Rules of Survival (TOME 1)

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La semaine est passer plus vite que je l'aurai imaginer, les cours prennent beaucoup de mon temps, et je ne suis pas vraiment habituer à cela mais il faut toujours un début à tout non ? Olivia je ne l'ai plus vue depuis la soirée et c'est très bien comme sa, peut être qu'elle se rend compte de ses erreurs ? Sinon moi, Aïden ne veut pas sortir de ma tête, j'ai même chercher sur YouTube exactement ça «comment fait-ont pour oublier une personne ?» et cela m'a amené  à plein de bêtises plus bêtes les unes que les autres, je suis actuellement dans mon salon, avec une feuille d'inscription, inscription à quoi ? Et bas c'est très simple, vous vous rappelez quand la directrice nous avait dit que nous étions obligée de faire du sport et j'ai appris qu'elle ne rigolais pas, à mon plus grand malheur. Les sports ne sont pas intéressants, volley-ball ? Non, dit ma conscience, basket-ball ? Ta du mal à tenir une arme et tu veut tenir une balle ? rigole ma conscience, bon je prend sa pour un non, gymnastique ? Soraya, toi de la gymnastique ? rajoute ma conscience, cheerleading ? Euh, bas je ne sais pas, dit ma conscience, moi je vote pour non ! Mais il n'y a plus de sport, bon c'est simple, j'abandonne.

Je jette la feuille d'inscription par terre, et je me lève pour aller rejoindre Matt et Tara a un petit café du coin, je prend ma voiture, l'album de Rihanna vient bercer mes oreilles et je roule jusqu'au café, la route se fût courte, je sors de ma voiture et je rentre dans le café, je vois Matt et Tara au loin, je me dirige vers eux.

-Hello, dis-je à Tara et Matt, Matt me sourit mais avec un sourire assez crispé, et Tara se tortille les doigts, ok il ont quelque chose à m'annoncer.

-Dite moi ce qui se passe, dis-je en demandant au serveur un chocolat chaud.

-Sa va pas te plaire, dit Matt en tournant autour du pot.

-Ce qui me plait pas ces que tu tourne autour du pot, dis-je en sirotant ma boisson.

-OnaimeraisquetuaillechercheAïdenenRussiepourremmettreOliviadansledroitchemin, dit-il à une vitesse hallucinante, mais j'ai très bien compris.

Je vais devoir revoir Aïden, et il n'en n'est pas question, il va vouloir se venger, je serais sur son territoire, non, non et non.

-Non, c'est mort, vas-y toi, dis-je catégoriquement.

-Non, il m'écoutera pas, dis Matt.

-Moi c'est encore pire, rajoute Tara.

-Et qu'est-ce qu'il te dit qu'il m'écoutera hein ? dis-je finissant ma boisson.

-Une intuition, je le sais c'est tout, dit-il.

-Tes intuition sont mauvaises, dis-je en me levant.

-Attend, fait un effort Soraya, dit-il comme si c'était facile.

-Je crois que tu comprend pas, si je vais en Russie je suis morte, tu comprend ça ? J'ai trahis Aïden, tu crois qu'il a oublier, si tu crois sa c'est mal le connaître, dis-je sérieuse, mais il me donne un billet d'avion et il part accompagner de Tara.

Sérieusement ? Qu'est ce qu'il a pas compris dans mon monologue ?

Je souffle, et je me dirige vers ma voiture, arriver chez moi, je monte dans ma chambre et je sors une valise, sa tombe toujours sur moi sérieusement, je met quelques vêtements, histoire de faire aller-retour, et je sors de chez moi, mon avion est à 19h et il est 18h30 je suis clairement en retard, je prend ma voiture et je me dirige à l'aéroport, arriver la bas, je vais vers une hôtesse de l'air qui m'indiquent là où est mon avion, je n'est qu'un bagage cabine donc je rentre directement dans l'avion.

La route était longue, je sors de l'avion accompagné de ma valise et je me dirige chez Aïden, j'appelle un taxi, je lui indique la route, arriver devant l'énorme bâtisse blanche il n'y a plus de retour en arrière, je souffle un bon coup et je rentre, il y a beaucoup de gardes du corps, il y en a qui se dirige vers moi, c'était sur, Matt n'a absolument pas prévenue Aïden.

-Куда ты идешь, [Où vas-tu ?] dit un garde.

-увидеть своего босса, [Voir votre patron] dis-je.

-это не будет возможно, [Ce ne sera pas possible] dit-il en me regardant mal.

-Écoutez moi bien, vous allez me laissez passer, dis-je énervé, déjà que j'avais pas envie de venir, qu'il ne me chauffe pas.

-Et qu'est-ce que tu va faire ? dit-il avec un ton arrogant, fait lui avaler son ton ! dit ma conscience, je sors mon arme et je la plante entre ses deux yeux.

-Écoute moi bien, je m'en fou de mourrir, mais toi est-ce que tu t'en fou ? Sois tu me laisse passer, sinon la suite tu la connais n'est-ce pas ? dis-je en souriant de toutes mes dents, il craque sa mâchoire et sors son arme, punaise il pouvais pas juste me laisser passer gentiment ?

-Et qu'est-ce que tu vas faire là ? dit-il en plantant son arme entre mes deux yeux, j'enlève la sécurité, il écarquille les yeux mais se reprend en fessant de même.

-Опустите оружие, сейчас, [Baisser vos armes, maintenant] dit une voix que je reconnais très vite, une voix froide, autoritaire et très calme, une voix qui fait peur.

Le garde baisse son arme et moi je baisse et je me retourne doucement, aucune trace d'Aïden, il est partit, je marche jusqu'à son bureau, sans aucune surprise il est là, il a les bras croisé sur son thorax, ses yeux me scrutent, mon coeur s'accélère, il bas un peu trop vite à mon goût.

-Qu'est-ce que tu fait ici ? Ce n'est pas chez toi à ce que je sache, dit-il d'une voix froide.

-Calme tes nerfs, je ne suis pas venue pour toi, dis-je en le regardant mal, en essayant plutôt de le regarder mal.

-Alors qu'est-ce que tu fou devant moi ? me dit-il serrant ses dents, il m'énerve, il m'énerve et il m'énerve.

-Ta sœur, est devenue complètement tarer, dis-je en m'approchant de son bureau.

-Pas mon problème, maintenant sors, putanna, [Chienne] dit-il en sortant son arme, il me cherche ? Il ma trouver.

-Écoute moi bien, tu va te ramener en Amérique, parce que ta sœur est devenue une pute, est-tu sûr que ce n'est pas ton problème ? dis-je d'une voix énervé et en posant mes mains un plat sur son bureau.

-Ce n'est pas toujours pas mon problème, dit-il avec une voix froide, je tire quelque mèches de mes cheveux, il me rend dingue, je me dirige vers la porte et je la ferme à clé.

-Tu ne veut pas y aller ? D'accord mais tu ne sors pas d'ici, dis-je en mettant la clé dans mon soutif, il sourit en coin, mais ne dit rien.

Ont n'est pas sortit de l'auberge, comme ont dit.