chapitre 13 : état d'alerte.

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- enfin! C'est fait prise celle qui s'y croyais prendre., dit elle en pointant son arme sur moi.

- alors Iris ça fait quoi de vivre ma vie? D'être l'objet de John?

Elle fronce les sourcils et tire sur ma jambe. Bordel de bordel de merde. Je tombe et serre le plus possible les dents. Ça fait un mal de chien!

- tu es contente n'est ce pas ! Tu te crois fière ! Moi aussi il m'avait violé plus jeune. Maintenant c'est différent! Il m'aime.

Je la regarde choqué et surtout impressionné par l'expansion de sa folie. Type même du syndrome de Stockholm : aimer son oppresseur.

- et c'est lui...lui qui t'as f....fait ces bleus sur le visage.

- tu es au bord de l'agonie et tu me tiens encore tête ! Tu es pitoyable Cataleina.

Elle baisse son arme et me dévisage.

- et dire que j'ai t'ai toujours envié à présent tu n'es plus rien, dit elle en me crachant au visage.

Je ferme les yeux et encaisse. Respire Cataleina. Tu es Cataleina Florez. Dès que je les ouvre, elle a un mouvement de recul.

Mon regard n'est ni méchant ni même rancunier. Il est juste froid.

- tu prétend qu'il t'aime Iris. Combien de fois c'est il infiltré dans ton lit avant de te violer sauvagement, de faire pleurer? Combien t'as t il frappé en t'accusant de tout ces maux? Combien de fois?

Elle pinça ces lèvres et releva son arme.

- il m'aime, il m'as dit qu'il m'aimait !

Je me relève tant bien que mal et me saisit lentement de mon arme derrière mon dos. Ces mains tremblent, elle faiblit.

- il te ment Iris, il t'a arraché à ta famille, il t'a

Mon rêve est de te tuer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant