16

6.1K 235 8
                                    

Sa fait 2 jours que je suis en Russie, j'ai essayer pars n'importe qu'elle moyen de m'évader ou de contacter le monde extérieur, mais tout était un échec, un gros échec même, Aïden ne m'a donné aucun signe de vie, et le spécimen me suis partout, je dis bien PARTOUT, mes journées sont répétitive, me lever, me doucher, manger, essayer de m'échapper et dormir, j'ai l'impression d'être dans une boucle qui ne se refermera jamais, actuellement je vient de finir de me doucher et bien sûr, à ma sortie le spécimen est toujours ici, je ne connais toujours pas son nom, mais c'est bien mieux comme sa.

Où est Aïden ? lui demandais-je en sachant pertinemment qu'il ne me répondra pas.

Bien sûr il ne me répond pas, je souffle exaspéré, je vais dans «ma chambre» et je claque la porte pour montrer mon mécontentement comme une enfant de 6 ans, je pourrais passer à l'action mais il y a quelque chose ou quelqu'un qui m'en empêche, je ne peut pas partir en le laissant, il faut qu'ont ai une discussion sérieuse, mais c'est assez compliquer vue qu'il est fermer à toute discussion, un claquement retentit, actuellement je suis en position étoile de mer sur le lit, je me lève prête à faire quelque chose de ma journée qui est répétitive, j'ai bien l'impression que personne va venir me chercher et qu'il vont me laisser pourrir ici, je descend les escaliers à une vitesse phénoménal, j'atteins le salon et mes yeux s'écarquillent à la vue qui se trouve en face de moi.

Aïden ? lui dis-je en regardant sont corps torse nu, pleins de sang, je l'entends suffoquer, puis s'assoir.

Va chercher la trousse de secours dans la cuisine, me dit-il catégoriquement et le mot magique ? Je vais pas chipoté, je m'exécute et je revient.

J'ai une balle, enlève la Soraya, sa phrase me percute de plein fouet, je suis prise au dépourvue, je n'ai jamais fais sa.

Aïden, je n'ai jamais fais sa, lui dis-je en soufflant stressé.

Soraya, il me regarde avec ses yeux perçant, j'hoche la tête et il me fait signe de m'assoir entre ses jambes, la position en elle même et très gênante mais je n'ai pas le temps de protester.

J'imbibe une compresse de désinfectant et je l'applique sur son torse, je prend une pince à épiler, que j'enfonce pour attraper la balle, des hauts de cœurs me vienne, j'attrape la balle avec la pince et je l'enlève délicatement, il se crispe et pose sa main sur mon épaule en la serrant, je lui fais un pansement digne de Grey's Anatomie, après tout sa je m'assoie par terre et je souffle, j'essaye de calmer mes mains qui tremble, il me fixe puis d'un seul coup il se lève me souffle un bref merci et s'enfuie comme un voleur, mais ?

Il croit vraiment qu'il peut s'en sortir comme sa ? Je me lève, prête à avoir des explications, je presse là poignet et je rentre dans son bureau.

Je peut savoir comment tu t'es fait sa ? lui dis-je sans tourner autour du pot, je le regarde, il est appuyé contre sont bureau les bras croisés toujours torse nu, je regarde ses tatouages C'EST PAS LE MOMENT SORAYA ! Oui c'est vrai ! Je repose mes yeux sur son visage.

Tu n'a pas besoin de savoir, me dit-il d'une voix froide, je le regarde vexée et énervé.

Tu te fou de moi ? J'ai enlever une balle dans ta poitrine mais tu me dit que je n'ai besoin de savoir, est-tu sérieux ? lui dis-je en fessant des geste qui montre l'ampleur de ses paroles.

Est-ce que je doit te rappeler que tu a voulu me tuer ? Tu devrai déjà être morte à ce moment même, me dit-il en me lançant un regard mauvais.

Tue moi vas-y, lui dis-je en le regardant droit dans les yeux.

À quoi bon ? Il n'y à rien qui m'empêche de quitter ce monde, je n'ai aucune chance de revoir Tara, je n'ai pas de famille à part Nino, j'ai enlever la vie à beaucoup trop de personne, j'ai envie de me reposer, quitte à me reposer pour l'éternité.

Aïden vas-y, tue moi, lui dis-je en m'approchant de lui d'un pas, il me scrute du regard, puis dans sont regard je découvre une étincelle.

Je te pensais plus maline, me dit-il en soupirant.

Je le regarde intrigué, j'hausse un sourcil ne comprenant pas sa phrase, mais il s'approche de moi et pose ses lèvres contre les miennes, mes mains viennent toucher ses cheveux délicatement comme si c'était naturel, comme si je l'ai toujours fait, nos langues danse ensemble jusqu'à que je m'écarte pour respirer.

Mes sentiments s'entremêlent et dans ma tête c'est un chaos, mes joues chauffe en le voyant me détailler, je ne le comprend pas ? J'ai besoin d'explications, je me mord la lèvre gêner.

Je ne te comprend pas, finissais-je par lâcher, il me regarde sans émotions.

Il n'y a rien à comprendre, me dit-il en s'asseyant sur sa chaise.

Aïden, soufflai-je désemparer, mon cerveau surchauffe à force de réfléchir à l'ampleur de mes sentiments à son égard, je m'appuie contre son bureau dos à lui.

Je l'entend se diriger vers moi, il se place en face de moi, il me scrute de ses iris vertes chaque parcelle de mon corps, sont regard me donne des frissons.

Comment une ragazza peut me faire tourner la tête ? [jeune fille] me dit-il en s'approchant.

Il poses ses deux bras de chaque côté du bureau, ma respiration s'accélère.

Soraya devi andartene, [tu dois partir] me dit-il en me scrutant, j'écarquille les yeux.

Ce n'est pas un monde pour toi, me dit-il en s'écartant de moi.

Qui est-tu pour jugé le monde que je choisis ? lui dis-je, il tourne sa tête vers moi.

Tu dois m'aider Aïden, lui dis-je avec une voix que j'espère être sereine.

Et t'aider à faire quoi ? me dit-il en s'appuyant contre le mur il est très beau, il me scrute.

À me sauver des griffes du diable, lui dis-je d'une voix crispé.

Rules of  Survival (TOME 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant