Contrainte en écriture (suite)

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Là encore, je vous laisse deviner quelle était la contrainte en commentaire.

Tes yeux bleus si beaux ont un teint mat.

Ton cœur est lie-de-vin.

Tu dis tout le temps ton goût pour les va-nus-pieds qui sont dans ta rue.

Tu ne sais pas ce que tu dis.

Un jour oui, un jour non.

Dur à la vie, moi je dis.

Mal à la vie, tu sais.

Faut que tu voies plus près de toi ceux qui n'ont rien en tête.

Tu te meurs par à-coups.

Tes yeux crient les mots que tu ne sors pas.

Ton cœur bat sans choc.

Le choc, c'est toi. 

Au ras du sol est ta vie.

La mort te suit de près.

Stop! Ce n'est pas ça la vie!

Tes ris sont faux.

Tu n'as pas de gain dans la mort.

C'est la fin, c'est tout.

Tu sais ça au moins?

On te l'a dit?

Tu crois en quoi?

En moi ou en tous ces gens forts de leur moi?

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