Opposée

CHAPITRE 5

-qui es-tu?

Sa voix était tremblante. Je n 'ai rien répondu; j'ai regardé le sol et je suis partie. Il m'a saisit par l'épaule et m'a retourné de manière à ce que je le voie. Ses cheveux était bien brun mais des reflets doré si incrustaient. Il  avait les yeux vert/turquoise avec des traits d'hommes bien dessiné. Il était beau. Très beau, même.

-Tu viens avec moi.

-Je n'irais nul part !

Je me dégageais de son emprise. Il m'a lâchée.

-Laisse moi au moins te parler...

Ma raison me disait de partir, de prendre mes jambes à mon cou mais je ne sais pour quelle raison je suis restée là à le fixer dans les yeux.

-D'accord. Mais je choisi l'endroit où nous allons.

J'ai choisi un endroit bordé de monde et il ne s'y est pas opposé. Nous étions dans un magnifique café. J'avais commandé un chocolat chaud avec beaucoup de mousse malgré la température de dehors.

-Que me veux tu?

J'espérais que cela ne se voie pas mais j'étais sur la défensive c'était plus fort que moi. 

-Qui es tu?

-Je m'appelle Tali.

-Tu es humaine...

-Non je suis un aliens.

Je faisais de petits gestes bizarre avec mes doigts. Cela ne le fit pas rire alors je m'arrêtais  directement.

Il avait arrêté de parler, peut-tre même de cuire.

-Tu les vois.

-Ce n'est pas normal hein?

J'avais fini mon chocolat chaud et je venais de m'enfiller un wisky cul sec. Je n'allais pas faire long feu à cette allure là. Je commendais une bière cette fois.

-Oh je suis donc folle. Mais quel plaisir monsieur de voir que vous avez une paires d'ailes de deux mètres dans le dos. À ce propos comment vous appellez vous?

-Ce n'est pas important.

-Alors ça non! -j'avalais une grande lampée de la boisson jaune au goût de pipi de chat (sois disant)- Vous. Enfin tu me parles et moi...et enfin j'connais pas ton prénom et tu...mais tu connais le miens!

J'étais définitivement saoul. Je supportais trés mal l'alcool mais au moins je pouvais reporter ma vue des ailes sur mon état et non sur un truc totalement dingue.

-Venez avec moi.

-Non!

Il était impassible alors que tout le monde me regardait car je criait sur lui. Il c'est retourné et calmement leurs à dit que J'avais trop bu. C'était vrai d'ailleurs.

-Nous allons retourner à pieds. AU moins tu desaouleras un peu.

-Ouais.

Je loupais la hauteur du trottoir, et faillit m'éttallé de tout mon long mais il me rattrapa par le bras.

-Je m'appelle Grégoire.

Son air féroce était disparu. Sans doute avait-il pitié de la dépouille que j'étais en ayant bu.

-Qu'es tu au juste?

-Je me pose la même question sur toi pour tour dire mais vu que tu n'as l'air de rien comprendre je vais  t'expliquer. Alors tu vois mes ailes et tu peux les touchers... comment je ne le sais pas ce n'était encore jamais arrivé pour un humain.

-Pourquoi tu parles commes si tu ne l'étais pas ?

-De quoi?

-Humain.

-Je ne le suis pas. Je suis un ange.

Une boule apparu dans mon estomac. Je ne savais pas si c'était le choc ou la boisson qui s'apprêtait à ressortir. Je me pliais en deux dans la rigole. Sans doute les deux. Quand je me redressais un gout de bile infâme envahissait ma bouche.

-Un ange?

-Oui.

Nous avons fini la route sans plus rien dire. De toute façon je me concentrais pour marcher droit.

Arrivée prés du bungalow je vis Matt' avec ma mère.

-Et merdeuhh!

-Quoi?

-Tu voies ce gars ? c'est mon ex. et ça c'est ma mère.

Je les montrais du doigts en essayant de rester droite.

-Et?

-Et je veux pas le voir et je suis saoul.

-D'accord. Laisse toi faire.

Il me pris par la taille, me rapprocha de lui. Il attendit quelques secondes. Des secondes interminable où il me fixait, droit dans les yeux. Ma tête arrivait pile en dessous de son menton et je devais lever les yeux pour le voir. Il remonta sa main dans mon dos pour solidifié son étreinte. Je cru une fraction de seconde qu'il allait m'embrassé. Et puis je senti mes pieds décoller du sol. Je volais! En moins d'une minute j'étais dans ma chambre. J'observais Grégoire bouche bée.

-A demain Tali.

Il sauta par la fenêtre avant que je ne lui glisse quelques mots à commencer par "A demain????". comptais t-il revenir? Je ne savais pas pourquoi mais cette idée me tentait. Je m'approchais de la fenêtre par laquelle il venait de sauter. Il était disparu. Je me suis mise dans mon lit et j'ai dormi jusqu'au lendemain. J'avais un mal de crâne horrible et j'aurais juré que tour ce qui c'était passé hier était faux. Jusqu'à ce que la journée commence...