Ceci n'est pas une partie de l'histoire. L'une des personne est inguk, l'autre Jaejin. Faites votre choix
Je pose le lieu :
Nous somme dans un bar classieux dans les années 30. Deux gentlemen sont les derniers clients. Ils se font face, accoudés au bar pour discuter.
Une femme à la voix suave chante du jazz et le barman est assis à une table au fond de la salle. Devant un verre de whisky, fumant sa cigarette, il ferme les yeux en balaçant la tête au rythme du piano que l'on entend grâce au tourne disque.
Le personnage du point de vue duquel nous voyons les choses est en costume marron. Ses cheveux sont noirs, épais et gominés.
L'autre personnage porte un costume bleu marine à rayures verticales blanches, une cravatte rouge et un chapeau.
Tous les deux boivent du whisky.merci et bonne lecture
C'est non sans mal que j'entrai dans cette pièce. Le doute m'envahit, me tortura le ventre puis... Sa voix. Sa voix qui m'enchantait, me transportait, m'émouvait. M'avançant vers lui je ne pris garde à mes gestes. S'il devait m'aimer alors, il m'aimerait comme je suis.
Je me lançai. Les mots sortirent de ma bouche, presque robotiques. J'avais même un peu honte. Mais il m'écoutait, comme il l'avait toujours fait.
Si bel homme. Si maladroitement charmant. Si drôle. Si.... Tellement de choses. Si... Tellement tout.Alors il entendit mes balbutiements. Ceux-ci l'avaient sûrement étonné. Mais il n'en avait rien montré. Il souriait comme il ne le faisait qu'avec moi et là... Là il l'avait encore une fois démontré : il était unique. Aucune gen ne pouvait prétendre être de son envergure tant elle était infinie.
Il hôta son couvre-chef. Il le posa doucement. Il plongea son regard dans le mien puis, d'un subtil mouvement de langue, caressa le coin de ses lèvres. Il n'avait cessé de sourire.
Ne balaçant que ma jambe croisée sur un petit air de jazz, j'attendais. Le coeur battant, je patientais. Alors, sa main sortit de sa poche et il l'approcha doucement de mon visage. Je pu remarquer qu'il tremblait. D'excitation, je priais.
Mon visage frissona à son toucher. Si doux. Si tendre. Était-ce là sa réponse ? Allait-il utiliser ces doigts pourtant délicats pour me punir d'avoir osé pronnoncer de telles inepties ?
Non. Il ne fit rien de tel. Il descendit de son tabouret recouvert de velours rouge. La main tendue, paume vers le haut, il m'invita à danser.
J'acceptai. Avec tant de joie que j'en avais oublié de respirer.Nos paumes glissant l'une sur l'autre, je le laissai me guider. Il était bon danseur. Cela était à ajouter à la longue liste de ses qualités.
Bougeant doucement, bercés par le rythme lent, nos fronts se touchèrent. Nos nez s'effleurèrent. Nos souffles se mêlèrent et, enfin.... Enfin.
J'avais osé le lui dire.
Je l'aime.
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Frères [Terminée]
FanfictionLe beau et célèbre Seo Inguk, fils du président de la plus célèbre marque de cosmétiques du pays, rencontre Lee Jaejin dans une petite entreprise de revendeurs dans laquelle il est embauché. Cette collaboration mènera à une forte amitié entre les de...