Un jeu trop dangereux..., par Candylyna

Chapitre 9 ,« Le secret de Terry »

Dans les jours qui suivirent Terry avait disparu. La rumeur courait qu'il était malade. Sa sœur ne voulait rien dire. Elle s'absentait tout simplement plus souvent pour apporter les devoirs et les travaux à Terry.

Candy, après la rupture avec Anthony, passait plus de temps avec ses amies. Terry était porté disparu et il lui manquait terriblement ! Mais elle ne le montrait pas. Et les garçons ne parlaient jamais de Terry lorsqu'elle était avec eux.

Un jour après les cours, Candy alla sur sa colline et elle trouva Terry couché parterre. Elle était tellement heureuse de le voir. Ça faisait tellement longtemps, ça lui semblait être une éternité, depuis qu'elle ne l'avait pas vu.

- Terry ! Dit-elle tout heureuse en souriant, oh Terry ! Tu vas bien...

Terry se leva et la regarda froidement. Elle avait l'air tellement heureuse, mais elle était toujours avec son blanc bec ! Alors, il ne répondit pas.

- Terry ? Dit-elle, je te parle non... ?

- Je t'ai entendu, dit-il froidement.

- Mais...Tu n'as rien à me dire ?

- Je n'ai rien à te dire, fit-il en partant.

Candy le regarda perplexe. Elle avait des larmes aux yeux. D'où venait cette froideur soudaine depuis cette nuit où il était ivre...Elle retourna dans sa chambre toute triste et elle ouvrit son ordinateur. Elle fut surprise de trouver un courriel d'Albert qui lui disait qu'il travaillait au Blue River Zoo de Londres. Candy était tellement heureuse d'avoir de ses nouvelles, elle était tellement triste...

- Oh Albert vous tombez toujours à pic ! Je vais aller vous voir tout de suite...

Candy sortit donc de l'internat, toute seule et elle se rendit au Blue River Zoo, après avoir prit des bus, des trains et des métros dans Londres...

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Terry était avec Albert au Blue River Zoo dans son bureau.

- Je suis heureux de te revoir Terry ! Dit Albert.

- Eh bien il n'y a qu'aujourd'hui que j'ai repris les cours... j'ai été malade...

- Mais tu vas bien ?

- Oui, et je suis venu vous remercier... pour votre aide et pour m'avoir ramené... Vous auriez pu fuir avec ma cage...

- J'aurai pu comme tu dis, seulement, je ne suis pas un voleur... Heureusement pour toi. Mais on dirait que tu n'es toujours pas dans ton assiette...

- Je pense à cette fille...

- Une fille...