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Je suis actuellement dans une voiture côté passager, Aïden au volant, personne ne c'est adresser un mot depuis le début de notre longue route pour retourner en Italie, après notre discussion dans sont bureau il à accepter de m'aider, il m'a poser des questions, mais je n'ai répondue que rarement et les seules fois où j'ai répondue c'était très vaguement, je sais que je dois lui faire part d'explications car il me rend un service mais je ne suis pas prête à affronter mes douleurs du passé, j'ai réussis à me cacher sous un masque mais quand je lui expliquerai, ce masque tombera et sa ne sera pas une Soraya guerrière mais une Soraya blessée de son passé et je n'aime pas, je déteste montrer mes faiblesses, nous n'avons pas reparler du baiser et c'est très bien comme sa, je ne peut pas qualifiée notre relation car elle est inqualifiable, elle est ambiguë ? Mon cerveau est en train de surchauffer, il est même au bord de l'agonie, j'aimerai avoir les idées claires mais c'est impossible d'avoir une conversation avec Aïden j'ai l'impression de parler a un mur, surtout quand sa devient sérieux, j'entends le moteur de la voiture s'arrêter je regarde en face de moi et je voit qu'ont se trouve devant l'aéroport pour repartir en Italie, Aïden descend de la voiture, je l'imite nous rentrons dedans et une foule de personne s'y trouve avec leur valises, nous donnons nos billets à une hôtesse de l'air, puis nous rentrons dans l'avion, je suis assise à côté d'Aïden qui ne veut toujours pas ouvrir sa bouche, je met un casque et je regarde un film.

Vous voudriez quelque chose Monsieur ? dit une hôtesse de l'air en montrant bien son décolleté à Aïden avec un sourire aguicheur.

Non, dit-il d'une voix froide et calme, l'hôtesse de l'air se refroidis d'un coup.

Et vous Mademoiselle ? me dit-elle d'une voix passive.

De l'eau me conviendrait, lui dis-je elle me donne la bouteille puis part.

Je vois du coin de l'œil Aïden sourire, j'hausse un sourcil.

Pourquoi tu souris ? lui dis-je en le regardant surprise.

J'ai pas le droit de sourire ? me dit-il sur un ton défensif, c'est vraiment un gamin de 4 ans qui est à mes côté pourtant c'est le chef de la Mafia Russe ne l'oublions pas.

Je ne lui répond pas et je me remet à mon film.

Veuillez rattachez vos ceintures, nous allons atterrir, dit une voix à travers un microphone.

Je souffle rassurer que ce vol ce termine, ont descend de l'avion et la chaleur de l'Italie vient me frapper de plein fouet, je souffle satisfaite d'être rentrer sur mon territoire, je n'étais pas vraiment à l'aise en Russie, je devance Aïden pour bien lui montrer que ont n'est chez moi cette fois si, je sors de l'aéroport et avec surprise je vois Nino adosser à sont capot de sa voiture.

Mia figlia, [Ma fille] me dit Nino en me serrant dans ses bras, je le serre en retour.

Chi è questo ragazzo, [Qui est ce garçon ?] je lui souris, puis j'allais ouvrir la bouche mais Aïden me devance.

Aïden, ou plutôt capo della mafia russa, [Chef de la Mafia Russe] dit Aïden, Nino est d'abord surprit puis hausse un sourcil ne comprenant pas se retournement de situation.

Ils se sert la main, puis Nino nous fait signe de monter, pendant tout le trajet j'ai expliquer ce retournement de situation à Nino, excepter le bisous que je n'ai pas dit, il a d'abord été surpris puis après intrigué, ont se dirige chez moi sans aucun plan, avec mon père il faut savoir y aller franco, même si nous créerons un plan sans faille, il trouvera toujours la faille et sans sortira, cette fois si je ne ferais pas la même erreur, arriver devant ma « maison », je souffle un bon coup.

Il y a tout ce qui vous faut dans le coffre, signal Nino, j'hoche la tête puis sors, Aïden a déjà ouvert le coffre et se déniche une AK-47, j'ouvre les yeux en grand puis quand il me voit étonné il lâche un petit rire.

Ta un plan ? lui demandai-je au cas où si il aurais réfléchis dans sa tête à un plan d'action.

Non, l'improvisation est bien mieux, je le regarde étonné, puis nous avançons devant l'énorme bâtisse, j'entre la première, Aïden derrière moi.

Super sécurisé ici, me dit-il sur le ton de l'ironie, je roule des yeux et je continue ma marche rapide.

Arriver devant le bureau, je m'arrête, et me retourne.

Il le sais, lui dis-je calmement.

Il me regarde et hausse un sourcil.

Il sais quoi ? me dit-il.

Puis d'un coupla porte de sont bureau s'ouvre et mon « paternel » se trouve en face de nous, il a l'air surpris puis il sourit de toute ses dents.

Entrée, je vous attendais, dit-il, je rentre intrigué, Aïden fait de même.

Mon paternel s'assoie sur sa chaise, puis me regarde, puis il regarde Aïden.

Merci Soraya, me dit mon père, je le regarde sans comprendre, j'hausse un sourcil ne comprenant pas ce qu'il me raconte, je regarde Aïden qui lui a déjà sortit son arme.

Je comprend pas, lui dis-je avec appréhension.

Soraya Soraya, ne fait pas mine de ne pas comprendre, merci d'avoir ramener le chef de la Mafia Russe ou plutôt Aïden dans mes griffes, me dit-il en souriant, le temps que l'information monte à mon cerveau, il est déjà trop tard.

Des hommes arrivent, tous armée, il se mettent tous autour de nous, mon « paternel » s'approche d'Aïden.

Putain, où est Tara ? lui demandai-je énervé.

Chez toi, me dit-il en souriant, je fronce les sourcils ne comprenant pas.

Je vois mon père diriger sont arme vers Aïden, mes yeux s'écarquillent et je m'empare de mon arme et la pointe sur mon « paternel ».

Qu'est ce que tu fait Soraya ? crache mon « paternel ».

Toi qu'est ce que tu fait ? lui dis-je en resserrant la crosse de mon arme.

Je fais ce que tu n'a pas su faire, me dit-il hargneusement.

Aïden grince des dents puis pointe sont arme sur mon « paternel ».

Des hommes de main à mon père, me tire vers la sortit.

NON ! JE NE SORTIRAI PAS ! criai-je comme une furie en me débattant et me tortillant dans tout les sens.

Puis une douleur vient me stopper, je regarde mon épaule, une fléchette tranquillisante l'enflure.

Tu retourne chez toi mia figlia, entendais-je avant de m'écrouler et de sombrer dans le sommeil.

Rules of  Survival (TOME 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant