🔞Chapitre 12🔞

2.1K 123 1
                                    


🔞🔞La suite de notre soirée était comme
suspendu à mes lèvres. Il me
regardait de façon si profonde que
d’un seul coup ma bouche propulsait
un : << Oui>> Et avec une sorte de grondement
sauvage il me prenait dans ses bras
et on basculait ensemble sur le lit.
- Oh Anna, Anna tu ne peux pas
savoir comme j’ai tant rêvé de cet
instant, toutes les nuits je m’interdisais de penser à toi mais tu
ne m’apparaissais qu’en rêve et
aujourd’hui mon rêve est devenu
réalité.
Il embrassait mes lèvres, puis mon
cou, mes oreilles et mes épaules jusqu’à ce que je pousse des petits
cris de plaisir qui surgissait du plus
profond de moi-même.
Alors sa bouche s’emparait de la
pointe de mes seins qu’il taquinait du
bout de sa langue tandis que sa main descendait toujours plus bas, le long
de mon ventre jusqu’au cœur de ma
féminité.
- Marco !! gémissais-je lorsque ses
doigts s’insinuaient en moi
Tandis qu’il me caressait mes peurs, mes craintes, mes appréhensions
disparaissaient au même moment.
J’étais assailli par le plaisir comme
une vague brûlante que rien n’aurait
pu arrêter. Je sentais les battements
puissants de son cœur, je respirais son odeur, mon corps s’épanouissait
sous ces caresses intimes.
Au fur et à mesure j’éprouvais le
besoin urgent, irrésistible d’en avoir
plus, d’avoir Marco en moi aussi loin
qu’il était possible. - Je t’en prie… lui soufflais-je
Il m’abandonnait un instant le temps
de prendre dans le tiroir de la table de
nuit de quoi nous protéger, et comme
je gémissais doucement il se
retournait pour m’attirer de nouveau dans ses bras.
Le temps des caresses était à présent
passé pour nous. On ne tenait plus
alors Marco pénétrait enfin tout en
douceur en moi. Lorsque je le sentais,
j’ai eu un petit cri étranglé et Marco me regardait avec surprise.
- Anna !! me murmurait-il
J’avais les yeux fermés et mon visage
était à peine soulevé ….
- Fais moi l’amour je t’en prie… lui
disais-je Et il suffisait juste de ça pour qu’il
commence à se remuer en moi,
toujours plus loin dans ma chaleur.
Ma peau sombre était contre la
sienne toute blanche. Il avait ouvert
ma bouche de ses lèvres et me tenait étroitement comme nos deux corps se
cabraient encore au rythme toujours
plus rapide de ce va et vient vieux
comme le monde.
Marco était proche de l’extase, mais il
se retenait depuis l’instant ou il m’avait pénétrée, et jamais de sa vie
il n’avait autant eu de mal à se
contrôler. On avait l’impression d’être
des adolescents pour leur toute
première fois.
- J’ai l’impression qu’il n’a jamais eu de femme avant toi dans ma vie et je
te désire encore plus comme jamais
auparavant.
Il attendait de voir son souffle encore
plus court et de sentir ces
frémissements le long de son corps, c’était comme si je me crispais autour
de lui. Et c’était alors le bon moment
pour lui de se libérer avec violence ce
qui nous propulsait dans un univers
tourbillonnant de sensations inouïs.🔞🔞
Comme je frémissais encore il s’accrochait à moi pour enfouir sa
bouche dans mes cheveux, et de
longs instants durant le silence de la
pièce n’était troublé que par nos deux
respirations haletantes.
- J’aurais tant voulu retenir ce moment pour l’éternité mais je
ressens tant le besoin de savoir la
vérité.
Il se soulevait sur un coude, il
observait mon visage, mes yeux était
las et j’étais si étonnée. - Anna … disait-il d’une voix mal
assurée
- Quoi donc Marco ?
- Dis-moi la vérité, Anna, tu étais
vierge ? est ce possible ?
Je fermais aussitôt mes yeux pour masquer ma gêne, qu’est ce qu’il
avait ressenti pour me poser une telle
question.
- De quoi tu parles ? disais-je
- Tu l’étais ou pas ? demandait-il avec
impatience Sa question ressemblait plus à une
accusation.
J’étais encore sous l’emprise du
plaisir et cela me faisait redescendre
rapidement sur terre. J’aurais tant
voulu rester dans cet état de béatitude irréelle sans devoir
affronter de nouveau ce regard
perçant.
- Tu viens de me faire découvrir un
plaisir exaltant ne gâche pas tout s’il
te plait. Lui répondais-je - Il y a trop de mystère autour de toi,
je veux des réponses et je ne suis
pas du genre à attendre longtemps.
- Doit-on vraiment parler de ça
maintenant Marco ?
- Oui, ou veux tu qu’on discute de ça devant Amélie ou au mieux devant
Sergio ?
- Mais où vas-tu chercher des trucs
pareils, bien sûr que non.
- Alors je veux tes explications Anna,
explique moi pourquoi j’ai ressenti cette sensation si spécial, avec toutes
les rumeurs qui circulaient sur tes
aventures avec les hommes
politiques et j’en passe, ta relation
avec mon frère, comment, j’ai pu
sentir autant de pureté en toi, ça me trouble, dit quelque chose.
- Je n’ai rien à te dire Marco, désolée.
- Non, non, tu as tout à me dire, ne
joue pas à ça avec moi
En l’entendant, j’étais quasiment au
bord des larmes mais je ne comptais pas lui montrer à quel point j’étais
vulnérable.
- Tu ne veux pas que je te fasse un
livre en plus sur les moindres détails
de ma vie.
Marco demeurait muet pendant un moment il avait soudainement l’air
incrédule.
- J’ai ressenti quelque chose comme
si, si… enfin j’ai du mal à le croire.
- Mais où est le crime, que ce soit vrai
ou pas. Qu’est ce que cela va changer ? tu t’es toujours fié à tes
détectives, à tous tes racontars alors
s’il te plait ne commence pas à
m’importuner avec tout ça.
- Là n’est pas la question et tu le sais
Anna, soit tu décide de me dire la vérité, soit tu ne me la dit pas.
Pourquoi moi Anna, et pourquoi
maintenant ? j’aurais souhaité
décider si je devais être le premier
pour toi où pas.
Ce qu’il me disait me donnaient des frissons je remontais sur le duvet.
- Tu as vraiment un sens de l’honneur
mal froissé, t’ai-je dis que c’était le
cas ? d’où te fais tu tous ces films ? tu
n’es ni mon premier et tu ne seras pas
mon dernier Marco, j’avais juste envie de toi par ce que oui tu es séduisant
c’était plus fort que moi et voilà, je ne
suis pas responsable de ce que tu as
ressenti mais ce n’est pas le cas alors
redescend sur terre un peu.
Il ne disait rien, on avait l’impression qu’il réfléchissait…
- Il n’y a eu personne d’autre avant
moi ? me redemandait-il
- Peut-être que oui, peut-être que
non. A toi de choisir ce qui te fera le
plus plaisir. J’étais si méfiante des hommes du
fait de l’expérience de ma mère que
je m’étais toujours dit au fond de moi
que je n’avais rien à faire avec les
hommes qui ne m’apporterais rien
d’autres que des tourmentes et des ennuis. Rayer le sexe masculin de ma
vie ne m’avait jamais posé de
problème du moins jusqu’au jour où
Marco m’avait convoqué dans son
bureau.
- Ecoute nous avons eu tort de faire ça, nous n’aurions jamais dû céder
ainsi à la tentation, je vais
rapidement regagner ma suite. Et
j’espère que nous oublierons
rapidement tous les deux ce qui vient
de se passer entre nous. Je me redressais afin de sortir du lit.
Mais cela faisait sourire Marco au
point où il me retenait le bras en
disant :
- Pas questions que tu t’en ailles. La
nuit n’est pas encore terminé…

Anna, maîtresse et milliardaire à vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant