Tome 1 : Ma vie dans Quor Thott

« La douche »

Comme à son habitude il s'excuse de m'avoir frappé et me prend la main, me tire contre lui et me chuchote à l'oreille qu'il m'aime tellement... je ferme les yeux, j'essaye de me concentrer à ne pas hurler...

Edouard m'embrasse sur la joue, me regarde et me dit d'aller prendre une douche.

Je recule et me dirige vers la salle de bain...bien sur vous, vous doutez bien que je n'ai pas le droit à la belle salle de bain faite de marbres...non moi je dois aller dans la salle de bain au 3ème étage tout au fond du couloir, la porte de droite.

La première fois que je suis rentré dans cette pièce, je me suis demandé si je ne mettais pas tromper d'endroit mais non ces biens ici.

Enfaite, je suis dans l'ancienne salle de bain, celle qui sert maintenant à laver leur chien...cette pièce est poussiéreuse, pleine d'araignées, il y a des moisissures partout sur les murs, la baignoire est une baignoire en ferraille, vous savez les anciennes baignoires datant de l'époque de mon arrière-grand-mère mais je préfère ne pas m'en plaindre au moins je peux me laver même si l'eau est froide.

Je me déshabille tant bien que mal...ces menottes ne sont vraiment pas pratique. En temps normal, Marie-Christine vient m'aider à ôter mon haut mais aujourd'hui...ce n'est pas elle qui viens mais... Georges, le fils ainé d'Edouard.

Je tente de reculer, je ne veux pas que George me touche et me voient nue...mais George a déjà 17 ans et il super muscle. Il m'attrape violement le bras et me pousse contre le mur, je me débats comme je le peux, il sort de sa poche un couteau et me le met contre ma gorge et me demande de me calmer, de me laisser faire ou il m'égorge comme un cochon. Je ne bouge plus, je vois bien dans ses yeux, qu'il serait effectivement capable de le faire.

Georges enleva mon tee-shirts, il regarde mon torse et mes seins qui commence à pousser...je n'ai peut-être que 8 ans mais j'ai une morphologie qui grandis vite, je commence déjà à avoir de la poitrine qui pousse et Georges s'en retrouve heureux.

Par la suite, il enlève ma petite culotte tout en regardant chaque partie de mon corps...mon dieux, au secours j'ai l'impression d'être un jouet, comme une poupée qu'on dénude et qu'on fait tout ce qu'on veut avec elle.... Papa...sauve moi...

Après quelque minute où George m'observe, il me tire par le bras et m'oblige à rentrer dans la baignoire, ce que je fais.

Je comprends bien assez vite, que George compte me laver enfin si on peut dire ça.

Je lui dis que je peux le faire seule, que je n'ai pas besoin de lui. Furieux que je refuse son aide, il me donne un coup de poing dans le visage, ce qui me fait saigner du nez.

George se met à hurler le prénom de son frère, qui lui monte directement. Ils se mettent à parler de moi, de mon corps...je regarde le mur en face de moi et je me perds dans la contemplation de celui-ci...je ne peux vous décrire ce que je ressens à ce moment-là...j'étais comme déconnecter de ce monde.

Albert se met derrière moi et me tiens les bras avec fermeté. Quand à George, il prit le savon et lave chaque partie de mon corps. Il commence par le cou et descend lentement a ma poitrine, il s'amuse à la toucher, la caresser puis descend petit à petit jusqu'à mon ventre, il a une main qui lave mon ventre et l'autre qui caresse mon sein.

Je me mets à pleurer toujours en regardant ce fameux mur, je n'arrivais pas à bouger, à hurler...

La douche continue et George descend, il lave mes jambes, mes pieds et monte à mon sexe.

A cette partie-là, il lave mon sexe avec le savon puis laisse tomber le savon dans l'eau et se met à me caresser puis il fait pénétrer un de ces doigt, fait des va et viens et en met un deuxième...

Je pleure à chaude larme, j'ai mal, je tourne la tête et je regarde Georges en lui suppliant d'arrêter mais il continue, satisfait de me voir pleure, lui et son frère rie.

Albert lâche mes bras et se met à me serre le cou, ce qui m'empêche de respirer, il se penche contre moi et m'embrasse la poitrine tout en lâchant mon cou.

George se déshabille et rentre dans la baignoire, il se met sur moi et me pénètre. Je me mets à hurler de douleur et George continue son affaire de façon violente et Albert est toujours occuper sur ma poitrine.

Après 20 minutes, George et Albert me lâche. George se rhabille et descend avec Albert.

Je reste dans la baignoire, la tête poser contre le bord...je songe à partir, loin de tout ça, de toute cette vie...il est temps pour moi de dire au revoir....