Après 20 minutes de marche qui m'on paru une éternité je voit un bâtiment qui me parait grand même très grand en face de moi se trouve deux gardes devant la grande porte je lève les yeux vers les toits et je voit des snipers j'en compte 4, je m'accroupis et pose mon sniper je le place devant moi et je souffle.
Allez Soraya tu la déjà fait ! m'encourageait-je moi même.
Je m'approche du sniper et essaye de viser dans le mille.
Je n'y parvient mes doigts trembles et j'ai les mains moites, je risque de louper une balle.
Fait le pour Tara, me dis-je encore à moi même.
Je vise je tire.
Un corps s'écroule.
Je vise je tire.
Un deuxième corps s'écroule.
Je vise je tire.
Un troisième corps s'écroule.
Je vise je tire.
Et un quatrième corps s'écroule.
Je vient de tuer 4 personnes.
Je suis une personne horrible.Je m'avance doucement vers les deux gardes, je prend mon revolver et je vise entre les deux yeux et je tire, le deuxième garde est alerter et essaye de me tirer dessus mais j'esquive toute les balles avec succès et je lui tire une balle dans la tête, je transporte les deux corps qui sont lourd très lourd même et je toque deux fois à la porte comme m'a indiqué mon « paternel ».
что? [Quoi ?] dit une voix rauque, je reste collé au mur.
J'entend la porte s'ouvrir et j'assomme la personne avec un gros caillou, il tombe par terre et je le transporte là où j'ai mit les deux autre corps, je rentre dans le bâtiment et je trouve les deux buissons sur le côté droit, je referme la porte pour éviter d'éveiller les soupçons et je me réfugie dans le buisson, j'ai l'impression d'avoir oublier quelque chose mais je ne sais quoi.
3 heures que je suis dans ce buisson mais personne ne sort de cette grande maison je vais perdre ma patience, la nuit tombe et mes yeux commence à fatiguer.
Et si je rentrais dans le bâtiment ?
Mauvaise idée ! se révolte ma conscience.
J'entends une porte s'ouvrir, et deux gardes sortir, il s'approche de mon buisson.
как девушка может убить двух охранников? [Comment une fille peut-elle tuer deux gardes ?] dit-il à l'autre.
SEIGNEUR J'AI OUBLIER LES CAMÉRAS DE SURVEILLANCE !
Je suis dans la merde, je sors de mon buisson et je tue le premier garde avec mon revolver le deuxième se jettent sur moi, je le pousse et je sors mon couteau que je lance et il vient s'enfoncer dans sont coeur.
Je me précipite dans le bâtiment, arriver dedans je monte directement les escaliers, je cours au fond du couloirs et je prend la première porte qui ai devant moi, je rentre et je referme derrière moi.
Waw c'était chaud la ! dit ma conscience.
Je regarde autour de moi et je voit que je suis dans un bureau.
Serai-je dans le bureau du mafieux ?
Je m'avance vers sont bureau et je regarde les papiers, rien de bien interessant, j'entends des pas, je court vers l'armoire et je me cache dedans, j'ai du mal à respirer et je me sens pas a mon aise dans cette armoire, une porte s'ouvre et se referme en claquant, des goutes de sueur tombe sur mon front je suis prise au dépourvue.
Puttana ! [Chienne] cria une voix rauque en jetant des choses, comment sa se fait que quelqu'un
parle en Italien alors qu'ont est en Russie ?Ne me dite pas que c'est lui ? C'est le chef de la Mafia Russe je prend mon arme et je pousse la porte de làrmoire avec mon pied, je sors et je regarde autour de moi, personne.
Mais où est-il ?
Qu'est ce que tu croyais ? dit une voix derrière moi, puis trou noir.
J'ouvre les yeux difficilement, je n'arrive pas à regarder autour de moi tout est sombre, je distingue une cave, il y a un matelas sur le sol et c'est tout, je descend mes yeux vers mon corps et je distingue que je suis sur une chaise, ligoter j'essaye d'attraper mon couteau mais en vain il a du tomber, ma tête me lance je crois bien que je me suis prit un sacré coup.
Putain, soufflai-je exaspéré.
Une porte s'ouvre et se referme j'entends des pas s'approcher vers moi, un homme grand, baraqué, je ne fait pas le poids, il s'approche de moi avec un couteau.
Puttana ! me dit-il en me regardant.
Sa fait deux fois dans la même journée quand même, il s'approche et me plante le couteau dans la jambe, un cri aigüe sors de ma bouche mais je ravale mes larmes et je sers mes dents.
на кого ты работаешь? dit-il, j'ai rien compris, il faut savoir que je comprend des choses en Russe, mais là rien.
Il souffle et me donne une claque phénoménal, ma joue chauffe et ma vue se brouille, j'entends une porte claqué puis le sommeil m'emporte.
J'ouvre les yeux exténué, je regarde autour de moi, je suis toujours à la même place, je regarde en face de moi et je voit quelqu'un appuyer contre un mur qui est en train de jouer avec un couteau, je ne voit pas son visage car il est de dos.
Per chi lavori? [Pour qui travaillez-vous?] dit-il d'un voix rauque avec un léger ton énerver, j'écarquille les yeux donc il parle aussi Italien.
Non direi niente, dis-je avec la bouche pâteuse [Je ne dirais rien].
Non hai scelta, [Tu n'a pas vraiment le choix] me dit-il puis d'un coup il par, me laissant dans l'incompréhension.
Je suis exténué, à près tout sa serait donc sa ma mort ? Je serais morte pour ma famille, je laisse mes yeux se fermer quand j'entends une porte s'ouvrir, j'ouvre mes yeux doucement et j'entends.
Uccidi 7 dei miei uomini, [Tuer 7 de mes hommes] me dit-il d'un ton jaune, je reconnais cette voix.
E irrompere nel mio ufficio, [Et pénétrer dans mon bureau] me dit-il en claquant des dents.
Tu sais qui je suis ? me dit-il, je crois bien que je suis face au Chef de la Mafia Russe, mais sa voix me dit quelque chose comme si il a toujours été proche de moi, je ne vois pas sont visage car il est dans un endroit sombre.
Soraya tu sais qui je suis? me dit-il en sortant de sa pénombre et ce fut un choque, carrure imposante, de nombreux tatouages sur le corps et un regard sombre mais irrésistible.
Aïden, lui dis-je dans un souffle avant tomber définitivement dans les bras de Morphée.
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Rules of Survival (TOME 1)
Teen Fiction1ère règle = ne pas avoir de contact d'amitié avec d'autre personne que moi. 2ème règle = ne pas raconter mon passé. 3ème règle = ne jamais au grand jamais tomber amoureux. 4ème règle = ne jamais montrer ses émotions. 5ème règle = ne faire confiance...