Lorsqu'il m'a punit hier soir, de la pire des manières qu'il soit (je ne peux toujours pas m'asseoir sur une chaise sans tirer la grimace) je l'ai haï plus que je n'ai jamais haï personne. Je l'ai détesté à un tel point que si j'aurais pas été si maigrichonnes avec de tout petits bras j'aurais été capable de l'étrangler. Mais ensuite il m'a comme qui dirait sauvée la vie en s'occupant de moi lorsque j'ai fait ma tentative de suicide, du coup c'était le moins que je puisse faire de m'excuser d'avoir dit les choses que je lui ai dit. Ce qu'il m'a dit après que j'ai présenté mes excuses m'a en quelque sorte marqué.
Si tu connaîtrait mon passé, tu comprendrais pourquoi je suis devenu tel que je suis aujourd'hui.
Peut-être qu'il a raison, peut-être que finalement c'est pas lui le monstre dans cette histoire, peut-être que je le juge trop hâtivement. Peut-être que je devrais apprendre à le connaitre avant de tirer de telles conclusions. Mais comment alors qu'il refuse catégoriquement de me parler de son passé ? En tout cas c'est pas aujourd'hui que je vais discuter de passé douloureux avec lui, car apparemment il avait déjà fait le programme de la journée. Ainsi, lorsque je sors de la salle de bain après m'être habillée coiffée et brossée les dents, il est debout devant moi torse nu, me faisant penser à Adonis le demi Dieu symbole ultime de la beauté masculine.
- J'ai envie de tester un de mes jouets sur toi, déclare-t-il et je remarque seulement qu'il a les mains cachées derrière son dos.
Il se rapproche dangereusement de moi et sort ses mains de derrière son dos. Il me montre alors un objet étrange de couleur rose et à la forme... Suggestif.
- Qu'est-ce que c'est ? Demandai-je.
- Un vibromasseur, m'apprend-il.
Ses yeux débordent de désir.
- Et à quoi ça sert ?
Il s'approche de moi, sa main libre effleure ma joue. Il s'approche de mon oreille.
- À t'emmener direction septième ciel bébé, me souffle-t-il et un frisson parcours mon corps.
Sans même attendre ma réponse il me prend par le poignet et m'invite à le suivre, nous arrivons dans sa chambre et il m'allonge sur le lit, puis commence à me déshabiller d'une lenteur démesurée. Il enlève mes chaussures, fait glisser ses mains le long de mes jambes me procurant une vague de frissons à son passage, il fait glisser ma culotte le long de mes jambes et la culotte finit loin à l'autre bout de la pièce, la robe que je porte ne tarde pas à la rejoindre, et bientôt je me retrouve avec seulement mon soutien gorge et Sangster à califourchon sur moi, me dominant tel un lion. Il est le lion et moi je suis le pauvre petit oryx.
- Qu'est-ce que tu es belle Emma.
Sa bouche vient se poser doucement contre la peau sensible de mon cou. Et lorsqu'il se met à aspirer doucement ma peau avec ses lèvres, je lâche un cris de surprise.
Oh mon Dieu mais qu'est-ce que c'est que ça ? C'est... Divin.
Il continu sa petite torture un moment puis descend pour venir lécher ma clavicule, il descend jusqu'à ma poitrine et mon soutien gorge n'est plus qu'un souvenir. Il se met alors à jouer avec mes tétons, les léchant les mordillant.
- J'adore tes seins, ils sont tous doux tous ronds, comme des pêches.
Il me caresse, me masse, me malaxe même, les seins. Il fait parcourir sa langue le long de mon ventre et souffle dessus.
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Adjugé Vendu !
FanfictionLe numéro 66, c'est tout ce qu'elle était. Elle ne se souvient ni de son prénom, ni de ses parents, en bref, elle ne se souvient de rien de sa vie passée. Elle a été enlevée par des hommes qui kidnappent des petites filles pour les vendre aux enchèr...