chapitre 19 : la fin d'un début

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J'entra en catastrophe dans la chambre et vit Barbie avec une aiguille dans les mains.

- stop Barbie fait pas ça !

- je te hais !, pleure t elle, si tu es là, c'est qu'il est mort n'est ce pas ? Je suis toute seule maintenant !

- lâche ça Barbie, je t'en pris.

- Non! Si je dois être seule alors toi aussi !

Je sauta sur elle et elle fit tomber l'aiguille.

- ahha, lâche moi petite traîné !

Elle se débattait mais j'avais largement le dessus malgré mon épaule blessé.

- Cataleina ! Oh...

- James ramène toi!, dis je en maintenant Barbie.

Il rangea son arme et vint vers moi. Je lui laissa Barbie qui pleurait comme un bébé et parti voir Carlos.

- oh mon Dieu !, soufflais je avant de pleurer.

Il était vivant. J'étais arrivé à temps. J'ai pût le protéger.

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2 semaines plus tard...

- je ne pense pas que se soit une bonne idée Cataleina, dis James.

- je suis d'accord avec le blondinet, Miguel est très bien gardé, ajouta Charles.

Ça fait une heure que j'etudis la carte de sa maison et de l'endroit où il vit. Deux semaines que j'analyse ces moindre faits et geste. Et aujourd'hui, je penses avoir le plan parfait, mais pour ça, il faut être préparer.

- Cataleina, tu devrais aller voir Carlos, il s'est réveillé ça fait maintenant trois jours et tu n'ai même pas allé le voir.

- ferme là, James!

Je savais que Carlos était réveillé et j'en étais ravie,mais il fallait que je me prépare pour le plus gros. Et çà, je sais que Carlos comprendra.

Ok! Je penses que ça peut marcher.

- notre dernier contrat Charles.

- je t'écoute.

- le transport jusqu'à Sans Francisco merci.

- ok

- j'aurais aussi besoin d'une camionnette, d'un bazooka, d'un sniper, d'une mitraillette, d'un flingue bien évidemment, de gants emprisonnés, d'un couteau et de deux chiens de préférence pitbull affamé et méchant, mais bien éduqué.

James et Charles froncent les sourcils quant à ma dernière demande.

- des chiens ? Tu en es sûre Cataleina ?, me demande James en fronçant les sourcils

- deux ?, demande Charles stupéfait.

- non pas deux. 4 c'est mieux, dis je en fermant les cartes.

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Je reste là immobile et le regarde. Il est si beau. La sécurité a été redoublé et en plus cette fois ci, c'est James son garde personnel. Et je sais que je peux avoir confiance en ce blondinet.

- je sais que t'es là Cataleina.

Ma respiration se hacha net.

- je..je pensais que tu dormais...

Mon rêve est de te tuer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant