« La pomme »

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Cher journal, nous somme lundi et ça fait maintenant deux semaines que je suis ici. J'ai encore bien grandit, j'ai atteints l'âge de 13 ans.

Hier soir, j'ai passé ma nuit à essayer de comprendre ce grimoire, j'ai vu qu'il y avait comme des codes, j'ai aperçu plusieurs chiffre mais je ne sais pas à quoi il corresponde, il faut absolument que je demande au jardinier de m'indiquer où il a trouvé ce grimoire, peut être que je trouverai un indice la bas. Mais faudrait-il encore que j'arrive à sortir du château.

Ma matinée commence comme chaque matin, ces devenue une routine. Comme toujours encore et encore, je me dirige vers le fil à étendre pour étendre le linge quand le jardinier arrive devant moi et me donne la pomme que je mets dans le tablier.

Je lui ai demandé où il avait trouvé ce grimoire, il m'a alors dit que c'était un monsieur barbu, grand qui lui avais donné avec pour indication « donnez le a Hope Mikaleson », ces vraiment étrange comment cette homme me connaissait...ici personne ne me connais...il faut que je tire cette histoire au claire, je remercie le jardinier et il repart s'occuper du jardin.

J'étends mon linge en réfléchissant à comment sortir d'ici pour retrouver ce monsieur...je sens une présence derrière moi...cette personne s'approche et pose ses mains sur mes hanches, je reconnais l'eau de Cologne d'Edouard, je me crispe...il commence à m'embrasser dans le cou et passe un de ses mains sous mon tablier et s'arrête net d'un coup, il me retourne avec une force impressionnante, j'aperçois son regard noir... qu'est ce qui se passe ?

Il arrache mon tablier et la pomme tombe par terre, je retiens mon souffle et le regarde.

Fou de rage, il m'insulte de voleuse et veut me punir, il m'ordonne alors de me déshabille mais je ne compte pas me laisse faire, je n'ai plus 8 ans.

Je le repousse, lui crache au visage et me met à courir mais malheureusement pour moi, Albert n'était pas loin, il me poursuit et me plaque au sol. Je me retrouve écraser sous lui, j'essaye de me débattre pour m'enfuir. Edouard nous rejoint et félicite son fils, il lui demande de se relever et de me tenir ce que Albert fit.

Edouard enlève son ceinturons et me fouette le dos avec, je me mets à hurler de douleur.

Albert me relève, je me débats, je donne des coups de pieds, des coups de genoux a Albert mais Edouard me donne un coup de baramine derrière la tête et je m'évanouie.

Je me réveille quelque heures plus tard, je ne comprends ou je suis, j'essaye de me lever mais impossible, je me rend compte que je suis attaché à un arbre... je regarde mon corps et je me rend compte que je suis totalement nue pleine de sang, j'ai des saccarifications partout sur le corps, des brulures de cigarettes aux jambes, j'ai terriblement mal aux dos je sens le sang couler...je ne comprends pas, je devrais guérir...pourquoi je ne guérir pas et je me sens tellement faible.

Le moindre geste que je fais est pour moi un supplice et ces cordes qui me brûle la peau...je regarde partout, je vois qu'il y a beaucoup de passant, je dois être dans la rue principale...oh mon dieux cette honte.

Les gens me regardent comme si j'étais une pestiférée, la plupart change de trottoir, détourne leur regard, d'autre me regarde et rigole, me prenne en photo, se moque, certains hommes passent et me tripotes les seins ou le sexe... j'ai honte de moi, je me sens tellement mal, Salie....

La journée continue, je me sens de plus en plus faible, nous sommes en plein été il doit faire approximativement 40 degrés, je n'ai bue aucune goutte d'eaux depuis ce matin... ma tête tombe tout seule, je ne fais même plus attention aux personne qui se moque de moi.

Je vois flou, je me sens vraiment pas bien.

Un homme grand, barbu, s'approche de moi, s'agenouille, me regarde avec beaucoup de compensation et me faire boire dans sa bouteille d'eau.

Je me sens un peu mieux, je le regarde de plus près, le remercie et tout d'un coup une illumination me viens. Ces peut être lui, l'homme que je recherche, je le regarde et lui pose alors plein de question.

Il me dit qu'il y répondra plus tard, il me détache, me donne son long gilet et m'emmène avec lui. Je n'ai pas peur de lui, je sais qu'il va m'aider, je le sens...

Tome 1 : Ma vie dans Quor ThottOù les histoires vivent. Découvrez maintenant