Sumerki

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Auteur : Dmitri  Glukhovsky

Editeur : l'Atalante

résumé : Quand Dmitry Alexeïevitch, traducteur désargenté, insiste auprès de son agence pour obtenir un nouveau contrat, il ne se doute pas que sa vie en sera bouleversée. Le traducteur en charge du premier chapitre ne donnant plus de nouvelles, c'est un étrange texte qui lui échoit : le récit d'une expédition dans les forêts inexplorées du Yucatán au XVIe siècle, armée par le prêtre franciscain Diego de Landa. Et les chapitres lui en sont remis au compte-gouttes par un mystérieux commanditaire. Aussi, quand l'employé de l'agence est sauvagement assassiné et que les périls relatés dans le document s'immiscent dans son quotidien, Dmitry Alexeïevitch prend peur. Dans les ombres du passé, les dieux et les démons mayas se sont-ils acharnés à protéger un savoir interdit ? À moins, bien entendu, que le manuscrit espagnol ne lui ait fait perdre la raison. Alors que le monde autour de lui est ravagé par des ouragans, des séismes et des tsunamis, le temps est compté pour découvrir la vérité.


Mon avis :  Une déception.

Je viens de finir ce livre, j'ai eu les plus grandes difficultés à aller au bout car je ne suis pas du tout le bon public pour ce livre. D'où ma grande déception.

Je m'attendais à un thriller fantastique, ésotérique, mais pas à un livre autant accès sur la psychologie.

Le personnage et le récit sont beaucoup trop introspectif pour moi, je n'aime pas les longues réflexion névrotique à base de désirs inassouvis, recette de cuisine, souvenirs du chien mort, mêlée d'hallucinations.

La traduction du journal d'un conquistador agissant sur ordre de Diego de Landa me tentait car je connaissais l'histoire de ce personnage historique à l'origine de la perte inestimable de milliers d'écrits de culture précolombienne. J'avais je l'avoue l'espoir que l'histoire soit basée sur la période de sa vie durant laquelle il s'est rendu compte de ce crime et a tenté sans beaucoup de succès de rassembler des morceaux épars. De rendre justice aux différentes cultures qu'il avait contribué à détruire.

Je n'ai tenue jusqu'à la fin que pour avoir le fin mot sur le journal du conquistador. Et là encore légère déception, beaucoup trop de quête de soit purement psychologique.

Et même si la morale se tient parfaitement, elle ne m'a pas chamboulé.

Bref ma première lecture d'auteur russe et hélas le livre n'était pas pour moi, vous l'aurez compris trop de psychologie n'est pas pour moi.

Mes petits avis de lecturesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant