« Retour à la catastrophe »

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Encore une journée passer à essayer de savoir où est Jason, je pense qu'il doit vraiment être rentre à la maison. Aujourd'hui j'atteins l'âge de 16 ans.

Je m'apprêtais à commencer le sort pour pouvoir sortir d'ici quand une forme bizarre apparu devant moi, ça faisait comme un fantôme sauf qu'elle est toute bleus, je me sens comme aspirer. Je n'arrive pas à utiliser ma magie.

Je me retrouve emprisonner dans cette chose étrange qui me tiens et qui vois je arriver ??

Edouard et toute sa famille mais ils on Cyrus avec eux et mon ami le jardinier...

Je crie de toute mes forces pour qu'ils les libèrent, Edouard énerver de m'entendre jacasser arrache le cœur de Cyrus, je fond en larmes...pas lui, il m'a tellement aidé...

Edouard s'approche de moi et me dit que si je veux que mon ami le jardinier reste envie, je dois leur donner le grimoire et me laisse faire...j'acquiesce...je sais, c'est idiot mais je ne peux pas les laisser tuer le jardinier dans tous les cas, si je refuse ils vont le tuer et me tuer après... ça ne servira à rien.

Albert siffle un coup et la forme bleu disparait, je tombe au sol. Je les regarde, Edouard m'attrape, prend le grimoire et me remet ses saleté de menottes. Et me tire sur le bras jusqu'au château, il me colle a un mur, me dit ne bouge pas ou je tue ton amis...je me mets à trembler mais je ne bouge pas.

Albert arrive avec le jardinier, il fait assoit le jardinier sur ses genoux et l'oblige à me regarder.

Edouard m'embrasse dans le cou, passe sa main sous mon tee-shirt, je verse quelque larme mais j'arrive à oublier tout ce qui se passe en me perdant dans les yeux apeuré et triste de mon ami jardinier.

Edouard continue son affaire, il enlève mon haut, m'embrasse la poitrine, déboutonne mon pantalon et le fait tomber.

Il appela son deuxième fils pour qu'il regarde le spectacle.

Edouard pénètre un doigt, puis deux et un troisième, je grimace, il fait des va et viens et sourit, je regarde toujours le jardinier, mes larmes coulent.

Edouard se déshabille et me pénètre, il y va sans aucune rancœurs et violement. Une fois qu'il eut fini, il me jette par terre et ce coup-ci ces Albert qui se mis à me pénètre, lui il y va plus doucement après une 10 minutes, il me lâche.

Je n'en peux plus, je pleure de tout mon corps, je regarde mon ami qui lui aussi est en larme...mais ce n'est pas encore fini ce calvaire.

Georges arrive à son tour...il me retourne et me fait une pénétration anale, il y va sans douceurs, il va d'une violence extrême. Je me mets à hurler de douleurs, j'avais l'impression qu'on me déchirer de l'intérieur... George me libère après 10 minutes de calvaire, je tombe comme une crêpes par terre, j'ai mal, je sens un liquide sortir... je pleure, je crois que je saigne......

Tome 1 : Ma vie dans Quor ThottOù les histoires vivent. Découvrez maintenant