Chapitre 19 : je t'aime

150 9 2
                                    

Beaucoup de romance à partir de ce chapitre ❤️❤️❤️😆

Je te conseille de lire ce chapitre avec une musique calme comme celle que j'ai mise en média, c'est comme ça que j'ai écrite ce chapitre et je t'assures que c'est mieux avec !!!

Ex : lost secrets•floating lights
( dans la section musique pour dormir et clic sur « sleep tight » sur Spotify) 😉



__

La forêt n'ai pas aussi effrayante qu'elle en a l'air quand on s'y trouve à l'entrée. Elle me fait penser à la forêt où eu lieu ma première promenade avec Edward. Edward est toujours aussi difficile à cerner. Il est devant moi et mon cheval.
Je le regarde. Il se tient droit sur son cheval. Ses jambes le long du ventre de son fidèle étalon. Ses bras musclés tiennent les reines fermement.
Je le regarde longtemps encore. Comment ai-je fais pour passer à côté ? Enfin pas complètement.... je me pose encore LA question. Même si au fond je pense connaître la réponse. Même si je pourrais me réjouir car je finirais mes jours à ces côtés... mais c'est toujours mieux de se sentir aimer et que nos sentiments envers quelqu'un soit réciproque. Mais si ce quelqu'un ne vous montre rien, ne reste pas naturel avec vous, comment bien l'aimez ? On ne peut pas aimer seulement cette personne quand elle est gentille quelques minutes seulement avec vous. Ou l'aimez pour ce qu'elle vous montre... car le jour où elle se montrera vraiment vous ne l'aimerez peut être pas... enfin c'est cette ambiguïté que j'ai ... Je ne prévois pas le futur.

Et bien voila. Tu comprends enfin, je l'espère se qui me trouble.
Je lève la tête et ferme les yeux laissant mon cheval suivre son compagnon. Je ferme les yeux. Je souris car je sent les branches humides me chatouiller le visage. Elle sont douces. Les gouttelettes d'eau glissent sur ma joue. J'ouvre un peu mes paupières et voit Edward. Il me regarde avec admiration. Il n'envie sûrement rien de mon physique, mais peut-être de ma façon de voir les choses, de sentir les êtres vivants autour de moi....
Je ne fais que respecter se qui m'entoure. Parce que ce n'est pas rien...
Les arbres se nourrissent. Les arbres sont si beaux . Ils inspirent tellement. La sagesse et la sécurité. Se sont des anciens, qui connaissent chaque siècles avant nous, qui ont vécus plus de 3 milles années, et qui reste planter à surveiller qui vient s'assoir sur son tronc. Qui crée un lien avec celui qui l'a planter. Et l'air, et la mer, et les lapins... Je sens la vie et les cœur battant en eux. Comme eux ressentent le miens. Comme mon cheval , qui se sent mieux quand je lui souris. Comment fait-il pour savoir quand je suis nerveuse ..?
Et bien je le sens aussi bien que lui quand je le suis... il suffit que Edward soit à quelques mètres de moi. Que je vois sa poitrine se soulever et s'abaisser quand il respire. Sa mâchoire se contracter à chaque embarras.
Et lui.
Lui.
Il ressent et perçois mes émotions et mes sentiments ?
J'ouvre bien grand mes yeux et il reprend ses esprit. Il arrête de me regarder et tousse.

- Je veux m'arrêter Edward.

Il arrête son cheval immédiatement.

- Pourquoi ?

- Je le veux seulement. Je veux regarder la nature.

- Alors laisse moi t'emmener quelque part...

Mon cœur s'emballe. C'est la première fois que Edward me tutoies. C'est la première fois qu'il acquiesce aussi facilement. J'aimerais rester avec lui toute la nuit et rêver de lui...
Je lui souris et nous descendons de nos meneurs. Il s'avance vers moi et me prend la main. Je suis sûre qu'on pourrait nous confondre pour amants.
Nous laissons les chevaux derrière le grand chêne et marchons entre les buissons.
Puis.
Il dégage les branches devant nous. Et je vois alors.
Un petit coin mis à l'écart. Un coin à première vue, enchanté: Les lucioles s'envolant, la lune brillante sous les arbres noir. Une atmosphère calme et pleine de magie.
Nous avançons toujours main dans la main. Émerveillée, je regarde autour de moi. Elles s'envolent autour de nous, les lucioles. Comme si une étoile du ciel nous regardait et le décidait.

Puis Edward me prend doucement la mâchoire

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.



Puis Edward me prend doucement la mâchoire. Il me tourne doucement la tête vers lui. Que la lumière de la lune éclaire mes yeux. Que cette instant reste dans nos tête. Je le vois me regarder comme si j'étais aussi lumineuse que les lucioles. Puis il place sa main derrière mon oreille et sur ce chemin délicat il caresse ma joue. Sa main se place derrière mon cou.
Sa main chaude sur mon cou. Celle de cet homme.
Est-ce que je savais il y a quelques semaines, que je le rencontrerais un jour. Est-ce que je savais que j'allais être la femme de cet homme. Qu'il m'emmènerait dans des endroits pareils ? Je ne savais rien et le destin fit à ma place.
Seul le destin connaît la suite de l'histoire. Et je demande au destin de me laisser quelques minutes, heures, dans cette endroit, dans cette atmosphère et avec lui...
Je ne pense plus à personne.
Tout le monde disparaît de ma tête.
Il n'y a que lui que je vois, que je sens et que je comprends. Alors quand il me regarde les yeux. Quand il me regarde les cheveux et ma bouche. Je sais enfin. Je sais enfin distinguer MON vrai de mes pensées. Parce que mes pensées ne veulent pas me laisser dans les mains de cet homme dangereux pour mon cœur et dangereux tout cour... mais moi. Moi je sais maintenant se que j'ai, se que je ressens. Et c'est sorti tout seul d'un coin de ma tête grâce à ce geste qui veut dire tellement.
Je sais que alors.
J'aime Edward.

J'aimerais qu'il rapproche sa tête de la mienne doucement. Et que c'est lèvres touche les miennes ...
Mais il ne le fait pas. Il me regarde juste. Je scrute son visage. Je connais tout ses recoins du visage. Ses lèvres fines et lisses. Ses yeux perçants et son regard noir. Son nez fin. Sa mâchoire carré et dure. Son cou épais et lisse. Son grain de beauté sur la joue droite et sa cicatrice sur l'oreille gauche.
Et puis tout se passe vite. Je ne sens rien mais je vois... mon visage qui s'approche du siens. Mes yeux se fermer. Et puis...

Est-ce que tu m'aimes ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant