demande Antoine sans une once d'angoisse dans sa voix.
- Monsieur Meriot je vous prierais de bien vouloir me dire ou la duchesse se trouve, sa tante Mlle Ornac Justine la jeune sœur de sa mère ma rapporté votre relation et que il y a moins de 3 heures la duchesse se dirigeait chez vous. Si vous ne voulez pas avoir son enlèvement sur le dos vous avez intérêt de me dire où elle est. S'il le faut, je vous fais faire torturer pour savoir ou elle est. Si sa majesté se rend compte que vous êtes impliqué dans son enlèvement il vous fera décapiter sur le champ.
- Je n'ai pas peur du roi, et
- NOOON Antoine s'il te plaît, je ne veux rien qui t'arrive dis-je en sortant de sous le foin mais en restant là haut au pied de l'échelle, je tremble tellement que je ne contrôle plus mon corps.
- Madame me dit Fabien, en venant montant l'échelle vers moi. Je vais devoir vous demander de me suivre, nous devons rentrer au Palais.
Je recule, je ne veux pas, je ne peux pas rentrer là-bas. C'est hors de question, Louis, Philippe... je vais en payer le prix cher. Les larmes coulent sur mon visage et pourtant aucuns gémissements sort de ma bouche, je suis tous simplement fatiguée, épuisée de tous cela. Je fais non de la tête en guise de réponse à Fabien.
