Il m'a sauvé la vie {Fanfiction Thomas Brodie-Sangster}

5.Agression

En sortant du parc je partais dans une rue près de la mienne. Je ne voyais pas très bien où j'allais car il faisais noir et j'avais mes écouteurs donc j'entendais pas grand chose. Je courais et je reconnu l'angle de la rue où j'habite. En tournant je m'arrête stop. Devant moi se trouvait une bande d'hommes. Je ne savais pas trop quoi faire alors j'ai fais demi tour mais trop tard il m'avait repéré et m'attrapaient déjà. Je voulu me débattre mais rien n'y fait. Ils étaient plus fort que moi et vu que j'ai une force d'escargot ben je suis dans la merde.
-Hey,salut beauté. Tu restes avec nous? Demande l'un d'entre eux.

-Laissez moi tranquille. Ripostait je.

-Oh mais du calme ma belle. On veut juste passer un bon moment. Et si tu nous donnais ce que tu as sur toi comme ce téléphone.

-Foutez moi la paix! Criais je.
Je n'avais pas le temps de riposter plus qu'ils essayaient déjà de me prendre mon téléphone. J'essayais de me débattre mais ils étaient trop fort et trop nombreux. Je pensais que c'était peine perdue quand soudain, une voix ce fit entendre.

-Lâchez la. Crie une voix que je commence à connaître.

-Eh! On l'a trouvé avant toi alors passe ton chemin.
L'homme n'a pas eu le temps de donner un coup que Thomas l'a déjà assommé.

-Un autre volontaire? Crie t'il très en colère.
Les autres hommes aident à relever celui qui avait reçu des coups et ils s'enfuient tous dans l'autre direction.
Thomas s'approche de moi pour voir si je vais bien. Il avait l'air vraiment inquiet. Je le regarde s'approcher.

-Ça va? Me demande t'il.

-Oui. Merci. Pourquoi tu m'as aidée?

-Parce que tu es à moi. Dit-il avec un grand sourire.
Je lève les yeux au ciel et répond:

-Tu es vraiment désespérant tu sais. Pourquoi moi? Pourquoi me courir après alors qu'il y a sans doute pleins d'autres filles prête à tout pour toi?

-Parce que toi tu me résiste. J'ai toujours obtenu ce que je voulais et ça ne changera jamais. Alors mon objectif est de t'avoir.

-Et bien tu te trompes. Tu ne m'aura pas.
Il m'attrape l'avant bras droit encore une fois et je pousse un cri de douleur.

-Arrête! Tu me fais vraiment mal.
Il me regarde de ses beaux yeux brun avec un air d'incompréhension comme si il cherchait à déchiffrer ce qui se passe. Qu'es ce qu'il est beau quand il fronce les sourcils. Non!Rose. Arrête de penser ça.
Mais c'est vrai qu'il est beau. Vraiment beau. Je l'observe m'observer comme si j'étais une énigme.
En une fois, sans que je ne puisse me défendre il attrape mon autre bras pour le bloquer et avec sa main libre remonte la manche de mon sweat jusqu'à ce qu'il aperçoit le bandage. Son regard s'attarde sur mon bras puis il mobserve. J'essaie de me détacher de lui mais je n'y arrive pas.
Après quelques minutes qui m'ont semblé être une éternité, il me relâche et me regarde avec un air sérieux avant de me lancer:
-Qu'es ce que tu as fait à ton bras? Me demande t'il. Quelque part, je crois qu'il a une idée.

-Je me suis brûlée avec l'eau bouillante lorsque je faisais la cuisine.
Décidément c'est vraiment une excuse bidon.

-Vraiment? Je ne te crois pas!

-Ben tu n'as qu'à croire ce que tu veux.
Je m'éloigne de lui pour retourner chez moi mais il me dis:

-Attend, où tu vas?

-Chez moi. Sa te dérange peut être?

-Non. Je vais t'accompagner. J'habite par là aussi.
Et merde. Je voulais qu'il me foute la paix mais il a bien décidé de me coller.
Avant même que je refuse il avait déjà pris la route. Je le suivis parce que je n'avais pas trop le choix.
Sur le chemin, nous étions très silencieux. Mais une question trônait dans ma tête. Je décide donc de la lui poser.

-Qu'es ce que tu faisais là au fait?

-J'habite dans cette rue et je rentrais chez moi quand j'ai entendu des voix et je t'ai vu.
Attendez quoi??! Il habite la rue? Et remerde!
Je ne rajoute rien mais je sens que ça ne va pas être de tout repos si il se trouve dans la même rue que moi.
Nous continuons donc notre route jusque chez moi. Je sais au fond de moi que je commet la pire erreur de ma vie en lui montrant où j'habite.
On s'arrête donc devant mon appartement et je lui dis que c'est la que j'habite.
Il regarde l'appartement et la maison d'en face et ensuite me décroche un grand sourire arrogant.
Il ne me faut que quelques secondes avant de comprendre à quoi il pense.

-Ne me dis pas que tu habite la maison d'en face sinon je t'etripe.

-Ouie. Alors je crois que je vais m'en aller.

-C'est pas vrai mais dites moi que je rêve.
Thomas s'approche de moi, un peu trop près à mon goût et me dis:

-Quoi, tu a peur que je te harcèle 24h sur 24? Parce que si c'est le cas, tu vas être servi bébé!
Pendant un instant j'ai vraiment cru qu'il allait m'embrasser mais il c'est reculé et est reparti vers sa maison qui est...ben juste en face.
Putain mais dans quelle merde je me suis fourrée.